Etude numérique et optimisation du comportement d'assemblages collés cylindriques sous chargements de traction

National audienceSee http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/59/28/58/ANNEX/r_R0A988Z2.pd

Radiative properties of desert aerosols by optical ground-based measurements at solar wavelengths

Les caractéristiques radiatives des poussières atmosphériques ont été mesurées d'avril à mai 1986 à la station de Mbour (16,9°W; 14,3°N) située à 80 km au sud de Dakar (Sénégal). Couplée avec des mesures satellitaires cette étude présente les premières conclusions des observatoires au sol pendant 15 journées consécutives. L'épaisseur optique varie fortement d'un évènement à l'autre (0,4-2 dans la bande spectrale de 450 mm). Les propriétés radiatives des aérosols sont en accord avec les modèles proposés notamment par SHETTLE's (1984) sur l'impact des brumes sèches sur le bilan énergétique de la planète (Résumé d'auteur

Administration des transfusions sanguines à l'hôpital ou à domicile ? Le choix des patients atteints de cancer

National audienceLa réalisation de transfusions sanguines est fréquente au cours du traitement des pathologies cancéreuses. Une anémie et/ou une thrombopénie surviennent habituellement après une chimiothérapie et/ou un envahissement médullaire et caractérisent le plus souvent un stade avancé de la maladie cancéreuse où le pronostic vital peut être engagé à court terme. La grande majorité de ces transfusions sanguines ont lieu à l'hôpital, en hospitalisation de jour principalement. Néanmoins, certains établissements de transfusion sanguine disposent de centres de soins ou d'équipes mobiles pouvant pratiquer la transfusion sanguine à domicile (TAD). Par exemple, en collaboration avec l'établissement régional de transfusion sanguine Rhône-Alpes, le Centre de Lutte Contre le Cancer de Lyon - Léon Bérard (CLB) organise depuis plusieurs années une partie des transfusions sanguines de ses patients au domicile. Ces transfusions ont été développées dans le cadre plus global d'un réseau de soins à domicile et d'une structure d'hospitalisation à domicile coordonnés par l'hôpital, et qui prennent en charge une part importante des traitements anticancéreux (chimiothérapies, alimentation parentérale, antibiothérapie, contrôle de la douleur...). Le site transfusionnel de Lyon, appartenant à l'Etablissement Français du Sang (EFS) réalise près de 800 transfusions à domicile chaque année, et deux médecins transfuseurs participent à cette activité. En pratique, les modalités d'administration de la TAD sont les suivantes : pour les patients suivis par la coordination des soins à domicile du centre, le médecin coordinateur des soins à domicile décide, sur la base des numérations sanguines, de la nécessité d'une transfusion et la prescription est alors transmise à l'antenne transfusionnelle de l'EFS. Pour certains patients transfusés fréquemment, la décision peut être prise directement par le médecin transfuseur en concertation avec la coordination.Le médecin transfuseur de l'EFS prend alors rendez-vous avec le patient. Il apporte les produits sanguins au domicile, met en place la perfusion et reste pendant tout le temps d'administration le jour de la transfusion. S'il est indépendant du centre, le médecin transfuseur est donc identifié par les patients comme un professionnel de santé avec des compétences particulières dans la transfusion, travaillant en étroite collaboration avec la coordination des soins à domicile et avec lequel ils pourront être en rapports répétés

Administration des transfusions sanguines à l'hôpital ou à domicile ? Le choix des patients atteints de cancer

La réalisation de transfusions sanguines est fréquente au cours du traitement des pathologies cancéreuses. Une anémie et/ou une thrombopénie surviennent habituellement après une chimiothérapie et/ou un envahissement médullaire et caractérisent le plus souvent un stade avancé de la maladie cancéreuse où le pronostic vital peut être engagé à court terme. La grande majorité de ces transfusions sanguines ont lieu à l'hôpital, en hospitalisation de jour principalement. Néanmoins, certains établissements de transfusion sanguine disposent de centres de soins ou d'équipes mobiles pouvant pratiquer la transfusion sanguine à domicile (TAD). Par exemple, en collaboration avec l'établissement régional de transfusion sanguine Rhône-Alpes, le Centre de Lutte Contre le Cancer de Lyon - Léon Bérard (CLB) organise depuis plusieurs années une partie des transfusions sanguines de ses patients au domicile. Ces transfusions ont été développées dans le cadre plus global d'un réseau de soins à domicile et d'une structure d'hospitalisation à domicile coordonnés par l'hôpital, et qui prennent en charge une part importante des traitements anticancéreux (chimiothérapies, alimentation parentérale, antibiothérapie, contrôle de la douleur...). Le site transfusionnel de Lyon, appartenant à l'Etablissement Français du Sang (EFS) réalise près de 800 transfusions à domicile chaque année, et deux médecins transfuseurs participent à cette activité. En pratique, les modalités d'administration de la TAD sont les suivantes : pour les patients suivis par la coordination des soins à domicile du centre, le médecin coordinateur des soins à domicile décide, sur la base des numérations sanguines, de la nécessité d'une transfusion et la prescription est alors transmise à l'antenne transfusionnelle de l'EFS. Pour certains patients transfusés fréquemment, la décision peut être prise directement par le médecin transfuseur en concertation avec la coordination.Le médecin transfuseur de l'EFS prend alors rendez-vous avec le patient. Il apporte les produits sanguins au domicile, met en place la perfusion et reste pendant tout le temps d'administration le jour de la transfusion. S'il est indépendant du centre, le médecin transfuseur est donc identifié par les patients comme un professionnel de santé avec des compétences particulières dans la transfusion, travaillant en étroite collaboration avec la coordination des soins à domicile et avec lequel ils pourront être en rapports répétés.transfusion sanguine ; choix des patients

HIV-1 tropism determination using a phenotypic Env recombinant viral assay highlights overestimation of CXCR4-usage by genotypic prediction algorithms for CRRF01_AE and CRF02_AG

Background: Human Immunodeficiency virus type-1 (HIV) entry into target cells involves binding of the viral envelope (Env) to CD4 and a coreceptor, mainly CCR5 or CXCR4. The only currently licensed HIV entry inhibitor, maraviroc, targets CCR5, and the presence of CXCX4-using strains must be excluded prior to treatment. Co-receptor usage can be assessed by phenotypic assays or through genotypic prediction. Here we compared the performance of a phenotypic Env-Recombinant Viral Assay (RVA) to the two most widely used genotypic prediction algorithms, Geno2Pheno([coreceptor]) and webPSSM. Methods: Co-receptor tropism of samples from 73 subtype B and 219 non-B infections was measured phenotypically using a luciferase-tagged, NL4-3-based, RVA targeting Env. In parallel, tropism was inferred genotypically from the corresponding V3-loop sequences using Geno2Pheno([coreceptor]) (5-20% FPR) and webPSSM-R5X4. For discordant samples, phenotypic outcome was retested using co-receptor antagonists or the validated Trofile (R) Enhanced-Sensitivity-Tropism-Assay. Results: The lower detection limit of the RVA was 2.5% and 5% for X4 and R5 minority variants respectively. A phenotype/genotype result was obtained for 210 samples. Overall, concordance of phenotypic results with Geno2Pheno([coreceptor]) was 85.2% and concordance with webPSSM was 79.5%. For subtype B, concordance with Geno2pheno([coreceptor]) was 94.4% and concordance with webPSSM was 79.6%. High concordance of genotypic tools with phenotypic outcome was seen for subtype C (90% for both tools). Main discordances involved CRF01_AE and CRF02_AG for both algorithms (CRF01_AE: 35.9% discordances with Geno2Pheno([coreceptor]) and 28.2% with webPSSM; CRF02_AG: 20.7% for both algorithms). Genotypic prediction overestimated CXCR4-usage for both CRFs. For webPSSM, 40% discordance was observed for subtype A. Conclusions: Phenotypic assays remain the most accurate for most non-B subtypes and new subtype-specific rules should be developed for non-B subtypes, as research studies more and more draw conclusions from genotypically-inferred tropism, and to avoid unnecessarily precluding patients with limited treatment options from receiving maraviroc or other entry inhibitors

Ecotoxicological risk assessment linked to infilling quarries with treated dredged seaport sediments

International audienceThe dredged sediments of polluted seaports now raise complex management problems since it is no longer possible to discharge them into the sea. This results in the need to manage them on land, raising other types of technical, economic and environmental problems. Regarding the technical and economic dimensions, traditional waste treatment methods have proved to be poorly adapted, due to very high costs and low absorbable volumes. In this context, filling quarries in coastal areas with treated sediments could represent an interesting alternative for these materials. Nevertheless, for the environmental dimension, it is necessary to demonstrate that this possibility is harmless to inland ecosystems. Consequently, a specific ecotoxicological risk assessment methodology has been formulated and tested on three sediments taken from seaboards of France, in view to providing an operational and usable tool for the prior validation of any operation to fill quarries with treated seaport sediments. This method incorporates the formulation of a global conceptual model of the scenario studied and the definition of protocols for each of its steps: the characterisation of exposures (based on a simulation of sediment deposit), the characterisation of effects (via the study of sediments ecotoxicity), and the final ecotoxicological risk assessment performed as a calculation of a risk quotient. It includes the implementation in parallel of two types of complementary approach: the "substances" approach derived from the European methodology for assessing new substances placed on the market, and the "matrix" approach which is similar to methods developed in France to assess ecological risks in other domains (waste management, polluted site management, ...). The application of this dual approach to the three sediments tested led to conclude with reliability that the project to deposit sediments "1" and "2" presented a low risk for the peripheral aquatic ecosystems while sediment "3" presented a high risk

Characteristics and spread to the native population of HIV-1 non-B subtypes in two European countries with high migration rate

Background: Non-B subtypes account for at least 50 % of HIV-1 infections diagnosed in Belgium and Luxembourg. They are considered to be acquired through heterosexual contacts and infect primarily individuals of foreign origin. Information on the extent to which non-B subtypes spread to the local population is incomplete. Methods: Pol and env gene sequences were collected from 410 non-subtype B infections. Profound subtyping was performed using 5 subtyping tools and sequences of both pol and env. Demographic information, disease markers (viral load, CD4 count) and viral characteristics (co-receptor tropism) were compared between subtypes. Maximum likelihood phylogenetic trees were constructed and examined for clustering. Results: The majority of non-B infections were diagnosed in patients originating from Africa (55.8 %), individuals born in Western Europe represented 30.5 %. Heterosexual transmission was the most frequently reported transmission route (79.9 %), MSM transmission accounted for 12.2 % and was significantly more frequently reported for Western Europeans (25.7 % versus 4.3 % for individuals originating from other regions; p < 0.001). Subtypes A and C and the circulating recombinant forms CRF01_AE and CRF02_AG were the most represented and were included in the comparative analysis. Native Western Europeans were underrepresented for subtype A (14.5 %) and overrepresented for CRF01_AE (38.6 %). The frequency of MSM transmission was the highest for CRF01_AE (18.2 %) and the lowest for subtype A (0 %). No differences in age, gender, viral load or CD4 count were observed. Prevalence of CXCR4-use differed between subtypes but largely depended on the tropism prediction algorithm applied. Indications for novel intersubtype recombinants were found in 20 patients (6.3 %). Phylogenetic analysis revealed only few and small clusters of local transmission but could document one cluster of CRF02_AG transmission among Belgian MSM. Conclusions: The extent to which non-B subtypes spread in the native Belgian-Luxembourg population is higher than expected, with 30.5 % of the non-B infections diagnosed in native Western Europeans. These infections resulted from hetero-as well as homosexual transmission. Introduction of non-B variants in the local high at risk population of MSM may lead to new sub-epidemics and/or increased genetic variability and is an evolution that needs to be closely monitored

OpenCases: case studies on openness in education

OpenCases is a study which is part of the OpenEdu Project. It is a qualitative study consisting of a review of literature on open education and nine in-depth case studies of higher education institutions, a consortium of universities, a private organisation and a national initiative. It analysed the rationale and enabling conditions for involvement in open education, open education activities, strategies, impact, challenges and prospects. The main outcome of this study is evidence that a large number of OER have reached a large group of learners. However, completion rates of MOOCs are low. Accreditation is not formalised and in general its impact on employability is not measure

Cytotoxic CD8+ T Cells Expressing CXCR5 Are Detectable in HIV-1 Elite Controllers After Prolonged In Vitro Peptide Stimulation

Antiretroviral therapy (ART) is not curative as HIV-1 persists in long-lived viral reservoirs. Consequently, patients are dependent on life-long drug adherence with possible side effects. To overcome these limitations strategies of a functional cure aim at ART free viral remission. In this study, we sought to identify detailed subsets of anti-viral CD8+ T cell immunity linked to natural long-term control of HIV-1 infection. Here, we analyzed HIV controllers and ART suppressed progressors for in vitro viral suppressive capacity (VSC) at baseline and after peptide stimulation. Functional properties and phenotypes of CD8+ T cells were assessed by IFN-γ ELISPOT and 18 color flow cytometry. HIV controllers showed significantly increased suppression at baseline as well as after peptide stimulation. IFN-γ secretion and the proliferation marker Ki67 positively correlated with VSC. Moreover, the detailed phenotype of three distinct multifunctional memory CD8+ T cell subsets were specific traits of HIV controllers of which two correlated convincingly with VSC. Our results underline the importance of multifunctional CD8+ T cell responses during natural control. Especially the role of CXCR5 expressing cytotoxic subsets emphasizes potential surveillance in sites of reservoir persistence and demand further study.</jats:p

Innover dans le secteur de la transformation agroalimentaire en Afrique de l'Ouest

L'article analyse, à l'aide de la méthode ImpresS conçue par le Cirad, un processus d'innovation impulsé par les utilisatrices d'un équipement de transformation : le décortiqueur et blanchisseur de fonio (Digitaria exilis Stapf) en Afrique de l'Ouest. L'identification du système d'acteurs et le récit chronologique du processus d'innovation ont été mobilisés pour caractériser les mécanismes et les conditions qui expliquent la réussite de cette innovation. Ils mettent en évidence le rôle déterminant d'un partenariat autour d'objectifs partagés entre plusieurs acteurs (chercheurs, transformatrices et équipementiers) et l'importance de la mobilisation d'un capital de connaissances chez ces acteurs pour résoudre un problème sociétal : la pénibilité du décorticage du fonio. Les apprentissages croisés, formels ou informels, entre les parties prenantes, ont été essentiels à l'émergence de solutions aux problèmes rencontrés en cours de processus. (Résumé d'auteur