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    A Unified Model For Developmental Robotics

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    We present the architecture and distributed algorithms of an implemented system called NeuSter, that unifies learning, perception and action for autonomous robot control. NeuSter comprises several sub-systems that provide online learning for networks of million neurons on machine clusters. It extracts information from sensors, builds its own representations of the environment in order to learn non-predefined goals

    From following to improving technology: the case of the swiss gas industry in the 19th century

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    Influence de différences interaurales de temps sur la sonie de sons purs en basse fréquence

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    ISBN 978-2-919340-02-6 - EAN 9782919340026National audienceLa sonie directionnelle est un phĂ©nomĂšne se traduisant par une variation de l'intensitĂ© sonore perçue en fonction de la localisation de la source. Celui-ci a Ă©tĂ© essentiellement observĂ© en hautes frĂ©quences, pour des sources localisĂ©es dans le plan horizontal, oĂč l'ombre acoustique de la tĂȘte de l'auditeur modifie la pression sonore aux oreilles droite et gauche. Ces modifications physiques sont fonction de l'azimut de la source et se rĂ©percutent alors sur la sonie qui est issue d'un processus de sommation binaurale. Par ailleurs, des variations significatives de la sonie avec l'azimut de la source ont Ă©tĂ© observĂ©es dĂšs 400 Hz, oĂč les effets d'ombre sont pourtant considĂ©rĂ©s comme faibles. On peut alors supposer que ce phĂ©nomĂšne n'est pas causĂ© uniquement par les modifications physiques subies par les pressions aux oreilles, mais aussi par d'autres paramĂštres liĂ©s au processus de localisation. Le but de cette Ă©tude est d'observer la sonie de sons purs en basse frĂ©quence ( f ≀ 500 Hz) latĂ©ralisĂ©s (au casque) uniquement par des diffĂ©rences interaurales de temps (pas de diffĂ©rences interaurales de niveau). Un test d'Ă©galisation de sonie montre qu'Ă  faible niveau (40 phon) celle-ci varie de maniĂšre significative en fonction de ces diffĂ©rences de temps : un son dont la diffĂ©rence interaurale de temps correspondait Ă  un azimut virtuel de ±90° Ă©tait perçu significativement plus fort qu'un son de rĂ©fĂ©rence (sans diffĂ©rence de temps) prĂ©sentĂ© au mĂȘme niveau physique. Le phĂ©nomĂšne de sonie directionnelle apparaĂźt donc comme n'Ă©tant pas dĂ» uniquement aux niveaux physiques aux oreilles bien que l'effet des seules diffĂ©rences de temps ne soit pas significatif Ă  niveau moyen (70 phon) ou au seuil d'audition

    Sonie directionnelle en basse fréquence - Effet sur des sons purs latéralisés uniquement par des différences de temps

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    National audienceEn hautes frĂ©quences, l'ombre acoustique de la tĂȘte d'un auditeur modifie le champ sonore et gĂ©nĂšre des diffĂ©rences de pression entre ses deux oreilles. Ce phĂ©nomĂšne est notamment responsable des diffĂ©rences interaurales de niveau (ILD) qui nous permettent de localiser des sources pour des frĂ©quences supĂ©rieures Ă  1500 Hz. De plus, la diffĂ©rence de pression entre oreilles droite et gauche Ă©tant variable selon l'azimut de la source, la sonie globale issue d'un processus de sommation entre les deux signaux varie elle aussi en fonction de l'azimut. Ce phĂ©nomĂšne est connu en tant que sonie directionnelle et a donc surtout Ă©tĂ© observĂ© au-delĂ  de 1500 Hz. Cependant, des Ă©tudes ont montrĂ© que ce phĂ©nomĂšne avait lieu dĂšs 400 Hz (oĂč l'influence de la tĂȘte de l'auditeur sur le champ sonore est faible) et que la variation de sonie observĂ©e pour diffĂ©rents azimuts Ă©tait supĂ©rieure Ă  ce qui pouvait ĂȘtre attendu des mesures de pression sur chaque oreille. Ainsi on peut supposer que les diffĂ©rences interaurales de pression ne sont pas les seules responsables du phĂ©nomĂšne de sonie directionnelle et que le simple fait de localiser une source dans une direction donnĂ©e peut modifier sa sonie. Afin de vĂ©rifier cette hypothĂšse, des sons purs de frĂ©quence 200 et 400 Hz ont Ă©tĂ© spatialisĂ©s (−90◩, −60◩, −30◩, 0◩, +30◩, +60◩, +90◩) au casque en appliquant uniquement des diffĂ©rences interaurales de temps (ITD), la pression Ă©tant la mĂȘme sur chaque oreille. Les auditeurs devaient ajuster la sonie des sons tests sur une rĂ©fĂ©rence frontale prĂ©sentĂ©e Ă  40 ou 70 phones. Les rĂ©sultats montrent qu'Ă  bas niveau et quelle que soit la frĂ©quence, les sons provenant du cĂŽtĂ© (±90◩) sont perçus significativement plus forts que la rĂ©fĂ©rence frontale. En revanche, aucun effet significatif de l'azimut sur la sonie n'est relevĂ© Ă  70 phones

    A comparative study on different assessment procedures applied to loudspeaker sound quality

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    International audienceParadoxically, one of the hardest to measure characteristics of a sound reproduction device such as a loudspeaker is its sound quality. The perception of this subjective character is linked to numerous parameters (stimulus type, listening environment, etc.) that must be drastically controlled to lead to reliable and repeatable judgments. Industrial and academic researchers are still focusing on the design of standard assessment procedures. The conditions under which a sound reproduction system is assessed in laboratory tests is often very far from those under which it is designed to be used. As a result, the assessment task might appear unnatural to test subjects, which could possibly bias the test results. The aim of this study is to compare, on the basis of sound quality ratings, three different test procedures based on paired comparison and exhibiting procedural differences. One of the procedures consisted in comparing loudspeakers by listening to short music excerpts (5 s) at a preset level, which was assumed to be a very controllable method. In the two other procedures, the listener could compare the systems by listening to long music excerpts (30 s), which was assumed to be more natural for loudspeaker assessment. The level was either preset by expert listeners or set by the subject himself in the two latter procedures. This paper shows that the test results were very stable over the different assessment procedures, but that some of them enabled, under certain conditions, to separate between systems obtaining very close quality ratings
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