15 research outputs found

    Politiques de stationnement : l'enjeu de la communication, analyses et perspectives

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    L’étude a pour objectif principal de réaliser un état des lieux de la communications sur la problématique du stationnement en hypercentre. Aujourd’hui, les pratiques convergent plus vers de l’information que vers de la communication.Aussi, après un rappel des enjeux de la communication sur le stationnement, l’étude fait le point sur les pratiques des villes françaises dans ce domaine, analyse ces politiques et fait la synthèse des bonnes pratiques et des pièges à éviter

    Déplacements et commerces : enquête auprès des commerçants de la rue de Marseille et du cours de la Liberté à Lyon

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    L’étude a été réalisée par une stagiaire du CERTU dans le cadre du Programme « Interface Urbanisme-Déplacements ».Le rapport rend compte d’une enquête conduite auprès des commerçants de la rue de Marseille et du cours de la Liberté à Lyon, voies empruntées par une des lignes de tramway mises en service au début de l’année 2001.Il est apparu intéressant de pouvoir établir un premier bilan neuf mois après. Quelle opinion les commerçants de ces deux voies de centre ville se font-ils de cette réalisation ? Leurs craintes ont-elles été confirmées ou au contraire ont-ils pu tirer profit de cet aménagement ?Ce bilan n’est certes pas définitif car le secteur est encore en période d’adaptation, il a néanmoins permis d’évaluer la situation et de tirer des premières conclusions.Parallèlement, une enquête sur le stationnement sur ces rues a été conduite.Le rapport fait aussi état de rencontres avec des techniciens des services économiques des collectivités ou institutions qui ont accompagné, selon leur champ de compétence dans cette opération, les commerçants.Les principes majeurs qui prévalent en matière d’indemnisation sont relatés

    Evaluation de la journée "En ville, sans ma voiture ?" : méthodes et questionnaires

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    Le 22 septembre 1998, 34 villes françaises ont participé à l’opération « En ville, sans ma voiture ? » lancée par le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement (MATE). En 1999, 66 villes françaises ont organisé la journée du 22 septembre, qui a pris un caractère européen, puisque 93 villes italiennes y ont également pris part. Le CERTU, avec le MATE et l’ADEME et l’assemblée consulaires française de commerce et d’industrie (ACFCI), a réalisé l’évaluation de cette journée, avec les centres d’études techniques de l’Équipement (CETE) et la Direction Régionale de l’Équipement d’Île-de-France (DREIF), les directions départementales de l’Équipement (DDE) des villes concernées, notamment celles des Bouches-du-Rhône et du Gard, les chambres de commerce et d’industrie des villes de Lille, de Besançon, de La Rochelle, de Chambéry, Tours, Nîmes, ainsi que la Sofres, l’IFOP, BVA. Lors des éditions 1998 et 1999 de l’opération « En ville, sans ma voiture ? en France, différentes enquêtes et recueils de données ont été mis en place dans une quinzaine de villes participantes pour cerner l’impact d’une telle journée sur l’usage des modes de transport, la fréquentation du centre ville, l’opinion des différents groupes sociaux, etc. Le présent document regroupe l’ensemble des méthodes et des questionnaires utilisés, à travers une fiche descriptive-type, comprenant l’objectif, la méthodologie, le ou les questionnaires.Ce document a pour but de fournir aux villes qui participeront à la journée « En ville, sans ma voiture ! », une aide méthodologique leur permettant d’évaluer l’impact local de l’opération du 22 septembre

    Suivi national des PDU : le point au 30 juin 2000

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    La loi sur l’air du 30 décembre 1996 a rendu obligatoire l’élaboration d’un plan de déplacements urbains dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Pour faire le point sur les PDU à la date du 30 juin 2000 fixée par la loi sur l’air modifiée pour l’approbation des PDU, le Gart et le Certu, en collaboration avec la direction des transports terrestres (DTT), la direction de la circulation et la sécurité routière (DSCR) et l’ADEME, ont analysé les démarches les plus avancées (PDU approuvés et projets de PDU arrêtés), avec l’appui des centres d’études techniques de l’Équipement (CETE) et de la direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France (DREIF).58 agglomérations de plus de 100 000 habitants ont l’obligation d’élaborer un PDU. Au 30 juin 2000, huit PDU étaient approuvés (Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Orléans, Rouen, Saint-Etienne, Troyes) ; deux autres l’ont été en juillet 2000 (Nancy, Strasbourg). Une trentaine d’autres collectivités avaient délibéré sur leur projet de plan, celui-ci étant alors en consultation auprès des personnes publiques, en enquête publique ou en attente d’approbation ; une vingtaine de PDU devaient être prochainement arrêtés, tandis que pour une dizaine de PDU, la démarche était à peine engagée.La plupart des PDU affichent un objectif de réduction de l’usage de la voiture, grâce à un meilleur partage de la voirie au profit des autres modes, notamment avec des projets de transport en commun en site propre (TCSP), des aménagements cyclables et des actions visant à renforcer le confort et la sécurité des piétons. Outre les projets de requalification de voirie urbaine dans les parties centrales, la plupart des PDU comportent des projets de voie nouvelle, notamment de rocade à créer ou achever. Par ailleurs, les PDU prévoient une amélioration de l’intermodalité. Le volet stationnement porte d’une part, sur la réalisation de parcs relais sur les axes de TCSP, et d’autre part, sur une meilleure gestion de l’offre de centre-ville au profit des résidents et des visiteurs, avec néanmoins peu de mesures en faveur de la surveillance. Les marchandises, thème nouveau des PDU, sont abordées dans l’ensemble des documents : si le manque de connaissances dans ce domaine a freiné la réflexion, des propositions d’actions parfois très innovantes sont présentées dans quelques agglomérations. Par ailleurs, le concept nouveau de plan de mobilité pour les entreprises ou collectivités émerge dans quelques agglomérations. Concernant l’environnement, si la plupart des PDU fixent des objectifs en matière de bruit et de pollution, leur traduction opérationnelle est encore à préciser. Les PDU traitent également des questions de sécurité routière et d’articulation avec l’urbanisme

    En ville, sans ma voiture ! Evaluation du 22 septembre 2000 : résultats et analyses

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    A partir des enquêtes, des observations et des entretiens réalisés dans une douzaine de villes françaises et plusieurs villes étrangères, les principaux enseignements de la journée sont les suivants :- l'opinion publique locale est toujours très favorable à ce type d'opération (plus de 80 %), à l'exception des commerçants ; ce niveau de satisfaction est élevé dans tous les pays d’Europe, même s’il l’est un peu moins en Allemagne (autour de 70 %).- la fréquentation du centre ville est d’un niveau équivalent à un jour ordinaire, avec quelques disparités dans certaines villes selon les types de commerces ou de services, et les grandes surfaces périphériques n’ont pas plus de clients qu’un jour ordinaire;- l’usage de la bicyclette et de la marche s’accroît ainsi que la fréquentation des transports collectifs ;- en matière d’environnement, la baisse du niveau de bruit et surtout le changement d’ambiance sonore est apprécié par les citadins. On constate une baisse de pollution dans les périmètres réservés. Par contre, cette journée a peu d’influence sur les niveaux de pollution de fond

    Evaluation de la journée "En ville, sans ma voiture ?" : méthodes et questionnaires

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    Le 22 septembre 1998, 34 villes françaises ont participé à l’opération « En ville, sans ma voiture ? » lancée par le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement (MATE). En 1999, 66 villes françaises ont organisé la journée du 22 septembre, qui a pris un caractère européen, puisque 93 villes italiennes y ont également pris part. Le CERTU, avec le MATE et l’ADEME et l’assemblée consulaires française de commerce et d’industrie (ACFCI), a réalisé l’évaluation de cette journée, avec les centres d’études techniques de l’Équipement (CETE) et la Direction Régionale de l’Équipement d’Île-de-France (DREIF), les directions départementales de l’Équipement (DDE) des villes concernées, notamment celles des Bouches-du-Rhône et du Gard, les chambres de commerce et d’industrie des villes de Lille, de Besançon, de La Rochelle, de Chambéry, Tours, Nîmes, ainsi que la Sofres, l’IFOP, BVA. Lors des éditions 1998 et 1999 de l’opération « En ville, sans ma voiture ? en France, différentes enquêtes et recueils de données ont été mis en place dans une quinzaine de villes participantes pour cerner l’impact d’une telle journée sur l’usage des modes de transport, la fréquentation du centre ville, l’opinion des différents groupes sociaux, etc. Le présent document regroupe l’ensemble des méthodes et des questionnaires utilisés, à travers une fiche descriptive-type, comprenant l’objectif, la méthodologie, le ou les questionnaires.Ce document a pour but de fournir aux villes qui participeront à la journée « En ville, sans ma voiture ! », une aide méthodologique leur permettant d’évaluer l’impact local de l’opération du 22 septembre

    En ville, sans ma voiture ? Evaluation du 22 septembre 1998 : méthodes et résultats

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    A partir des enquêtes, des observations et des entretiens réalisés dans une quinzaine de villes, les principaux enseignements de la journée sont les suivants : L’opinion publique locale est globalement très favorable à ce type d’opération, à l’exception des commerçants ; La fréquentation des commerces de centre ville n’est pas inférieure ce jour-là à un jour ordinaire ; Les résidents des centres villes ne se sont pas déclarés gênés par l’opération ; L’usage de la bicyclette et de la marche s’accroît ainsi que la fréquentation des transports collectifs, tandis que les parcs relais mis en place ce jour-là restent peu fréquentés… ; En matière d’environnement, les citadins apprécient particulièrement la baisse du niveau du bruit et surtout le changement d’ambiance sonore. La baisse de circulation est importante. Par contre, cette journée a peu d’influence sur les niveau de pollution de fond

    Suivi national des PDU : le point au 30 juin 2000

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    La loi sur l’air du 30 décembre 1996 a rendu obligatoire l’élaboration d’un plan de déplacements urbains dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Pour faire le point sur les PDU à la date du 30 juin 2000 fixée par la loi sur l’air modifiée pour l’approbation des PDU, le Gart et le Certu, en collaboration avec la direction des transports terrestres (DTT), la direction de la circulation et la sécurité routière (DSCR) et l’ADEME, ont analysé les démarches les plus avancées (PDU approuvés et projets de PDU arrêtés), avec l’appui des centres d’études techniques de l’Équipement (CETE) et de la direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France (DREIF).58 agglomérations de plus de 100 000 habitants ont l’obligation d’élaborer un PDU. Au 30 juin 2000, huit PDU étaient approuvés (Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Orléans, Rouen, Saint-Etienne, Troyes) ; deux autres l’ont été en juillet 2000 (Nancy, Strasbourg). Une trentaine d’autres collectivités avaient délibéré sur leur projet de plan, celui-ci étant alors en consultation auprès des personnes publiques, en enquête publique ou en attente d’approbation ; une vingtaine de PDU devaient être prochainement arrêtés, tandis que pour une dizaine de PDU, la démarche était à peine engagée.La plupart des PDU affichent un objectif de réduction de l’usage de la voiture, grâce à un meilleur partage de la voirie au profit des autres modes, notamment avec des projets de transport en commun en site propre (TCSP), des aménagements cyclables et des actions visant à renforcer le confort et la sécurité des piétons. Outre les projets de requalification de voirie urbaine dans les parties centrales, la plupart des PDU comportent des projets de voie nouvelle, notamment de rocade à créer ou achever. Par ailleurs, les PDU prévoient une amélioration de l’intermodalité. Le volet stationnement porte d’une part, sur la réalisation de parcs relais sur les axes de TCSP, et d’autre part, sur une meilleure gestion de l’offre de centre-ville au profit des résidents et des visiteurs, avec néanmoins peu de mesures en faveur de la surveillance. Les marchandises, thème nouveau des PDU, sont abordées dans l’ensemble des documents : si le manque de connaissances dans ce domaine a freiné la réflexion, des propositions d’actions parfois très innovantes sont présentées dans quelques agglomérations. Par ailleurs, le concept nouveau de plan de mobilité pour les entreprises ou collectivités émerge dans quelques agglomérations. Concernant l’environnement, si la plupart des PDU fixent des objectifs en matière de bruit et de pollution, leur traduction opérationnelle est encore à préciser. Les PDU traitent également des questions de sécurité routière et d’articulation avec l’urbanisme
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