J’ai connu Denis Laborde en 2005, au retour d’un séjour d’études en Turquie qui m’avait décidée à m’orienter vers un master « Musique » de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Dans son séminaire d’alors, il n’était point question de musique ottomane, mais de Steve Reich, de l’enquête Fortoul, de l’Unesco et des musiques du monde, de procédures d’arraisonnement graphique et d’ontologies musiciennes, ainsi que d’une liste toujours plus longue d’ouvrages de référence invitant à replac..