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Impact of promoting self-care in nursing workload
Abstract OBJECTIVES To assess the impact of promoting self-care in nursing workload and associate it to the variables: age, gender, socioeconomic status, education, marital status and number of children of caregivers. METHODS Prospective study with 31 children and their caregivers. Participants were assessed at two moments, 1st and 2nd hospitalization, the nursing workload was measured by the Nursing Activities Score (NAS). RESULTS The mean NAS in the 1st hospitalization was 60.9% and in the 2nd hospitalization was 41.6%, that is, 14.6 and 9.9 hours of nursing, respectively. The nursing workload on the first day of hospitalization was higher compared to the last day, both for the 1st (p<0.001) and for the 2nd hospitalization (p<0.001), and higher in the first (p<0.001) and in the last day (p=0.025) in the 1st hospitalization. Comparing the 1st hospitalization to the 2nd hospitalization, the first was higher (p<0.001), and NAS items related to the training of self-care was influenced (p<0.001). CONCLUSION The nursing workload associated to self-care promotion corresponded to 14.6 hours and was higher than determined by the existing legislation
FROTTEMENT INTÉRIEUR DU ZINC A HAUTE TEMPÉRATURE
Les phénomènes de relaxation aux joints de grains ont été
étudiés dans de nombreux métaux et alliages. Le but de ces recherches était
d'étudier la structure et le mouvement des joints. Les résultats que nous
présentons ont été acquis lors d'une étude de l'amortissement aux joints de
grains dans le zinc. L'étude de la variation de la température du maximum du
pic en fonction de la fréquence d'essai montre que les résultats que nous avons
obtenus ne correspondent pas à la même énergie d'activation que celle déduite
par d'autres chercheurs de leurs essais. Les phénomènes observés sont donc de
nature différente ; les énergies d'activation trouvées sont toutefois
compatibles l'une et l'autre avec un déplacement de joints de grains. Les
résultats acquis au cours de cette étude fournissent une énergie d'activation
proche de celle pour l'autodiffusion aux joints de grains. Ce résultat est
conforme à la majorité des résultats publiés récemment sur la relaxation aux
joints de grains, lorsque le diamètre moyen des grains n'est pas trop grand. Ce
résultat suggère que la relaxation des tensions aux joints de grains se fait
par un déplacement du joint lui-même. Cette interprétation permet de comprendre
les résultats expérimentaux de Washburn et Parker qui ont observé le mouvement
réversible d'un joint sous l'action d'une tension périodique. Ce mécanisme est,
en outre, en accord avec le modèle présenté par Gleiter. De plus, si on adopte
la valeur de l'énergie de défaut d'empilement du zinc publiée récemment par
Sartry et al., nos résultats vérifient la relation linéaire liant la force de
relaxation et l'énergie de défaut d'empilement (Cordea et Spretnak). L'énergie
d'activation trouvée par Roberts et al. correspond à l'énergie d'activation
pour l'autodiffusion en volume dans le zinc, ce qui est conforme aux idées de
Kê. On assiste donc dans ce cas à un glissement des joints. Nous pensons que
l'énergie d'activation plus élevée requise pour ce mode de mouvement s'explique
par le fait que ce processus fait intervenir simultanément un plus grand nombre
d'atomes et des dislocations d'un type particulier. La comparaison des
résultats obtenus dans cette étude avec ceux publiés par d'autres chercheurs
permet de mieux préciser le mouvement des joints de grains dans le zinc pur.
Dans le cas d'échantillons à grains fins, on observe une migration du joint ;
dans le cas d'échantillons à gros grains, on assiste à un glissement des
joints.The grain boundary relaxation phenomena have been studied
for numerous metals and alloys. These investigations were aimed at determining
the structure and movement of grain boundaries. The results presented here were
obtained when studying grain-boundary damping in zinc. Determination of the
variation in the peak temperature as a function of the test frequency gave
results which are discussed. These results do not correspond to the same
activation energy as those derived by other workers. The observed phenomena are
thus of a different nature, though they are compatible with grain-boundary
displacement. The results obtained in the present investigation led to the
derivation of an activation energy close to the one for grain-boundary
self-diffusion. This observation agrees with most of the results recently
reported on grain boundary relaxation, when the mean diameter of the grains is
not too large. This result suggests that the relaxation of stresses at grain
boundaries occurs through motion of the boundary itself. This interpretation
fits in with the experimental results of Washburn and Parker, who observed the
reversible displacement of a boundary subjected to a periodic stress.
Furthermore, this mechanism agrees with the model proposed by Gleiter. If we
adopt the stackingfault energy recently supplied by Sastry and al., our results
fit the relationship established by Cordea and Spretnak. The activation energy
found by Roberts et al. corresponds to the activation energy for volume
self-diffusion in zinc, which agrees with the concepts of Kê. The phenomenon
involved in this case is thus grain-boundary glide. We believe that the higher
activation energy required by this type of motion results from the fact that a
larger number of atoms and dislocations of a special type are simultaneously
involved in this process. The comparison of results obtained in the present
work with those published by other workers, allows to give a better
specification of the motion of grain boundaries in high purity zinc. In the
case of fine-grained specimens, motion is by grain-boundary migration ; in that
of coarse-grained, it is by grain-boundary glide
ÉTUDE D'ALLIAGES Fe-Mn-N PAR LE FROTTEMENT INTÉRIEUR
Il est bien connu que la présence de manganèse dans un alliage fer-azote conduit à une déformation marquée du pic de Snoek de l'azote. Cette modification du pic a deux conséquences importantes : - dans le dosage de l'azote interstitiel par la méthode du frottement intérieur, il est nécessaire de tenir compte de la modification du pic pour que le dosage conserve sa signification ; - le changement de la forme du pic doit permettre de tirer des informations sur le comportement de l'azote dans les alliages Fe-Mn-N. Les résultats publiés par plusieurs chercheurs étant loin d'être concordants, nous avons repris au CNRM l'étude de ces alliages en accordant une importance particulière aux deux problèmes suivants : la décomposition d'un pic complexe en pics élémentaires et l'interprétation à donner à ces différents pics. Pour réaliser cette étude, nous avons préparé cinq alliages dont les teneurs en manganèse sont respectivement : 0,2 % ; 0,4 % ; 0,6 % ; 0,8 % et 1 %. Le traitement de nitruration était tel que la teneur en azote des cinq alliages est de 50 ppm. Nous avons cherché à mettre au point une méthode de décomposition générale dans laquelle on ne fait aucune hypothèse en ce qui concerne le nombre de pics élémentaires et leur température. Cette méthode, qui a l'avantage d'être absolument générale, procède par itérations successives et fournit une solution dont l'unicité a été vérifiée. Les résultats obtenus révèlent que : - même pour une teneur en manganèse aussi faible que 0,2 %, le pic à 22 °C observé dans les alliages fer-azote (1 Hz) disparaît ; il est remplacé par deux pics dont l'un se situe à une température inférieure à 22 °C et l'autre à une température supérieure ; - les températures de ces pics dépendent de la composition de l'alliage : le pic à haute température se situe à 25,7 °C pour l'alliage à 0,2 % Mn et à 32,2 °C pour l'alliage à 1 % Mn ; - le rapport des hauteurs de ces deux pics dépend également de la composition de l'alliage : la hauteur du pic à haute température vaut environ le quadruple de celle du pic à basse température pour l'alliage à 0,2 % Mn. Les hauteurs des deux pics sont pratiquement égales pour l'alliage à 1 % Mn. L'interprétation des résultats obtenus est basée sur la remarque suivante. Les atomes de manganèse dont les dimensions sont un peu plus grandes que celles des atomes de fer provoquent l'apparition d'interstices octaédriques légèrement dilatés qui seront occupés préférentiellement par les atomes d'azote. Ces interstices octaédriques privilégiés entraînent l'existence de deux énergies d'activation distinctes, dont l'une est inférieure et l'autre supérieure à l'énergie d'activation correspondant aux sauts de Snoek dans les alliages fer-azote. Ces deux énergies d'activation distinctes expliquent les deux pics que l'on observe expérimentalement.The presence of manganese in iron-nitrogen alloys results in a broadening of the internal friction peak due to interstitial nitrogen. This change in the Snoek peak has two consequences : - when determining the interstitial nitrogen content by internal friction measurements, it is necessary to take broadening into account for obtaining valid results ; - the peak broadening can give informations on the behaviour of nitrogen in Fe-Mn-N alloys. As previously published results are not in good agreement, the study of Fe-Mn-N alloys was undertaken at CNRM and special attention was given to the following points : the resolution of complex internal friction peaks into elementary peaks, and the interpretation to be given of these elementary peaks. Five Fe-Mn-N alloys were prepared, with 0.2 ; 0.4 ; 0.6 ; 0.8 and 1.0 % Mn, respectively. Nitrogen was introduced to obtain a 50 ppm nitrogen content. A quite general method of resolution was developed, in which no assumption was done concerning the number and temperature of elementary peaks. This method, which operates by successive iterations, gives a solution whose uniqueness was verified. The obtained results establish that : - even for a manganese content as low as 0.2 %, the 22 °C peak observed in Fe-N alloys (1 Hz) is absent ; it is replaced by two peaks, one of them being below 22 °C , and the other above this temperature ; - the temperature of both peaks depends on the manganese content : the high temperature peak is at 25.7 °C for 0.2 % Mn, and is at 32.2 °C for 1 % Mn ; - the ratio of elementary peak heights also depends on the manganese content : the height of the high temperature peak is about four times the height of the low temperature peak for 0.2 % Mn, both peaks have about the same height for 1 % Mn. Discussion of the results is based on the following remark. Manganese atoms, which are somewhat larger than iron atoms, create larger octahedral sites which are preferentially filled by nitrogen atoms. Such preferential sites induce two distinct activation energies, one of them is lower and the other higher than the activation energy for Snoek jumps in iron-nitrogen alloys. These distinct activation energies explain the two observed peaks
Dynamics of the diazotroph Bacillus polymyxa in the rhizosphere of wheat (Triticum aestivum L.)after inoculation and its effect on uptake of 15 N-labelled fertilizer
International audienc
Dynamics of the diazotroph Bacillus polymyxa in the rhizosphere of wheat (Triticum aestivum L.) after inoculation and its effect on uptake of 15N-labelled fertilizer
International audienceAn experiment under glasshouse conditions with a sandy soil was conducted to evaluate the effect of the inoculation of wheat (Triticum aestivum L.) roots with Bacillus polymyxa on N uptake by plants and to investigate the effect of N fertilization on the dynamics of this strain. Different treatments were considered: (i) amended (l00 kg N ha -I) or not with 15N labelled ammonium nitrate ; (ii) inoculated (2.5 107 spores per seed and 0.5 109 spores kg-I soil) or not with B. polymyxa CF43. No promoting effect on wheat growth (dry yield) or N uptake was observed after inoculation under these experimental conditions; 62 per cent of the N fertilizer was assimilated by plants during the first 33 days. Inoculation had no effect on the quantity of soil adhering to the roots. Soluble organic C and inorganic N concentrations were higher in the soil adhering to the roots than in bulk soil. However, the nitrate concentration in soil adhering to the roots was influenced by inoculation at the beginning of plant growth, nitrate supply to the root system being delayed by its probable retention in the rhizosphere. Furthermore, total bacteria in roots, soil adhering to the roots and bulk soil was not affected by N fertilization. The number of B. polymyxa cells measured by an AB-ELISA method increased first in the bulk soil and later in the soil adhering to the roots after inoculation. Fertilization with N decreased the B. polymyxa population in adhering soil, competitive suppression of diazotrophs by non-fixing bacteria probably being induced by the presence of large amounts of nutrients in the rhizosphere when N was added