53 research outputs found

    FUSIONS Definitional Framework for Food Waste

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    none21To develop reliable food waste estimates, which can be accurately repeated over time, it is necessary to produce data within a robust methodological framework. This must comprise a consistent definition of food waste and its components, and consistent system boundaries for the food supply chain. The absence of a framework for defining food waste to date has led to the production of datasets that are not always comparable or transparent as to which fractions are included. A common definitional framework will support policy-makers at both EU and Member State level, and stakeholders across the food supply chain, by enabling them to accurately track the rate of food waste reduction, and the effectiveness of their waste prevention strategies. The development of this framework for defining food waste signals a key step towards improving our understanding of the food waste challenge in Europe and its consistent use will help measure progress towards both resource efficiency and food security goals.openKarin Östergren; Jenny Gustavsson; Hilke Bos-Brouwers; Toine Timmermans; Ole-Jørgen Hansen; Hanne Møller; Gina Anderson; Clementine O’Connor; Han Soethoudt; Tom Quested; Sophie Easteal; Alessandro Politano; Cecilia Bellettato; Massimo Canali; Luca Falasconi; Silvia Gaiani; Matteo Vittuari; Felicitas Schneider; Graham Moates; Keith Waldron; Barbara RedlingshöferKarin Östergren; Jenny Gustavsson; Hilke Bos-Brouwers; Toine Timmermans; Ole-Jørgen Hansen; Hanne Møller; Gina Anderson; Clementine O’Connor; Han Soethoudt; Tom Quested; Sophie Easteal; Alessandro Politano; Cecilia Bellettato; Massimo Canali; Luca Falasconi; Silvia Gaiani; Matteo Vittuari; Felicitas Schneider; Graham Moates; Keith Waldron; Barbara Redlingshöfe

    Dialogue forum consume with care: food waste and the sustainable development goals

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    Dialogue forum consume with care: food waste and the sustainable development goals. Jump-starting the SDG

    Comment mieux tenir compte des contraintes au stade de la production pour prévenir les pertes et gaspillages alimentaires? Participation à la Table ronde n°1

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    Comment mieux tenir compte des contraintes au stade de la production pour prévenir les pertes et gaspillages alimentaires? Participation à la Table ronde n°1 . Colloque Glanage contre gaspillag

    Les IIèmes travaux pratiques de la charte de l’Environnement: ... appliqués à l’alimentation, Paris le 29 mai 2006

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    International audienceAu vu de son programme et des interventions prévues, ce colloque fut bien décevant. Il est bien dommage que sa Présidente , Nathalie Kosciusko-Morizet, rapporteur du projet de loi constitutionnelle sur la Charte de l’Environnement, n’ait pu imaginer, autour du thème environnement et alimentation, que les habituelles « problématiques » de suralimentation et obésité, d’évolution vers une alimentation à deux vitesses et que la question de comment informer et éduquer (rééduquer ?) le consommateur de façon efficace

    Zero waste sustainable food systems: Scenarios for the cities of the future -2035

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    Zero waste sustainable food systems: Scenarios for the cities of the future -2035. 18. IUFOST conference, Food Security Panel - Influencing the demand for foo

    Challenging food waste reduction in urban settings – learnings from INRA’s foresight study

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    Challenging food waste reduction in urban settings – learnings from INRA’s foresight study. 8. meeting of the OECD Food chain analysis network on reducing food loss and waste in retail and processin

    Les nouveaux enjeux liés à la durabilité des systèmes alimentaires

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    La sécurité sanitaire des aliments peut entrer en conflit avec d’autres aspects du développement durable. D’une part les précautions extrêmes prises par les pouvoirs publics et les opérateurs économiques pour assurer au consommateur final une sécurité maximale, conduisent à des pertes et gaspillages à tous les stades de la chaîne de production-distribution, jusqu’au consommateur. D’autre part, les exigences sanitaires posées par des instances publiques mais aussi maintenant par des agents économiques, pour l’importation de denrées dans l’Union européenne, conduit à des barrières aux échanges. Ces exigences peuvent non seulement pénaliser le développement des agricultures des pays du Sud mais aussi modifier leur organisation.Food safety may conflict with other aspects of sustainable development. On the one hand, the extreme precautions taken by public authorities and economic operators to ensure the end consumers’ maximum safety impact on losses and wastage at all stages of the supply chain until the consumer. On the other hand, health requirements imposed by public authorities but also now by economic agents for the import of foodstuffs in the European Union, lead to trade barriers. These requirements may not only penalize the development of agriculture in southern countries but also change their organization

    Emerging innovations for a significant reduction of food losses and waste: a review

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    Emerging innovations for a significant reduction of food losses and waste: a review. IARU Sustainability science congress. 17. IUFoST World Congress of Food Science and Technology (World Food Congress

    État des lieux des pertes alimentaires et potentiel d'utilisation des sous-produits animaux par les filières animales

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    National audienceIn 2014 and 2015, INRA has initiated a comprehensive approach to food loss and waste in the plant and the livestock sector, from primary production to processing. This paper summarizes the study for the livestock sector. Based on a mass-balance approach, the study has analyzed the destination of two types of discard from the food chain: firstly, foodstuff discarded from human consumption and, according to the definition of the study, potentially becoming food loss; secondly, inedible parts regrouped together as animal by-products (ABP). Food loss ranges between 3 and 8% in the livestock sector, depending on species’ specificities (in particular their inclination to transmissible spongiform encephalopathies). Food loss is mainly related to the recycling of ABP in pet food, except for the beef sector, which incinerates an important share. As for inedible parts, animal feed and pet food play a different role according to the sector they stem from. A modest share (ranging between 1 and 5% for terrestrial animals, 15% for fish farming) is used for animal feed and, hence, indirectly for human consumption. It could be increased if uses for pet food (which range between 6 and 25% according to the sector) were at least in part directed to animal feed.L’INRA a confié à ses « groupes filières » une étude (2015-2016) visant à analyser et à quantifier les pertes alimentaires aux stades de la production agricole et de la transformation. Cet article synthétise le travail sur les filières animales. Grace à la construction d’une méthodologie par bilan de masse, l’étude a permis d’analyser le devenir des deux types de retraits pratiqués : les denrées alimentaires écartées de la consommation humaine et donc susceptibles, selon la définition de l’étude, d’induire des pertes alimentaires, d’une part, et les matières inconsommables par l’Homme d’autre part, lesquelles contribuent ensemble à la production des Sous-Produits Animaux (SPA). Les taux des pertes alimentaires varient de 3 à 8 % environ dans les filières animales, en lien avec les particularités d’espèces (sensibilité aux encéphalopathies spongiformes transmissibles, notamment). Les pertes alimentaires sont majoritairement liées à la valorisation des SPA en « pet food », sauf dans la filière bovine où la fraction incinérée est importante. En ce qui concerne les parties inconsommables pour l’Homme, l’alimentation du bétail et le « pet food » jouent un rôle différent selon les filières de provenance. Une part modeste (de 1 à 5 % chez les espèces terrestres, 15 % chez les poissons) donne lieu à une valorisation en alimentation du bétail et de façon indirecte à l’alimentation humaine. Cette partie serait beaucoup plus élevée encore si la part dédiée au « pet food » (laquelle varie de 6 à 25 % selon les filières) était réorientée au moins en partie vers les aliments du bétail. Notre étude a permis de montrer que les animaux d’élevage, et en particulier les monogastriques, ne sont pas que concurrents de l’Homme pour les ressources alimentaires, mais rendent service par la valorisation des sous-produits animaux et de ce fait, par la « non-mobilisation » de ressources
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