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The Auditor as Standard-setter â some US evidence and its implications
Cette Ă©tude fournit des exemples dĂ©taillĂ©s dans le cadre du GAAP amĂ©ricain de l'arrivĂ©e au niveau des prĂ©parateurs et des rĂ©viseurs de nouveaux rĂ©glements promulguĂ©s. Nous montrons que les rĂ©viseurs crĂ©ent leur propre âsous-rĂ©glement' dĂ©taillĂ© qu'ils imposent a leurs clients par la suite. Nous suggĂ©rons que de telles activitĂ©es pourraient ĂȘtre : âą Hors de tout jugement « en bonne et due forme » et donc ne rĂ©pondant pas aux exigences de la lĂ©gitimitĂ© institutionnelle âą Imposant la forme lĂ©galiste sur le contenu Ă©conomique âą Incompatible avec ce qui sont sensĂ©s ĂȘtre les exigences supĂ©rieures dans la hiĂ©rarchie du GAAP amĂ©ricain âą Contradictoire avec la reconnaisance du FASB que la sĂ©lection des politiques convenables de comptabilitĂ© reste la responsabilitĂ© des prĂ©parateurs. âą Soutenues par le FASB en dĂ©pit de la liste dressĂ©e ci-dessus, Nous gĂ©nĂ©ralisons les implications de ces dĂ©viances dans le contexte de l'harmonisation internationale puis nous suggĂ©rons que les rĂ©glements imposĂ©s par les auditeurs sont incompatibles avec une prĂ©sentation juste des « Ă©conomies implicites », bien que l'application et l'interprĂ©tation du GAAP promulguĂ©es au niveau de l'entreprise par le rĂ©viseur et le prĂ©prateur soient essentiels. Le soutien apparent , ou du moins l'acceptation, du FASB pour de tels rĂ©glements est problĂ©matique. Nous proposons ici des raisons pour lesquelles l'approche du FASB/SEC pourrait ĂȘtre condamnĂ©e si une plainte Ă©tait dĂ©posĂ©e devant un tribunal amĂ©ricain. Les exemples de minutiae lĂ©galiste nĂ©cessaire que nous examinons sont incompatibles avec les exigences et la philosophie des Normes de ComptabilitĂ© Internationales, ce qui provoque des inquiĂ©tudes au sujet du processus de convergence des exigences de l'IASB et de la FASB.LĂ©gitimitĂ© institutionnelle; contenu prĂ©valant sur la forme ; auditeur GAAP
Development costs capitalization and debt financing
This study investigates debt market effects of research and development (R&D) costs capitalization, using a global sample of public bonds and private syndicated loans issued by public nonâfinancial firms. Firstly, we show that firms capitalize larger amounts of R&D in a year when they exhibit a propensity for issuing bonds, rather than borrowing funds privately from the syndicated loan market, in the subsequent year. Secondly, we provide evidence that capitalized R&D investments reduce the cost of debt. We infer that debt market participants are able to identify firmsâ motives for R&D capitalization, as we find a reduction in the cost of debt only for those firms that do not show indications of employing R&D capitalization for earnings management reasons. Indeed, only for this subâsample of firms, the amount of capitalized R&D contributes positively to future earnings. We confirm that R&D capitalization is positively associated with audit fees and thus can be deemed to be a signaling device. Lastly, we find that it is the amount of R&D a firm is expected to capitalize and not the discretionary counterparts, which facilitates a firm's access to public debt markets, reduces bond and syndicated loan prices, and contributes to future benefits
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