411 research outputs found

    Optimizing construction of scheduled data flow graph for on-line testability

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    The objective of this work is to develop a new methodology for behavioural synthesis using a flow of synthesis, better suited to the scheduling of independent calculations and non-concurrent online testing. The traditional behavioural synthesis process can be defined as the compilation of an algorithmic specification into an architecture composed of a data path and a controller. This stream of synthesis generally involves scheduling, resource allocation, generation of the data path and controller synthesis. Experiments showed that optimization started at the high level synthesis improves the performance of the result, yet the current tools do not offer synthesis optimizations that from the RTL level. This justifies the development of an optimization methodology which takes effect from the behavioural specification and accompanying the synthesis process in its various stages. In this paper we propose the use of algebraic properties (commutativity, associativity and distributivity) to transform readable mathematical formulas of algorithmic specifications into mathematical formulas evaluated efficiently. This will effectively reduce the execution time of scheduling calculations and increase the possibilities of testability

    On the "three subobjects lemma" and its higher-order generalisations

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    We solve a problem mentioned in an article of Berger and Bourn: we prove that in the context of an algebraically coherent semi-abelian category, two natural definitions of the lower central series coincide. In a first, "standard" approach, nilpotency is defined as in group theory via nested binary commutators of the form [[X,X],X][[X,X],X]. In a second approach, higher Higgins commutators of the form [X,X,X][X,X,X] are used to define nilpotent objects. The two are known to be different in general; for instance, in the context of loops, the definition of Bruck is of the former kind, while the commutator-associator filtration of Mostovoy and his co-authors is of the latter type. Another example, in the context of Moufang loops, is given in Berger and Bourn's paper. In this article, we show that the two streams of development agree in any algebraically coherent semi-abelian category. Such are, for instance, all Orzech categories of interest. Our proof of this result is based on a higher-order version of the Three Subobjects Lemma of Cigoli-Gray-Van der Linden, which extends the classical Three Subgroups Lemma from group theory to categorical algebra. It says that any nn-fold Higgins commutator [K1,,Kn][K_1, \dots,K_n] of normal subobjects KiK_i of an object XX may be decomposed into a join of nested binary commutators.Comment: 20 pages; revised version, with some simplified proof

    Gestion des Réfugiés Centrafricains du Camp de GadoBadzéré dans la Région de l’Est (Cameroun) : À la Recherche de Solutions Durables

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    Le renversement du pouvoir en place à Bangui en décembre 2012 par des milices armées nommées « Anti-Balaka » a eu pour effet d’accélérer les mouvements migratoires des réfugiés centrafricains en direction du Cameroun à la recherche de la paix. Mais le séjour de ces derniers dans des camps aménagés, à l’instar de celui de Gado-Badzéré dans la région de l’Est du Cameroun, est loin d’aplanir toutes les inquiétudes sur leur situation de réfugiés. En effet, malgré la présence des multiples acteurs sur le terrain, le problème de la gestion des réfugiés centrafricains à Gado-Badzéré, de la prise en charge à leur arrivée, au sort que leur réserve l’avenir, se pose encore avec acuité. Pour l’appréhender, la démarche hypothético-déductive a été privilégiée et s’est appuyée sur la collecte des données de diverses sources, en particulier des entretiens auprès des personnes ressources, puis des enquêtes menées auprès de 220 réfugiés à Gado-Badzéré. Il en ressort que de multiples acteurs à l’instar du HCR et ses partenaires, de l’Etat du Cameroun à travers ses différents démembrements, interagissent pour tenter d’apporter deux types de réponses aux problèmes des réfugiés. Les réponses immédiates sont constituées des aides matérielles et alimentaires, alors que les réponses à moyen et long termes s’intéressent au devenir des réfugiés. Au-delà de ces solutions qui présentent des limites, des propositions sont faites aussi bien à l’endroit du HCR et de tous les acteurs intervenant dans la prise en charge des réfugiés, qu’à l’endroit des réfugiés eux-mêmes.   The overthrow of power in place in Bangui in December 2012 by armed militias called “Anti-balaka” had the effect of accelerating the migratory movements of Central African refugees towards Cameroon in search of peace. But the stay of the latter in camps set up like that of Gado-Badzéré in the eastern region of Cameroon is far from alleviating all concerns about their situation as refugees. Indeed, despite the presence of multiple actors on the ground, the problem of managing Central African refugees in Garoua-Badzéré, the assumption of responsibility at the time arrived to the fate that the future reserves still arises with acuity. To solve this problem, a hypothetical-deductive approach was adopted, based on data collection from both secondary and primary sources through interviews with resource persons. Then, surveys were conducted among 220 refugees in Gado-Badzéré. It was found that multiple actors like the UNHCR and its partners in the state of Cameroon through its various dismemberments interact to try to provide two types of response to the refugee’s problem. Immediate responses are made up of material and food areas while long-term responses focus on the future of refugees. Beyond these solutions, which have limits, proposals are made both to the UNHCR and all the actors involved in the care of refugees and to the refugees themselves.&nbsp

    Gestion des Réfugiés Centrafricains du Camp de GadoBadzéré dans la Région de l’Est (Cameroun) : A la Recherche de Solutions Durables

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    Le renversement du pouvoir en place à Bangui en décembre 2012 par des milices armées nommées « Anti-Balaka » a eu pour effet d’accélérer les mouvements migratoires des réfugiés centrafricains en direction du Cameroun à la recherche de la paix. Mais, le séjour de ces derniers dans des camps aménagés, à l’instar de celui de Gado-Badzéré dans la région de l’Est du Cameroun, est loin d’aplanir toutes les inquiétudes sur leur situation de réfugiés. En effet, malgré la présence des multiples acteurs sur le terrain, le problème de la gestion des réfugiés centrafricains à Gado-Badzéré, de la prise en charge à leur arrivée, au sort que leur réserve l’avenir, se pose encore avec acuité. Ainsi, l’objectif général de cette étude est d’examiner les perspectives qui s’offrent aux réfugiés dans le village de Gado-Badzéré.  Pour y parvenir, la démarche hypothético-déductive a été privilégiée et s’est appuyée sur la collecte des données de diverses sources, en particulier des entretiens auprès des personnes ressources, puis des enquêtes menées auprès de 220 réfugiés à Gado-Badzéré. Il en ressort que de multiples acteurs à l’instar du HCR et ses partenaires, de l’Etat du Cameroun à travers ses différents démembrements, interagissent pour tenter d’apporter deux types de réponses aux problèmes des réfugiés. Les réponses immédiates sont constituées des aides matérielles et alimentaires, alors que les réponses à moyen et long termes s’intéressent au devenir des réfugiés. Au-delà de ces solutions qui présentent des limites, des propositions sont faites aussi bien à l’endroit du HCR et de tous les acteurs intervenant dans la prise en charge des réfugiés, qu’à l’endroit des réfugiés eux-mêmes.   The overthrow of power in place in Bangui in December 2012 by armed militias called “Anti-balaka” had the effect of accelerating the migratory movements of Central African refugees towards Cameroon in search of peace. But the stay of the latter in camps set up like that of Gado-Badzéré in the eastern region of Cameroon is far from alleviating all concerns about their situation as refugees. Indeed, despite the presence of multiple actors on the ground, the problem of managing Central African refugees in Garoua-Badzéré, the assumption of responsibility at the time arrived to the fate that the future reserves still arise with acuity. Then, the overall objective of this study is to examine the prospects available to refugees in the village of Gado-Badzéré.  To achieve this, a hypothetical-deductive approach was adopted, based on data collection from both secondary and primary sources through interviews with resource persons. Then, surveys were conducted among 220 refugees in Gado-Badzéré. It was found that multiple actors like the UNHCR and its partners in the state of Cameroon through its various dismemberments interact to try to provide two types of response to the refugee problem. Immediate responses are made up of material and food areas while long-term responses focus on the future of refugees. Beyond these solutions, which have limits, proposals are made both to the UNHCR and all the actors involved in the care of refugees and to the refugees themselves.&nbsp

    Gestion des Réfugiés Centrafricains du Camp de GadoBadzéré dans la Région de l’Est (Cameroun) : À la Recherche de Solutions Durables

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    Le renversement du pouvoir en place à Bangui en décembre 2012 par des milices armées nommées « Anti-Balaka » a eu pour effet d’accélérer les mouvements migratoires des réfugiés centrafricains en direction du Cameroun à la recherche de la paix. Mais le séjour de ces derniers dans des camps aménagés, à l’instar de celui de Gado-Badzéré dans la région de l’Est du Cameroun, est loin d’aplanir toutes les inquiétudes sur leur situation de réfugiés. En effet, malgré la présence des multiples acteurs sur le terrain, le problème de la gestion des réfugiés centrafricains à Gado-Badzéré, de la prise en charge à leur arrivée, au sort que leur réserve l’avenir, se pose encore avec acuité. Pour l’appréhender, la démarche hypothético-déductive a été privilégiée et s’est appuyée sur la collecte des données de diverses sources, en particulier des entretiens auprès des personnes ressources, puis des enquêtes menées auprès de 220 réfugiés à Gado-Badzéré. Il en ressort que de multiples acteurs à l’instar du HCR et ses partenaires, de l’Etat du Cameroun à travers ses différents démembrements, interagissent pour tenter d’apporter deux types de réponses aux problèmes des réfugiés. Les réponses immédiates sont constituées des aides matérielles et alimentaires, alors que les réponses à moyen et long termes s’intéressent au devenir des réfugiés. Au-delà de ces solutions qui présentent des limites, des propositions sont faites aussi bien à l’endroit du HCR et de tous les acteurs intervenant dans la prise en charge des réfugiés, qu’à l’endroit des réfugiés eux-mêmes.   The overthrow of power in place in Bangui in December 2012 by armed militias called “Anti-balaka” had the effect of accelerating the migratory movements of Central African refugees towards Cameroon in search of peace. But the stay of the latter in camps set up like that of Gado-Badzéré in the eastern region of Cameroon is far from alleviating all concerns about their situation as refugees. Indeed, despite the presence of multiple actors on the ground, the problem of managing Central African refugees in Garoua-Badzéré, the assumption of responsibility at the time arrived to the fate that the future reserves still arises with acuity. To solve this problem, a hypothetical-deductive approach was adopted, based on data collection from both secondary and primary sources through interviews with resource persons. Then, surveys were conducted among 220 refugees in Gado-Badzéré. It was found that multiple actors like the UNHCR and its partners in the state of Cameroon through its various dismemberments interact to try to provide two types of response to the refugee’s problem. Immediate responses are made up of material and food areas while long-term responses focus on the future of refugees. Beyond these solutions, which have limits, proposals are made both to the UNHCR and all the actors involved in the care of refugees and to the refugees themselves.&nbsp

    Logiques d’acteurs dans la gestion des eaux usées et assainissement dans la commune d’arrondissement de Bafoussam 1er (Ouest-Cameroun)

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    The management of waste water has become an important and even paramount concern in daily life all over the world. Hygiene and sanitation conditions are gradually deteriorating in Cameroonian cities. Population explosion and the uncontrolled urbanization are weakening the existing waste management systems. The goal of this study is to show how waste water management by different stakeholders can contribute to the sanitation of Bafoussam I. To achieve this goal, the hypothetico-deductive method is used to compare the initial hypotheses with the reality on the ground, based on various sources and especially a survey of 106 households. The information on diseases related to living in unsanitary conditions and on drinking poor quality water collected in households was complemented by information collected in health centres and physical-chemical and bacteriological analyses of 6 samples of waste water taken.  These findings indicate that the attempts initiated by households very often bring only temporary solutions and reveal rudimentary facilities whose state of operation constitutes in itself a source of pollution. The malfunction of sanitation facilities leads to the pollution of surface water, groundwater, soil and air quality. Repeated illness (malaria, typhoid fever, diarrhoea, etc.) that are highly prevalent in health facilities are linked to defective hygiene and insalubrity. The successful mastery of waste water management techniques and sanitation would be effective with the participation of all stakeholders.   La gestion des eaux usées est devenue une préoccupation importante voire primordiale de la vie quotidienne dans le monde entier. Les conditions d’hygiène et de salubrité se dégradent progressivement dans les villes camerounaises. La démographie galopante et l’urbanisation non maitrisée viennent fragiliser les systèmes de gestion des déchets existants. L’objectif visé est de montrer comment la gestion des eaux usées par les différents acteurs peut contribuer à l’assainissement de Bafoussam 1er. Pour l’atteindre, la méthode hypothético-déductive a permis à partir des diverses sources, mais surtout d’une enquête auprès de 106 ménages, de confronter les hypothèses de départ à la réalité de terrain. Les informations sur les maladies liées à la vie dans un environnement insalubre et sur la consommation d’une eau de mauvaise qualité recueillies dans les ménages ont été complétées par celles collectées dans les centres de santé et les analyses physico-chimiques et bactériologiques de 6 échantillons d’eau usée prélevés.  Il ressort de cette étude que les tentatives initiées par les ménages n’apportent très souvent que des solutions provisoires et laissent ressortir des dispositifs rudimentaires dont leur état de fonctionnement constitue en soi une source de pollution. Les dysfonctionnements des systèmes d’assainissement entrainent la pollution des eaux de surface, des eaux souterraines, du sol et de la qualité de l’air. La récurrence des maladies (paludisme, fièvre typhoïde, diarrhée etc.) fortement dénombré dans les formations sanitaires sont liées à l’hygiène défectueuse et l’insalubrité. Le succès de la maitrise des techniques de gestion des eaux usées et de l’assainissement serait efficace avec la participation de tous les acteurs

    COHABITATION DU SHUPAMEM AVEC LE FRANÇAIS EN CLASSE DE FLS AU CES DE NJIKETKIE

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    Le présent article évalue la cohabitation du shupamem, langue bantoue des grassfield parlée à l’ouest du Cameroun avec le français en classe de FLS au CES de Njiketkié. L’article se focalise sur l’impact du shupamem dans la communication écrite et orale en langue française chez les apprenants des classes de 6ème et 5ème au CES de Njiketkié. Ainsi, pour comprendre ce phénomène nous nous sommes posé la question suivante: les difficultés que rencontrent les apprenants de classes de 6ème et 5ème du CES de Njiketkié en français sont-elles liées à leur pratique régulière du shupamem? Notre travail a donc pour objectif d’identifier et d’analyser les marques du phénomène de la cohabitation entre le le shupamem et le français chez les élèves qui vivent dans un environnement linguistique entièrement dominé par leur langue maternelle. Pour mener à bien notre recherche, trois types de donnée ont été collectées, les copies des apprenants à travers l’analyse des documents, les propos de ceux-ci recueillis au moyen de questionnaires, et l’opinion des enseignants à travers l’entretien semi-directif. Ces données ont été analysées au moyen du variationisme de Gumperz (1989) et de la sémantaxe de Manessy (1994). Il ressort de cette étude que les fautes commises par les élèves de classe de 6ème et 5ème du CES de Njiketkié au cours de leur production en langue française sont causées par la   domination entière de leur langue maternelle dans la localité de njiketkié. Ces apprenants affirment que leurs lacunes en français sont aussi dues entre autres au fait que non seulement ils ont de carences en vocabulaire mais la langue française est dépourvue de certains vocabulaires pouvant leur permettre de s’exprimer comme ils veulent. Certains enseignants ont décrypté les difficultés des apprenants, parlent de leur gestion et proposent des solutions pour remédier à cette situation. Ce travail pourra être utile à tous ceux qui enseignent le français dans les zones rurales où généralement, les langues locales constituent le principal obstacle dans l’acquisition de la compétence communicative langagière en langue seconde, ces enseignants pourraient ainsi ne plus subir cette cohabitation comme une fatalité

    COHABITATION DU SHUPAMEM AVEC LE FRANÇAIS EN CLASSE DE FLS AU CES DE NJIKETKIE

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    Le présent article évalue la cohabitation du shupamem, langue bantoue des grassfield parlée à l’ouest du Cameroun avec le français en classe de FLS au CES de Njiketkié. L’article se focalise sur l’impact du shupamem dans la communication écrite et orale en langue française chez les apprenants des classes de 6ème et 5ème au CES de Njiketkié. Ainsi, pour comprendre ce phénomène nous nous sommes posé la question suivante: les difficultés que rencontrent les apprenants de classes de 6ème et 5ème du CES de Njiketkié en français sont-elles liées à leur pratique régulière du shupamem? Notre travail a donc pour objectif d’identifier et d’analyser les marques du phénomène de la cohabitation entre le le shupamem et le français chez les élèves qui vivent dans un environnement linguistique entièrement dominé par leur langue maternelle. Pour mener à bien notre recherche, trois types de donnée ont été collectées, les copies des apprenants à travers l’analyse des documents, les propos de ceux-ci recueillis au moyen de questionnaires, et l’opinion des enseignants à travers l’entretien semi-directif. Ces données ont été analysées au moyen du variationisme de Gumperz (1989) et de la sémantaxe de Manessy (1994). Il ressort de cette étude que les fautes commises par les élèves de classe de 6ème et 5ème du CES de Njiketkié au cours de leur production en langue française sont causées par la   domination entière de leur langue maternelle dans la localité de njiketkié. Ces apprenants affirment que leurs lacunes en français sont aussi dues entre autres au fait que non seulement ils ont de carences en vocabulaire mais la langue française est dépourvue de certains vocabulaires pouvant leur permettre de s’exprimer comme ils veulent. Certains enseignants ont décrypté les difficultés des apprenants, parlent de leur gestion et proposent des solutions pour remédier à cette situation. Ce travail pourra être utile à tous ceux qui enseignent le français dans les zones rurales où généralement, les langues locales constituent le principal obstacle dans l’acquisition de la compétence communicative langagière en langue seconde, ces enseignants pourraient ainsi ne plus subir cette cohabitation comme une fatalité

    French Language and the Teaching of Cameroonian National Languages in Secondary Schools of the West Region: Asset or Obstacle?

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    The syllabus of Cameroonian national languages in secondary education provides for the teaching of basic notions in linguistic and the General Alphabet of Cameroonian Languages at the observation sub-cycle and the teaching of a specific language, that of the locality where the school is found, from the orientation sub-cycle, i.e. from the 4e. This paper tries to answer the following question: What is the role of the French language in the teaching of Cameroonian national languages? The main objective of the study is to examine the role of the official language, more specifically French, and its impact on the acquisition of communicative skills in the national language. Based on Hymes' (1984) theory of Communicative Approach, we analysed data obtained from questionnaires administered to 42 teachers and 320 students, and from semi-structured interviews with Regional Pedagogic Inspectors. Conducted in 23 public secondary schools in the West Region that have teachers trained in National Languages and Cultures, the study found that the French language is very prominent in national language classes. This is due to the multilingual context of the classrooms, the sometimes approximate mastery of the national language by teachers, the inability of national languages to express all realities, among others. This strong presence of French does not favour communication in the national language. The reduction or even cancellation of French from national language classes would make it possible to stop teaching about national languages in order to truly develop the language skills of young Cameroonians in their mother tongues; this requires a certain number of measures on the part of all members of the education community
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