La mise en oeuvre interculturelle de LibQUAL+MC : le cas du français

Traduit de l'anglais par Jimmy Légaré et Olivier Paradis (Direction des bibliothèques de l'UdeM).Cet article présente une analyse contextuelle des problèmes interculturels et linguistiques de traduction reliés à la version française du questionnaire LibQUAL+MC, tel qu’utilisé dans des bibliothèques canadiennes à l’automne 2003. On répond par l’affirmative à la question de recherche qui consiste à déterminer si le processus de traduction française a produit des résultats équivalents aux versions anglaises du questionnaire. Les dimensions de l’outil LibQUAL+MC utilisées pour mesurer la qualité des services sont validées par une analyse factorielle et une analyse de fidélité des données recueillies par la participation de l’Université Laval et de l’Université d’Ottawa. Un questionnaire comportant trois dimensions ressort de ce processus, c’est-à-dire les dimensions de bibliothèque en tant que lieu, de soutien du personnel et de contrôle informationnel. Le processus de validation assure que les versions du questionnaire sont culturellement pertinentes dans la langue cible et équivalentes à l’original sur le plan conceptuel, et ce processus garantit l’équivalence interculturelle de la version française. L’importance d’un cycle itératif continu d’analyse contextuelle est également apparu comme une composante importante qui fournit l’assurance que LibQUAL+MC peut être appliqué avec succès à l’intérieur d’environnements différents

Introduction to Library Trends 49 (4) Spring 2001: Measuring Service Quality

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LibQUAL+ 2014 Survey Results -- University of Oregon Libraries

111 pagesThis notebook contains information from the 2010 administration of the LibQUAL+® protocol. The material on the following pages is drawn from the analysis of responses from the University of Oregon Libraries collected in 2014

The future of academic publishing: application of the long-tail theory

Print academic journals are dead. As we watch large metropolitan newspapers fail (as are many small town newspapers), the same economic forces are driving online scholarly publishing. This phenomenon is more than print journals going online. The options available with new low-cost online publishing software and the rise in the ability to use ratings from user generated content suggest more near-term changes are likely. Many of the outcomes are unsettled: the economics of online publishing; the standards for peer review, rank, and tenure; and the very nature of scholarly publishing itself. What is certain, however, is that the economics of online academic publishing—modeled via Anderson’s Long Tail Theory—will make it possible to provide greater access, more collaboration, and, ultimately, improved research and researchers. Universities acting as publishing centers with their e-reserves will be expected to change their faculty evaluations, providing greater academic rewards for those who act as editors, reviewers, and proofreaders within this new born-online and only-online world