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    Le Mot d’Or de la Traduction francophone

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    Une naissance tardive, mais sous d’heureux auspices ! NĂ© en 2003, Le Mot d’Or de la Traduction francophone avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©, dĂšs 1989, par les Mots d’Or des apprenants et des professionnels dĂ©cernĂ©s par notre association Actions pour promouvoir le français des affaires (APFA), placĂ©e sous le patronage de la DĂ©lĂ©gation gĂ©nĂ©rale Ă  la langue française et aux langues de France (DGLFLF), de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et de l’Union internationale de la Presse francophon..

    La maĂźtrise du français et d’autres langues, facteur de bonne intĂ©gration et de promotion dans l’entreprise ?

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    [Odile Canale] La maĂźtrise du français et des autres langues dans les entreprises est une problĂ©matique relativement nouvelle, notamment pour une institution comme la DĂ©lĂ©gation gĂ©nĂ©rale Ă  la langue française et aux langues de France. Elle n’a cessĂ© de prendre de l’ampleur depuis plusieurs annĂ©es, que ce soit dans les entreprises sous l’angle de la formation professionnelle, que ce soit dans les Ă©tudes qui sont consacrĂ©es Ă  cette question. Nous avons, Ă  la DĂ©lĂ©gation gĂ©nĂ©rale, menĂ©, en 2007, ..

    Kingship in Western Tibet in the 10th and 11th Centuries

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    Cet article, basĂ© principalement sur des inscriptions, des textes historiographiques et des peintures, pose un regard nouveau sur la royautĂ© dans l’ouest du Tibet aux dixiĂšme et onziĂšme siĂšcles. Le modĂšle de royautĂ© adoptĂ© aprĂšs la fondation du royaume de l’Ouest tibĂ©tain peut ĂȘtre associĂ© Ă  celui dĂ©jĂ  existant pendant l’empire tibĂ©tain (du septiĂšme au neuviĂšme siĂšcle). Toutefois, les auteurs de cet article constatent qu’entre c. 932 et 986 (« phase formative I » ), les structures socio-politiques et les cultures religieuses qui Ă©taient auparavant dominantes dans la rĂ©gion (appartenant autrefois au royaume de Zhangzhung) furent transformĂ©es de telle façon qu’elles participĂšrent, Ă  partir de 986 (dĂ©but de la « phase formative II » ), Ă  la transformation bouddhique ou « mandala-fication » du royaume. En particulier, cet article analyse, en utilisant les approches mĂ©thodologiques de l’anthropologie sociale historique et de l’histoire de l’art, les hautes fonctions politiques et religieuses de la royauté : celles du souverain (btsan po) et des hommes de la famille royale appelĂ©s podrang (pho brang), qui, aprĂšs leur ordination, avaient le devoir de protĂ©ger le domaine du Vinaya et les enseignements bouddhiques. L’approche par l’histoire de l’art explique l’importance des reprĂ©sentations des donateurs contemporains dans les monuments bouddhiques de Tabo (Spiti, Himachal Pradesh, Inde) et de Toling (Tsamda, RAT, Chine). Les frises dans le hall d’entrĂ©e de Tabo (c. 998) commĂ©morent l’acte de la donation et de la consĂ©cration, pourvoyeur de mĂ©rite : le souverain ordonnĂ© YeshĂ© Ö (Ye shes ’od) conduisant la famille royale, les pratiquants laĂŻcs et son fils Devarāja en tant que chef spirituel de la communautĂ© des moines et des nonnes. Les peintures, qui couvrent complĂštement les murs bas sur les cĂŽtĂ©s, donnent Ă  voir une sociĂ©tĂ© stratifiĂ©e dans un ordre spatial strict. Dans la derniĂšre phase de rĂ©novation, c. 1042, le moine-cum-prince royal Jangchup Ö (Byang chub ’od) est reprĂ©sentĂ© par une image condensĂ©e de la royautĂ© dans laquelle la hiĂ©rarchie est exprimĂ©e par sa position centrale et sa taille proportionnellement plus grande. Les positions, les gestes et les tenues des personnages secondaires reprĂ©sentant les membres des diffĂ©rents groupes de la sociĂ©tĂ© tĂ©moignent de leur allĂ©geance et expriment l’idĂ©e de cohĂ©sion sociale. Cette nouvelle forme de portrait de groupe renforce les idĂ©ologies de l’époque : le rĂŽle exceptionnel du lama royal Jangchup Ö dans les annĂ©es 1037-1057 au centre d’un domaine politique rĂ©vĂšle une superposition singuliĂšre de signes religieux et temporels de la souverainetĂ©.Jahoda Christian, Kalantari Christiane. Kingship in Western Tibet in the 10th and 11th Centuries. In: Cahiers d'ExtrĂȘme-Asie, vol. 24, 2015. Kingship, Ritual, and Narrative in Tibet and the Surrounding Cultural Area / RoyautĂ©, rituel et narration au Tibet et dans l'aire culturelle alentour. pp. 77-103

    Quelles perspectives pour la langue française ?

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    Ce volume rĂ©unit non seulement les analyses de spĂ©cialistes qui ont consacrĂ© l’essentiel de leurs recherches Ă  la langue française mais aussi les rĂ©flexions d’enseignants et de praticiens : juristes, hommes d’affaires ou Ă©crivains. Ces regards croisĂ©s sur les perspectives de la langue française se posent d’abord sur les pratiques du français en France, dans une premiĂšre partie consacrĂ©e Ă  l’émergence du français, aux richesses rĂ©gionales, aux bilinguismes culturels, qui dĂ©bouche sur un dĂ©bat concernant le rĂŽle de la langue dans l’intĂ©gration des Ă©trangers aux valeurs du pays. Une seconde partie pose le problĂšme de l’évolution du français face au dĂ©fi des langages spĂ©cialisĂ©s avec, comme point d’orgue, une rĂ©flexion sur la langue des affaires. La situation du français dans le monde constitue l’objet de la derniĂšre partie : de l’expansion du français Ă  l’époque des Grandes DĂ©couvertes au français contemporain parlĂ© au QuĂ©bec, en Roumanie ou en Afrique, le lecteur est conduit Ă  s’interroger sur les pratiques, les motivations des apprenants, sur les modalitĂ©s d’apprentissage, sur les reprĂ©sentations que la langue française vĂ©hicule, Ă  travers le monde. Finalement, c’est une belle escale, dans le temps et l’espace, pour le voyage au long cours que constituent les Lyriades renouvelĂ©es de la langue française
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