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    A prospective, observational study of fidaxomicin use for Clostridioides difficile infection in France.

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    To describe the characteristics, management and outcomes of hospitalised patients with Clostridioides difficile infection (CDI) treated with and without fidaxomicin. This prospective, multicentre, observational study (DAFNE) enrolled hospitalised patients with CDI, including 294 patients treated with fidaxomicin (outcomes recorded over a 3-month period) and 150 patients treated with other CDI therapies during three 1-month periods. The primary endpoint was baseline and CDI characteristics of fidaxomicin-treated patients. At baseline, the fidaxomicin-treated population included immunocompromised patients (39.1%) and patients with severe (59.2%) and recurrent (36.4%) CDI. Fidaxomicin was associated with a high rate of clinical cure (92.2%) and low CDI recurrence (16.3% within 3 months). Clinical cure rates were ≥90% in patients aged ≥65 years, those receiving concomitant antibiotics and those with prior or severe CDI. There were 121/296 (40.9%) patients with adverse events (AEs), 5.4% with fidaxomicin-related AEs and 1.0% with serious fidaxomicin-related AEs. No fidaxomicin-related deaths were reported. Fidaxomicin is an effective and well-tolerated CDI treatment in a real-world setting in France, which included patients at high risk of adverse outcomes.Trial registration: Description of the use of fidaxomicin in hospitalised patients with documented Clostridium difficile infection and the management of these patients (DAFNE), NCT02214771, www.ClinicalTrials.gov

    Attitudes diagnostiques, thérapeutiques et préventives des médecins généralistes savoyards face à la borréliose de Lyme (comparaison avec les recommandations de la conférence de consensus de 2006)

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    OBJECTIF : Faire l état des lieux des pratiques des médecins généralistes de Savoie concernant la prise en charge de la maladie de Lyme au vu des recommandations de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) de 2006. Il s agissait en outre d évaluer l impact des différents outils de formation et de discuter l intérêt de la réalisation d une brochure informative à l attention des généralistes et de leurs patients. METHODE : Audit de pratiques par une enquête déclarative et comparative présentée par téléphone à 150 médecins généralistes savoyards tirés au sort dans les pages jaunes de l annuaire. Les médecins interrogés pouvaient répondre directement par téléphone au questionnaire, ou ce dernier leur était adressé par mail ou par courrier. Si le questionnaire leur était envoyé, une relance était prévue par mail ou par téléphone. Les résultats ont été saisis dans un tableur Excel puis analysés. Les tests du Chi2 ou de Fischer ont été utilisés pour comparer deux variables qualitatives, après vérification des conditions d application. RESULTATS : Les pratiques déclarées sont partiellement inadaptées en particulier en ce qui concerne les situations de prescriptions de sérologies de Lyme et les situations de prescription d antibioprophylaxie en cas de piqûre asymptomatique. CONCLUSION : Les méthodes de formation passives ont un impact moins important que la recherche active d information sur les pratiques des médecins généralistes interrogés, néanmoins elles améliorent partiellement et de manière plus ou moins durable ces pratiques en Savoie. Ces brochures sont réalisées et seront diffusées à l ensemble des médecins généralistes de Savoie.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Étude comparative de la restitution immunitaire sous traitement antirétroviral de première ligne entre un pays du Nord et un pays du Sud

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    L étude réalisée a pour objectif de mettre en évidence d éventuelles disparités Nord/Sud de restitution immunitaire, chez des patients infectés par le VIH1, sous traitement antirétroviral de première ligne pendant au moins deux ans. Il s agit d une étude rétrospective comparative de deux cohortes de 200 patients tirés au sort dans les files actives de PvVIH à Ouagadougou/Burkina Faso et à Chambéry/France. L étude descriptive des données socio-économiques recueillies met en évidence une majorité de femmes suivies au Sud (64%), avec une immunodépression sévère à la mise sous traitement. Le succès thérapeutique, défini ici comme un taux de CD4 supérieur à 500/mm après deux ans de traitement, est plus élevé au Nord (41% versus 15% au Sud), mais la pente de récupération des CD4 est parallèle dans les deux cohortes, avec un taux moyen de CD4 initiaux à 220 à Chambéry et 136 à Ouagadougou. Le nombre élevé des perdus de vue (36%) et le nombre de décès sous-évalués au Sud représentent un biais à cette comparaison. Le succès au Sud, indépendamment de la combinaison antirétrovirale, dépend d un dépistage précoce pour mise sous TAR plus rapide (en 2010, l OMS recommande d initier le TAR pour un taux de CD4 inférieur à 350/mm chez tous les patients), une relance des perdus de vue, un suivi biologique de qualité avec en particulier une systématisation de la mesure de la charge virale.The study aims to highlight potential disparities between North and South immune restoration in patients HIV1 infected, by first line antiretroviral treatment at least two years. It is a retrospective comparative study of two cohorts of 200 patients randomly selected from the active files of people living with HIV in Ouagadougou / Burkina Faso and Chambery / France. The descriptive study of socio-economic data collected shows a majority of women followed in the South (64%) with severe immunosuppression at start of treatment. Treatment success, defined here as a CD4 above 500/mm after two years of treatment, is higher in North (41% versus 15% in the South), but the slope of recovery of CD4 is parallel in both cohorts , with an average initial CD4 count to 220 in Chambery and 136/mm in Ouagadougou. The high number of lost to follow up (36%) and the number of deaths in South undervalued represent a bias in this comparison. The success in the South, regardless of the antiretroviral therapy, depends on early detection for faster development on ART (in 2010, the WHO recommended to initiate ART with CD4 counts less than 350/mm for all patients ), a revival of lost to follow up, a biological monitoring of quality and in particular a systematic measurement of viral load.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    À propos d'un cas de cryptococcose neuro-méningée sur macro-adénome hypophysaire chez un patient diabétique et revue de la littérature

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    Ce travail relate l'histoire d'un patient diabétique chez qui a été diagnostiquée une cryptococcose neuro-méningée en même temps qu'un macro-adénome hypophysaire. Des symptômes peu évocateurs, asthénie et ralentissement psychomoteur, ont rendu le diagnostic difficile. C'est la persistance anormale de céphalées et l'apparition d'une confusion, qui a incité à réaliser une ponction lombaire. Ensuite, le LCR, de formule initiale puriforme aseptique, avec hyperprotéinorachie massive, orientait vers une origine bactérienne, en particulier tuberculeuse. Ce n'est que la culture de la troisième ponction lombaire qui a mis en évidence Cryptococcus neoformans, sans doute sous l'effet des corticoïdes, permettant de redresser le diagnostic au treizième jour. Malgré ce délai l'évolution a été favorable sous amphotéricine B relayée par fluconazole.Le terrain de cette infection est inhabituel, la seule pathologie du patient étant un diabète non-insulinodépendant, sans autre facteur d'immunodépression exceptée une lymphopénie CD4+ restée à la limite des critères de définition du CDC. Les oiseaux de compagnie du patient constituaient probablement le réservoir du germe.Enfin, cette infection a occasionné la découverte d'un macro-adénome hypophysaire. La méningite en est une complication classique via une brèche méningée, mais C.neoformans n'a pas été retrouvé dans ce type de méningite à travers la littérature. Ainsi, ce cas repose sur la conjonction de trois éléments: une exposition quotidienne à C.neoformans, des défenses immunitaires affaiblies par le diabète, peut-être intriqué avec une lymphopénie T4, et une brèche méningée créée par l'adénome qui matérialise leur mise en relation. Il suggère la recherche de cryptocoque devant une méningite chez un diabétique.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Dépistage précoce de l'infection à VIH (étude à partir de l'activité du centre d'information et de dépistage anonyme et gratuit (CIDAG) du centre hospitalier de Chambéry, de janvier 1999 à août 2000)

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    Depuis l'apparition de l'épidémie de SIDA les progrès en terme de diagnostic et thérapeutique ont conduit rapidement à une réduction spectaculaire de morbidité et mortalité. Cependant on assiste à une persistance de nouvelles contaminations en France ; ceci malgré les nombreuses campagnes de prévention et d'information. L'étude réalisée montre qu'il existe un retard de prise en charge du patient par rapport à un risque de contamination par le VIH : 68,5 % des patients du CIDAG du Centre Hospitalier de CHAMBERY consultent après trois mois par rapport à la prise de risque ; d'origine sexuelle en majorité ; seulement 19,5 % consultent avant un mois. Or, nous disposons actuellement d'outils de diagnostic précoce que sont l'antigénémie p 24 associée à une sérologie VIH qui sont performants et permettent le diagnostic de la primo-infection VIH dès le 14e jour après la contamination. L'antigénémie p 24 est prescrite par les médecins du CIDAG du Centre Hospitalier de CHAMBERY dans 18 % des cas correspondant aux personnes venues durant le premier mois après la prise de risque. Mais, par contre, en pratique de ville, la prescription de l'antigénémie P24 est quasi inexistante : 0,15 % ; ceci, malgré les campagnes de prévention effectuées depuis 1994 en Savoie. Le dépistage précoce d'une primo-infection VIH permet d'instaurer une thérapeutique antirétrovirale, qui, en l'état actuel des connaissance, permet de réduire le niveau de la charge virale. De plus l'impact en terme de santé publique est important : réduction du risque de transmission du VIH.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Intérêt et impact d'une nouvelle modalité d'information au sujet de la maladie de Lyme sur la pratique des médecins généralistes de Savoie

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    GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Risque infectieux et possibilité de prévention dans le tatouage et le piercing (l'exemple de la Savoie)

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    Le tatouage et le piercing font partie intégrante de nos habitudes sociales; par le développement considérable de leur fréquence depuis une dizaine d'années, ces pratiques sont passées de la clandestinité au grand jour. En 20 ans, il s'est produit un glissement dans les populations pratiquant le tatouage ou le piercing. Les professionnels qui pratiquent le tatouage ou le piercing utilisent de façon autodidacte des techniques précises et un matériel spécialisé Lqui ne correspond plus aux techniques traditionnelles. Des pathologies infectieuses diverses ont été retrouvées, conséquences directes de ces pratiques, soit au moment du geste de tatouage ou de piercing, soit à sa suite. L'infection survient du fait de l'effraction de la barrière cutanéo-muqueuse et/ou de la présence de sang . On retrouve essentiellement des infections bactériennes, parfois graves, à germes pyogènes ( staphylococcus aureus, streptococcus bêta hémolytique du groupe A, et pseudomonas aeruginosa ) . Des infections virales de transmission sanguine d'évolution lente et chronique ( virus des hépatites B et C, virus de l'immunodéficience humaine) sont également possibles. La fréquence des complications infectieuses bactériennes d'un tatouage ou d'un piercing serait de 10 à 20%, mais elle peut être surestimée: simple colonisation ou réaction allergique. Les risques relatifs d'infection virale sont plus difficiles à préciser en l' absence d'étude prospective. Sur des études déjà un peu anciennes ils seraient de 2.22 à 9.3 pour le VHC, négligeable pour le VIH, et de 2.12 à 4.27 dans le tatouage pour le VHB. La vaccination contre le VHB est officiellement conseillée pour les " adeptes " du tatouage ou du piercing, protégeant dans 96% des cas Des règles d'hygiène sont nécessaires pour limiter les infections: elles concernent l'agencement des locaux, et surtout l'utilisation et l'entretien du matériel ( matériel à usage unique, désinfection et utilisation d'autoclave de classe B ) . Mais l'absence de formation et le vide juridique relatif à cet exercice laisse le champ libre à de nombreuses erreurs, comme en atteste une étude menée dans 8 studios de tatouage et de piercing en 1999 dans l'Hérault. Pour limiter le risque théorique d'infection, différentes mesures ont été tentées. Les demandes législatives émanant de membres de l'Assemblée Nationale ont reçu un accueil mitigé et n'ont pas abouties. Plusieurs associations ont rédigé, en accord avec les autorités scientifiques des règles de bonnes pratiques, comme le " guide des bonnes pratiques du piercing " écrit par l'Association des Pierceurs de France et des membres de l'hôpital Rothschild, ou le " manuel assurance qualité " proposé par le Syndicat National des Artistes Tatoueurs. Mais ces textes souvent longs restent de simples conseils théoriques. Sur le plan politique aucune action concrète n'existe à ce jour en matière de tatouage ou de piercing dans le développement de l'éducation pour la santé. La Savoie a innové dans ce domaine en proposant une charte de bonnes pratiques validée par les autorités sanitaires et la Direction Générale de la Consommation de la Concurrence et de la Répression des Fraudes. Ces documents demandent aux professionnels qui les acceptent, une pratique sécurisée dans le domaine de l'hygiène, et accréditent un label de qualité de déontologie (âge minimum du client, refus possible de pratiquer des gestes pouvant nuire à son avenir) et d'information (mises en garde, soins après le geste) permettant un consentement éclairé écrit. Enfin ces chartes sont accompagnées de réunions d'information, de mise à jour, et une formation continue. Des personnes-relais au contact des populations les plus concernées ont été formées à sensibiliser sur les moyens de prévention et les bonnes pratiques à respecter.. L'information au grand public a aussi été véhiculée par les médias locaux et la distribution de documents (flyers). En observant d'autres pays dits " occidentaux ", on remarque l'exemple du Canada où la législation du tatouage ou du piercing est très claire pour l'ouverture d'un salon: agrément préalable des autorités sanitaires et transparence des pratiques. Dans d'autres pays les dispositions n'ont pas encore été prises, ou de façon trop répressive comme dans certains états des Etats-Unis, faisant ré-émerger des pratiques clandestines. En France, il reste donc à définir plus précisément le statut du tatoueur et du pierceur et à proposer une formation agréée enseignant la maîtrise de techniques d'hygiène. Il faut que les autorités sanitaires et politiques prennent conscience du risque potentiel et créent un cadre officiel pour l'exercice de cette profession. Les réformes indispensables pourront se faire en collaboration avec des organismes représentants une majorité de professionnels.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Hospitalisations des détenus au centre hospitalier général de Chambery (étude rétrospective sur trois ans)

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    GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Consommation des fluoroquinolones et évolution de la résistance d'Escherichia coli à Chambéry de 1998 à 2003

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    Les souches d'Escherichia coli isolées au laboratoire de bactériologie de l' hôpital de Chambéry sont proportionnellement plus nombreuses à être résistantes aux fluoroquinolones : 9,2% de souches résistantes à la ciprofloxacine en 1998, 14,22% en 2003. Leur niveau de résistance augmente également. Parallèlement, la délivrance hospitalière de toutes les fluoroquinolones confondues a augmenté de +40% sur cette période de 5 ans. Plusieurs études dans le monde montrent une tendance de diminution des sensibilités de ce germe envers les fluoroquinolones ainsi qu' une relation directe entre le degré de consommation de fluoroquinolones par la communauté et l' augmentation des résistances. Le facteur responsable de cette montée des résistances observé dans notre étude est certainement l'augmentation de consommation des fluoroquinolones. Des mesures de maîtrise de prescription sont nécessaires pour limiter cette évolution et préserver l'activité de cette famille d ' antibiotiques fort utile.Escherichia coli isolated in Chambéry hospital laboratory are more often resistant to fluoroquinolones : 9.2% isolated are resistant to ciprofloxacine in 1998, 14.22% in 2003. Their degree of resistant also increased. During this period, fluoroquinolones use increased of 40% in this hospital. The increase of fluoroquinolone resistance for Escherichia coli had been observed in different areas around the world. Relationship between quinolone use and emergence of fluoroquinolone-resistant Escherichia coli had been reported. The important consumption of fluoroquinones in our hospital explains certainly the decreases in the susceptibilities observed.To preserve the efficacy of fluoroquinolones, efforts should be made to use them in most effective indications and to select correct dose and duration.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Bilan de la prise en charge du VIH dans le district sanitaire de Ouahigouya (Burkina Faso) en 2004 2005 et apports d'une collaboration internationale

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    Le district sanitaire de Ouahigouya, au Burkina Faso, travaille en coopération avec les associations françaises Chambéry-Ouahigouya, Jérémi et l'initiative ESTHER pour l'amélioration de l'accès aux soins et au traitement du VIH.Grâce a cette coopération, des services de dépistage et un programme de prévention de la transmission verticale du VIH ont été mis en place. En moyenne 6 298 tests ont été réalisés par an avec une prévalence de 9,8% dans les groupes dépistés. En 2005, 832 patients étaient suivis. Les traitements antirétroviraux ont été disponibles à partir de décembre 2003. 174 patients en 2004 et 289 patients en 2005, en bénéficiaient. Malgrès le traitement, le taux de mortalité des patients traités était de 4,1% à 6,15%, suivant la structure étudiée. A l'avenir, la décentralisation permettra d'étendre l'offre de soins et de dépistage à l'ensemble du district et aux districts voisins.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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