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Glucocorticoids for acute urticaria: study protocol for a double-blind non-inferiority randomised controlled trial
INTRODUCTION: This study protocol describes a trial designed to investigate whether antihistamine alone in patients with acute urticaria does not increase the 7-day Urticaria Activity Score (UAS7) in comparison with an association of antihistamine and glucocorticoids and reduces short-term relapses and chronic-induced urticaria.
METHODS AND ANALYSIS: This is a prospective, double-blind, parallel-group, multicentre non-inferiority randomised controlled trial. Two-hundred and forty patients with acute urticaria admitted to emergency department will be randomised in a 1:1 ratio to receive levocetirizine or an association of levocetirizine and prednisone. Randomisation will be stratified by centre. The primary outcome will be the UAS7 at day 7. The secondary outcomes will encompass recurrence of hives and/or itch at day 7; occurrence of spontaneous hives or itch for >6 weeks; patients with angioedema at day 7, and 2, 6, 12 and 24 weeks; new emergency visits for acute urticaria recurrences at days 7 and 14, and 3 months; Dermatology Life Quality Index at days 7 and 14, and 3 and 6 months; and Chronic Urticaria Quality of Life Questionnaire at 6 weeks.
ETHICS AND DISSEMINATION: The protocol has been approved by the and will be carried out in accordance with the Declaration of Helsinki and Good Clinical Practice guidelines. A steering committee will oversee the progress of the study. Findings will be disseminated through national and international scientific conferences and publication in peer-reviewed journals.
TRIAL REGISTRATION NUMBER: NCT03545464
Trials
BACKGROUND: Recent data suggest that 10-20% of injury patients will suffer for several months after the event from diverse symptoms, generally referred to as post-concussion-like symptoms (PCLS), which will lead to a decline in quality of life. A preliminary randomized control trial suggested that this condition may be induced by the stress experienced during the event or emergency room (ER) stay and can be prevented in up to 75% of patients with a single, early, short eye movement desensitization and reprocessing (EMDR) psychotherapeutic session delivered in the ER. The protocol of the SOFTER 3 study was designed to compare the impact on 3-month PCLS of early EMDR intervention and usual care in patients presenting at the ER. Secondary outcomes included 3-month post-traumatic stress disorder, 12-month PCLS, self-reported stress at the ER, self-assessed recovery expectation at discharge and 3 months, and self-reported chronic pain at discharge and 3 months. METHODS: This is a two-group, open-label, multicenter, comparative, randomized controlled trial with 3- and 12-month phone follow-up for reports of persisting symptoms (PCLS and post-traumatic stress disorder). Those eligible for inclusion were adults (>/=18 years old) presenting at the ER departments of the University Hospital of Bordeaux and University Hospital of Lyon, assessed as being at high risk of PCLS using a three-item scoring rule. The intervention groups were a (1) EMDR Recent Traumatic Episode Protocol intervention performed by a trained psychologist during ER stay or (2) usual care. The number of patients to be enrolled in each group was 223 to evidence a 15% decrease in PCLS prevalence in the EMDR group. DISCUSSION: In 2012, the year of the last national survey in France, 10.6 million people attended the ER, some of whom did so several times since 18 million visits were recorded in the same year. The SOFTER 3 study therefore addresses a major public health challenge. TRIAL REGISTRATION: Clinical Trials. NCT03400813 . Registered 17 January 2018 - retrospectively registered
COVID-19 Impact on Out-of-Hospital Cardiac Arrest in Epidemic Overactivity Phase: Data from the ReAC Registry
International audienceIntroductionNotre objectif était d'analyser la survie des patients victimes d'un arrêt cardiaque extrahospitalier (ACEH) durant la pandémie Covid-19 et de comparer les données en fonction du centre de traitement de l'appel choisi, le 15 ou le 18.MéthodeNous avons extrait les données exhaustives du Registre des arrêts cardiaques (RéAC), entre le 1er mars et le 30 avril 2020. Nous avons effectué trois comparaisons de la survie à 30 jours (J30) de cohortes de patients : 1) Covid vs non-Covid ; 2) appels arrivés au service d'aide médicale urgente (Samu) (15) vs aux sapeurs-pompiers (SP) (18) et 3) appels arrivés au 15 vs 18 pour les patients Covid.RésultatsSur un total de 870 ACEH, 184 étaient atteints de la Covid. Nous avons observé 487 (56 %) appels arrivés au 15 et 383 (44 %) au 18. La survie à J30 était de 3 %. Les ACEH Covid avaient une survie à J30 plus faible que les non-Covid (0 vs 4 %, p < 0,001). Le délai d'arrivée de SP était plus long lors d'un appel au 15. En revanche, aucune différence de survie n'est observée entre les appels arrivés au 15 ou au 18.ConclusionLa survie consécutive à un ACEH durant la pandémie est extrêmement faible. Cependant, quel que soit le numéro composé (15 ou 18), la survie n'est pas différente, même si le délai d'arrivée des prompts secours est plus court lors d'un appel au 18
Accessibility measure for haemophilia patients: study of Anti-Haemophilic Factors availability in the RhĂ´ne-Alpes county (France)
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Traumatismes consécutifs aux accidents de trottinettes
Les trottinettes connaissent un engouement croissant avec la mise en place des trottinettes en libre-service. Toutefois, leur usage n'est pas sans conséquence sur le risque traumatique. Cette étude a pour objectif de décrire la population et les types de lésions des usagers de trottinettes.Matériel et méthode : Les données proviennent du registre des victimes d'accident de la circulation du département du Rhône qui inclut toute personne blessée ou tuée à la suite d'un accident de la route survenu dans le département du Rhône et pris en charge dans une structure sanitaire privée ou publique. La période étudiée concerne l'année 2019. Les informations recueillies concernent les caractéristiques individuelles, accidentelles, lésionnelles de la victime ainsi que son devenir. Les lésions sont codées grâce à l'Abbreviated Injury Scale (AIS). Les blessés graves sont définis par des lésions d'AIS 3 et plus.Résultats : Au total, 1 186 accidents de trottinette ayant entraîné 1 197 usagers blessés ont été recensés, dont 90 % dans l'hypercentre urbain, avec un nombre d'accidents de trottinettes multiplié par 7,3 entre 2018 et 2019. Cette augmentation a été observée depuis l'été 2018 avec l'introduction de sociétés proposant des locations de trottinettes. L'accident s'est produit seul, sans antagoniste dans 77 % des cas (n = 920). Le port du casque était rare (n = 72 ; 6 %). La grande majorité (n = 869 ; 73 %) des blessés était âgée de 10 à 34 ans, et les 20 à 24 ans (n = 301) représentaient le quart de l'effectif. Pour 11 accidents, il y avait deux blessés usagers de la même trottinette. Il y avait en moyenne deux lésions par victime. Les atteintes graves (MAIS 3 et plus) représentaient 3,8 % des lésions, et il n'y avait pas de différence statistiquement significative pour les lésions graves entre trottinette électrique et trottinette à propulsion humaine (p = 0,20). Comparées aux lésions des cyclistes dont les caractéristiques des accidents sont proches, les blessures de l'extrémité céphalique prédominent chez les usagers de trottinette (37 vs 27 % ; p < 0,001).Conclusion : Devant l'utilisation grandissante des trottinettes parmi les modes de déplacement, une évaluation scientifique des victimes de traumatismes est nécessaire pour proposer des recommandations visant à limiter les traumatismes graves. Ce travail constitue une première étape vers la surveillance épidémiologique tant en termes de recommandations que d'évolution
Analyse du lien entre AVC et niveau de vie dans le RhĂ´ne
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