33 research outputs found

    La filiacion y la fecundacion "in vitro"

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    Las tecnicas de reproduccion asistida no solo representan una solucion para ayudar a superar problemas de esterilidad, sino que su practica conlleva problemas eticos y juridicos. Esta Tesis analiza los problemas que plantea la fecundacion "in vitro", desde el punto de vista de la filiacion, para determinar la paternidad y maternidad cuando se utilizan los gametos de la pareja o de un tercero. Desde este punto de vista, se estudian la situacion juridica del tercero -llamado donante- y de las madres subrogadas, asi como las acciones de filiacion Tambien se examina la problematica que plantea la congelacion de semen y embriones, al poder un hombre engendrar un hijo despues de muerto. Entre las fuentes que se analizan estan los principales informes extranjeros que han estudiado la problematica de estas tecnicas, asi como el Informe especial de..

    L’évolution des mécanismes de serrure aux XIVe et XVe siècles : vers une serrurerie moderne

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    International audienceThis article intend to realize a short synthesis on evolution of locks mecanisms during the fourteenth and fifteenth centuries in France and immediate area. In order to trace the technical development of these objects, emphasis was placed on unpublished archeological data and late middle ages iconographic sources. During this two centuries, archaeological finds show us radical changings. Locks mecanisms become progressively more improved, more diversified and focused on security and resistance to break-in. This period is also characterized by a return of an increasingly complex ornamentation on high-end locks.Cet article se propose de réaliser une courte synthèse sur l’évolution des mécanismes de serrure aux XIVe et XVe siècles dans un espace correspondant à la France actuelle et ses abords. Pour arriver à cet objectif, ce travail utilise une documentation archéologique récente et en partie inédite ainsi que l’iconographie de la fin du Moyen Âge. Durant ces deux siècles, on observe à travers le mobilier archéologique des changements radicaux. La serrurerie devient mieux maitrisée, davantage diversifiée et de plus en plus tournée vers la sécurité et la résistance à l’effraction. Cette période se caractérise également par un retour sur les serrures haut de gamme d’une décoration de plus en plus complexe

    L’utilisation des alliages cuivreux dans les mécanismes de serrure et de cadenas entre le 8e et le 16e siècle

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    Culture matérielle, faits archéologiques et iconographie. Quelle utilisation des images ?

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    International audienceUtilisée avec prudence, l'iconographie peut contribuer à l'appréhension de la culture matérielle des élites médiévales, mais il ne faut pas perdre de vue certains dangers inhérents à cette source. L'étude de la culture matérielle médiévale ne peut se passer de son expresison la plus notable, à savoir les objets eux-mêmes

    Le bâtiment E1 de Saint-Georges-lès-Baillargeaux : un exemple typique d'architecture domestique laténienne en terre et bois de La Tène D1b/D2a

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    International audienceSituated to thje north of the city of Poitiers, the excavation of the rural establishment of Saint-Georges-lès-Baillargeaux revealed the presence of several timber buildings that were destroyed by a violent fire in the middle of first century BC. The main house, with its surface area of 70 m² and built on four posts with rejected wall, underwent a detailed investigation. The excavation of the post holes revealed a large quantity of daub fragments and the study of the wood imprints on these elements specified how the walls of the buildings were built. Physical and chemical analyses have been undertaken to detail the composition of some fragments that still preserved their coating.Situé au nord de l'actuelle ville de Poitiers, la fouille de l'établissement rural de Saint-Georges-lès-Baillargeaux a révélé la présence de plusieurs bâtiments sur poteaux ayant subi un incendie au milieu du Ier siècle avant notre ère. La conservation exceptionnelle du bâtiment principal, un édifice à quatre poteaux porteurs et paroi rejetée de 70 m² de superficie, a fait l'objet d'une étude exhaustive. La fouille des négatifs des poteaux du bâtiment est ainsi à l'origine de la découverte d'une grande quantité de fragments de torchis. L'étude des empreintes de bois sur ces éléments a permis de préciser la technique de mise en œuvre de la paroi du bâtiment. Certains fragments présentant encore de l'enduit, des analyses physico-chimiques ont pu être réalisées afin d'en préciser la composition

    Le bâtiment E1 de Saint-Georges-lès-Baillargeaux : un exemple typique d'architecture domestique laténienne en terre et bois de La Tène D1b/D2a

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    International audienceSituated to thje north of the city of Poitiers, the excavation of the rural establishment of Saint-Georges-lès-Baillargeaux revealed the presence of several timber buildings that were destroyed by a violent fire in the middle of first century BC. The main house, with its surface area of 70 m² and built on four posts with rejected wall, underwent a detailed investigation. The excavation of the post holes revealed a large quantity of daub fragments and the study of the wood imprints on these elements specified how the walls of the buildings were built. Physical and chemical analyses have been undertaken to detail the composition of some fragments that still preserved their coating.Situé au nord de l'actuelle ville de Poitiers, la fouille de l'établissement rural de Saint-Georges-lès-Baillargeaux a révélé la présence de plusieurs bâtiments sur poteaux ayant subi un incendie au milieu du Ier siècle avant notre ère. La conservation exceptionnelle du bâtiment principal, un édifice à quatre poteaux porteurs et paroi rejetée de 70 m² de superficie, a fait l'objet d'une étude exhaustive. La fouille des négatifs des poteaux du bâtiment est ainsi à l'origine de la découverte d'une grande quantité de fragments de torchis. L'étude des empreintes de bois sur ces éléments a permis de préciser la technique de mise en œuvre de la paroi du bâtiment. Certains fragments présentant encore de l'enduit, des analyses physico-chimiques ont pu être réalisées afin d'en préciser la composition

    Approches archéologiques et techniques d'un meuble emblématique, l'armoire d'Aubazine (Corrèze)

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    International audienceDepuis le milieu du XIXe siècle, de nombreuses publications ont mentionné l’armoire de l’église abbatiale Saint-Étienne d’Aubazine (Corrèze), reprenant successivement le titre de « plus ancienne armoire conservée en Europe », établi sur une datation stylistique obsolète. Aucune ne s’est pourtant intéressée à ses caractéristiques techniques de menuiserie et de ferronnerie, ni aux modifications et évolutions dont elle a pu faire l’objet. Afin de pallier cette lacune, nous avons cherché à détailler ses éléments structurels en bois et en métal et à les replacer à la fois dans leur environnement architectural et dans un contexte plus général de fabrication et d’utilisation des meubles dans des établissements religieux médiévaux, au moyen de comparaisons avec des éléments datés en contextes archéologiques ou grâce à des analyses du bois. Cet article permet ainsi de relancer le débat sur la place de ce meuble exceptionnel, à défaut d’être « le plus ancien », dans le paysage mobilier médiéval européen et d’établir une nouvelle chronologie, en attendant une analyse dendrochronologique, qui mettra un terme définitif à toute spéculation

    Poitiers (Vienne). Église Sainte-Radegonde

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    Notice archéologiqueInitialement dédiée à Sainte-Marie, l’église Sainte-Radegonde de Poitiers est réputée avoir accueilli la sépulture de la reine des Francs en 587. Reconstruit plusieurs fois, le bâtiment devint une propriété communale à la Révolution. Classé au titre des Monuments historiques en 1862, il conserve sa fonction cultuelle jusqu’à nos jours et constitue l’un des centres d’intérêt patrimoniaux de Poitiers. Le portail occidental se caractérise par une architecture flamboyante. Une datation des vantaux repose sur les résultats d’une expertise par dendrochronologie. Les bois auraient été abattus vers 1490. Deux portes de la première travée de la nef, l’une appelée « du cimetière », l’autre « du prieur », conservent des vantaux a prioricomparables. Leur installation pourrait donc être contemporaine. Toutefois, la datation n’est pas si évidente, car ces ouvertures semblent appartenir à des phases de construction du XIIIe s. En outre, plusieurs éléments d’assemblage et diverses serrures témoignent d’une évolution des dispositifs de fermeture. Prenant en compte la complexité d’une restitution historique, la ville de Poitiers asollicité une étude archéologique préalable à la restauration des vantaux de ces deux portes. L’orientation des résultats a été donnée par Annie Brillaud, chargée de la conservation du patrimoine pour la ville de Poitiers, accompagnée d’Éric Hebert, chargé de mission « rénovation du patrimoine ». Leur demande excluait une recherche documentaire et privilégiait les relevés détaillés et normalisés
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