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    Relationship between disease course in the temporomandibular joints and mandibular growth rotation in patients with juvenile idiopathic arthritis followed from childhood to adulthood

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    <p>Abstract</p> <p>Objective</p> <p>To investigate the relationship between radiographic JIA disease course in the TMJs and mandibular growth rotation, compared with growth in healthy individuals.</p> <p>Methods</p> <p>From a larger series of JIA patients followed from childhood to adulthood, 26 were included; 11 without and 15 with bilateral radiographic TMJ involvement. Joint morphology and function were assessed at baseline, 2-, 4-, 6- and 27 years follow-up. Mandibular growth rotation (anterior, posterior or none) was assessed from cephalometric evaluations at childhood and adulthood, with observations from 16 healthy individuals as controls. TMJ disease course and mandibular growth rotation were assessed independently and their relationship analysed. Non-parametric statistical methods were applied to test differences between groups.</p> <p>Results</p> <p>In the normal TMJ group of JIA patients the joint morphology was similar at the follow-ups and all patients had good function both in childhood and in adulthood. The mandibular growth rotation was similar to that of healthy controls, i.e. predominantly in anterior direction. In the abnormal TMJ group different JIA TMJ disease courses were observed and associated with changes in the mandibular growth rotation (p = 0.007).</p> <p>Progressing JIA TMJ disease course was related to posterior mandibular growth rotation and improving disease course to anterior mandibular growth rotation.</p> <p>Conclusion</p> <p>A relationship was found between JIA disease course in the TMJs and mandibular growth rotation, suggesting that a favourable growth could be regained in patients with improvement in TMJ morphology and/or TMJ function. To confirm this, further research on larger patient series is needed.</p

    Croissance en largeur du maxillaire, étudiée par la méthode des implants

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    La croissance transversale du maxillaire a été étudiée radiographiquement au moyen de la méthode des implants métalliques. L'échantillonnage consistait en 9 garçons sans malocclusions. Ces jeunes gens n'avaient jamais été traités et leur croissance était suivie par l'enregistrement annuel de leur courbe staturale depuis l'âge de 4 ans. La croissance suturale en largeur du maxillaire fut déterminée à partir de radiographies frontales, par l'augmentation de la distance entre des implants métalliques insérés à la base de chacune des apophyses zygomatiques du maxillaire. La courbe de quantité et de vitesse de croissance au niveau de la suture médiane était semblable au tracé de la courbe de croissance staturale, les deux courbes montrant un maximum de croissance à la puberté. Des mesures faites à l'aide des implants sur les radiographies de profil montrent une coïncidence des moments du maximum de croissance pubertaire au niveau de la suture transversale et de l'ensemble de la face. Le moment de l'achèvement de la croissance de ces sutures coïncidait également, survenant en moyenne vers l'âge de 17 ans. Le développement en largeur de l'arcade dentaire maxillaire, mesurée entre les premières molaires, montrait un léger pic pubertaire, mais au total son augmentation ne représentait que la moitié de l'augmentation suturale en largeur du maxillaire dans cette région. Pour vérifier si la croissance au niveau de la suture médiane était égale sur toute sa longueur, des implants métalliques furent insérés antérieurement dans le maxillaire de chaque côté de la suture médiane à un niveau correspondant aux apex des incisives centrales. En tenant compte des différences d'agrandissement sur les radiographies frontales, l'augmentation de la distance entre les implants latéraux était le triple de celle des implants antérieurs pour la période correspondante. Cela démontre que la suture intermaxillaire s'élargit davantage dans la partie postérieure que dans la partie antérieure et que, en conséquence, les deux hémimaxillaires effectuent une rotation dans le plan transversal, l'un par rapport à l'autre. L'influence de la rotation transversale des deux mâchoires sur le développement de l'arcade dentaire est discutée

    La croissance du maxillaire dans les trois dimensions, comme le révèle radiographiquement la méthode des implants

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    La croissance du maxillaire est analysée sur les téléradiographies de profil et frontales (postéro-antérieures) en utilisant la méthode des implants, chez neuf garçons suivis tous les ans jusqu'à l'âge adulte. Ils présentent une occlusion normale de la denture temporaire et n'ont pas reçu de traitement orthodontique. La proportion de croissance suturale et appositionnelle en hauteur est déterminée à partir des téléradiographies de profil, par référence aux implants de la crête inférieure du zygoma. L'abaissement sutural du corpus maxillaire est, en moyenne, environ deux fois plus important que l'apposition au niveau du plancher orbitaire. L'abaissement du plancher des fosses nasales par résorption atteint environ le tiers de la croissance appositionnelle en hauteur des procès alvéolaires. Notre étude propose d'utiliser le contour antérieur de l'apophyse zygomatique comme structure de référence dans l'analyse de croissance, car celle-ci conserve une relation constante avec les implants de la crête inférieure du zygoma, et suit étroitement la rotation de croissance naturelle du maxillaire. Toute la denture se mésiale sur le corpus maxillaire, par rapport aux implants ; simultanément, s'opère une petite diminution de la longueur d'arcade, due en partie à un développement en largeur différencié du maxillaire. Les mesures établies entre les implants bilatéraux, sur des radiographies frontales, prouvent que la croissance de la suture médiane est plus importante en arrière qu'en avant, ce qui entraîne une rotation des deux hémi-maxillaires, l'un par rapport à l'autre, dans le plan transversal. Ceci se reflète dans le développement de l'arcade dentaire. En effet, l'augmentation de la largeur intermolaire est en étroite corrélation avec la croissance suturale médiane postérieure, alors que l'augmentation de la largeur intercanine est moins importante. La dérive mésiale de l'arcade dentaire conduit à la diminution de l'espace nécessaire aux incisives, ce qui peut provoquer un encombrement incisif secondaire

    L'analyse de croissance du maxillaire par céphalométrie radiologique

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    Dans l'étude de la croissance maxillaire, le fait de ne connaître aucune structure de référence sûre pour la superposition des téléradiographies dans les séries longitudinales a été un obstacle considérable. Nous avons prouvé que le contour de la surface antérieure de l'apophyse zygomatique du maxillaire conservait une relation constante vis-à-vis des implants métalliques et que ce contour suivait la rotation de la croissance du maxillaire. Sur la base de ces découvertes une méthode sera décrite pour l'analyse clinique des changements rotatifs dûs à la croissance ou aux traitements, sans utilisation des implants

    Rapport de la maturation squelettique de la main et du pic de croissance staturale pubertaire

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    Une étude longitudinale portant sur cinquante-deux garçons danois a cherché à déterminer le rapport existant entre l'âge du début des sept stades de maturation squelettique de la main et celui du pic de croissance pubertaire s'exprimant par l'accroissement statural (Hx). On a réparti les stades squelettiques en quatre groupes (fig. 7) (consulter le tableau 1 pour les définitions et les abréviations). Un stade (PP2 = ) survient invariablement avant Hx. Deux stades (MP3 = et S) se produisent soit avant, soit simultanément à Hx. Un stade (MP3cap) a habituellement lieu simultanément à Hx ou un an après, mais dans deux exemples, avant Hx. Les trois stades d'union épiphysaire complète (DP3u, PP3u, et MP3u) surviennent invariablement après Hx. Les taux annuels de croissance staturale sont plutôt élevés aux stades S et MP3cap, et comparativement bas aux stades PP2 = et DP3U. On en a conclu que certains traitements orthodontiques, surtout ceux pour lesquels on demande une adaptation de la croissance, devraient être commencés entre le début des stades S et MP3cap, et terminés avant le début du stade DP3U
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