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    UNE DEMARCHE DE STRATEGIE PROSPECTIVE POUR LE GERS (FRANCE) AFIN DE REPONDRE AUX EVOLUTIONS DE LA CONSOMMATION TOURISTIQUE ADRESSEE A LA CAMPAGNE

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    International audienceAu-delà d'une fréquentation stable (autour de 30% des nuitées sur plusieurs décennies,-ATOUT France-), la demande touristique adressée à la campagne est en constante évolution dans les perceptions, les attentes, les pratiques. Elle est soumise à des changements de références chez les nouvelles générations, entre idéalisation et craintes (Urbain, 2008). Une approche prospective permet d’envisager, d’une part les enjeux autour de cette perception renouvelée, d’autre part autour de ceux qui vont transformer les campagnes elles-mêmes (évolutions démographiques, climatologiques, technologiques, administratives…). L’objectif est d’anticiper des phénomènes, de se préparer à l’échelle de l’entreprise comme du territoire, d’être proactif au moment du changement (Mazuel, 2012).Le Gers est une destination reconnue du tourisme rural français (DATAR, 2014). Comment le département peut-il envisager sa démarche de stratégie prospective pour les quinze ans qui viennent ?Au-delà d’un travail bibliographique, 80 entretiens auprès d’acteurs du tourisme ont permis de recueillir des analyses sur les changements en cours. Un groupe de travail a proposé des scenarii anticipatifs. Un séminaire en ateliers a permis de croiser les travaux. Enfin, nous avons synthétisé les productions dans une suite d’enjeux pouvant conduire à des actions spécifiques

    Quelles perspective d’attractivité touristique ?

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    Synthèse finale

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    Entreprises innovantes du slow tourisme

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    Rapport d’études, Ministère de l’économie et des finances, Direction générale des entreprises, Sous-direction du tourisme, Paris

    Le slow tourisme, un nouvel enjeu pour le développement durable des territoires et la préservation des paysages

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    International audienceTrès tôt le concept « slow » a été appliqué au tourisme. En 1987, Jost Krippendorf publie, The Holiday Maker: Understanding the Impact of Leisure and Travel, dans lequel il développe l’idée d’un « credo for a new harmony ». Il dénonce un tourisme de masse négatif pour les territoires, les paysages, les communautés et les touristes eux-mêmes. Mais ce n’est que récemment, autour des années 2010, que le slow tourism devient un objet d’études autant que de réalisations concrètes, conçues, promues, vendues en tant que telles. Conway et Timms (2009) parlent autant de slow travel que de slow tourism puisqu’ils célèbrent le local, dès le voyage, par un transport économe et écologique permettant la proximité des lieux et des gens. Les Français Babou et Callot (2009) donnent au même moment cette définition : « un tourisme à rythme lent, garant d’un ressourcement de l’être, peu émetteur de CO2, synonyme de patience, de sérénité, de découvertes approfondies, d’améliorations des connaissances et des acquis culturels ». De fait, s’il est un domaine économique qui peut expérimenter et construire une véritable démarche slow, il s’agit bien du tourisme. Du côté de la demande, le temps des vacances est propice à rechercher « autre chose » que le quotidien, en particulier à échapper à toute forme de pressions, au premier rang desquelles, celles de l’accélération, de l’immédiateté, de l’efficacité, parfois destructrices pour soi, pour les siens, pour les autres. Du côté de l’offre, c’est un des moyens d’innover, d’anticiper, de créer. S’il est un espace qui peut correspondre à cette aspiration à la prise de temps, il s’agit bien de l’espace rural, ainsi que de la moyenne montagne définie comme espace hors stations touristiques. Ce « tourisme de biens rares » vient se confronter au tourisme industriel, de masse. Il semble un atout de la préservation et de la valorisation durable des paysages. A titre d’exemple, dans les Monts du Cantal, au cœur du Massif Central, ce type de tourisme non seulement crée de l’activité économique pour les prestataires mais aussi pour divers fournisseurs de produits et services associés (agriculteurs en particulier). Il conduit à un rajeunissement de la population, à des aménagements touristiques qui valorisent les paysages au lieu de les dégrader

    Synthèse globale

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    Quel tourisme pour la Franche Comté à l’horizon 2040

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