29 research outputs found

    A screening tool to prioritize public health risk associated with accidental or deliberate release of chemicals into the atmosphere

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    The Chemical Events Working Group of the Global Health Security Initiative has developed a flexible screening tool for chemicals that present a risk when accidentally or deliberately released into the atmosphere. The tool is generic, semi-quantitative, independent of site, situation and scenario, encompasses all chemical hazards (toxicity, flammability and reactivity), and can be easily and quickly implemented by non-subject matter experts using freely available, authoritative information. Public health practitioners and planners can use the screening tool to assist them in directing their activities in each of the five stages of the disaster management cycle

    PRISE EN CHARGE ACTUELLE DES ENVENIMATIONS VIPERINES EN FRANCE

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Avis complĂ©tĂ© de l’Anses relatif Ă  l’évaluation des risques sanitaires liĂ©s Ă  la prĂ©sence de substances chimiques dans des masques chirurgicaux mis Ă  la disposition du grand public

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    Dans le cadre de la crise sanitaire de la COVID-19, la DGCCRF a lancĂ© une enquĂȘte en 2020 sur 17 rĂ©fĂ©rences de masques chirurgicaux mis Ă  disposition du grand public pour contrĂŽler leurs performances. À titre exploratoire et en l’absence d’alerte particuliĂšre, ces masques ont Ă©galement fait l’objet d’analyses visant Ă  rechercher plusieurs familles de substances chimiques. La DGCCRF a poursuivi cette enquĂȘte en 2021, sur 23 rĂ©fĂ©rences de masques chirurgicaux, colorĂ©s ou non, mis Ă  disposition du grand public.Dans le cadre de cette saisine, la DGCCRF demande Ă  l’Agence : - d’évaluer les risques sanitaires liĂ©s Ă  la prĂ©sence de substances chimiques dĂ©tectĂ©es ou quantifiĂ©es dans les masques chirurgicaux dans le cadre des enquĂȘtes rĂ©alisĂ©es en 2020 et 2021 ; - de proposer des recommandations visant Ă  limiter la prĂ©sence ou l’exposition Ă  ces substances dans le cas oĂč de tels risques seraient identifiĂ©s.L’expertise prĂ©sentĂ©e ci-aprĂšs porte ainsi sur l’évaluation quantitative des risques sanitaires (EQRS) liĂ©s aux substances dĂ©tectĂ©es ou quantifiĂ©es dans les masques chirurgicaux prĂ©levĂ©s dans le cadre de ces enquĂȘtes.Les masques anti-projections (de type « chirurgical ») sont destinĂ©s Ă  Ă©viter, lors de l’expiration de celui qui le porte, la projection de sĂ©crĂ©tions des voies aĂ©riennes supĂ©rieures ou de salive pouvant contenir des agents infectieux transmissibles par des gouttelettes ou par voie aĂ©rienne (transmission aĂ©roportĂ©e par de fines particules de moins de 3 microns). En revanche, ils ne protĂšgent pas contre l’inhalation de trĂšs petites particules en suspension dans l’air.Les masques chirurgicaux, sous leur forme actuelle (masques en fibres synthĂ©tiques non tissĂ©es Ă  usage unique), sont arrivĂ©s sur le marchĂ© des pays dĂ©veloppĂ©s dans les annĂ©es 1960 remplaçant les masques jusqu'alors en tissu. En France, jusqu’à l’épidĂ©mie de la COVID-19, ils n’étaient utilisĂ©s que ponctuellement par les professionnels de santĂ© (principalement en milieu hospitalier), par exemple lors de soins ou gestes sur une effraction cutanĂ©e (plaies, sutures, etc.) ou l’introduction de dispositifs mĂ©dicaux dans l’organisme (ponctions, etc.). Ils n’étaient portĂ©s par des soignants durant de nombreuses heures que dans des circonstances particuliĂšres (au bloc opĂ©ratoire lors de chirurgies prolongĂ©es par exemple). Ils pouvaient Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©s par les professionnels en laboratoire d’analyse biomĂ©dicale ou de recherche ou en agroalimentaire.L’utilisation des masques chirurgicaux depuis le dĂ©but de l’épidĂ©mie de la COVID-19 revĂȘt un caractĂšre totalement inhabituel qui ne s’est jamais prĂ©sentĂ© dans l’histoire rĂ©cente de nos sociĂ©tĂ©s occidentales, par :- une utilisation massive par des millions de personnes de la population gĂ©nĂ©rale et non plus uniquement par des professionnels,- un port quotidien, prolongĂ©, en extĂ©rieur et en intĂ©rieur, voire au domicile,- une utilisation par des populations trĂšs diverses (hommes, femmes, femmes enceintes, enfants) : -- ayant des capacitĂ©s et dĂ©bits respiratoires trĂšs diffĂ©rents, tant au repos qu’à l’effort, -- avec des pathologies respiratoires et ORL sous-jacentes possibles,- une utilisation dans des conditions d’activitĂ© trĂšs diverses (efforts physiques, etc.) et des conditions ambiantes de port non rĂ©gulĂ©es (tempĂ©rature et humiditĂ© principalement),- un port prolongĂ© d’un mĂȘme masque chirurgical rĂ©guliĂšrement au-delĂ  des 4 heures recommandĂ©es, parfois durant toute une journĂ©e, voire sur plusieurs jours de suite,- des masques chirurgicaux de provenance et de qualitĂ© trĂšs diverses, - et avec un port quotidien par la population depuis maintenant prĂšs d’un an et demi.Compte tenu de l’usage massif des masques chirurgicaux, des mĂ©susages ont pu Ă©galement ĂȘtre constatĂ©s (par exemple inversion de la face au contact du visage, masques sĂ©chĂ©s au soleil ou lavĂ©s, etc.) aussi bien dans la population gĂ©nĂ©rale que professionnelle.Ces nouvelles modalitĂ©s d’utilisation et de port du masque chirurgical touchent une large population habituellement trĂšs peu exposĂ©e Ă  ce dispositif mĂ©dical. Or, un manque de donnĂ©es concernant l’inhalation de substances issues des masques chirurgicaux dans le cadre de ces nouveaux modes d’utilisation est constatĂ© dans la littĂ©rature scientifique. Il est Ă  noter que les masques chirurgicaux sont des dispositifs mĂ©dicaux qui doivent rĂ©pondre aux exigences du RĂšglement UE n°2017/745. La surveillance du marchĂ© de ces dispositifs mĂ©dicaux relĂšve de la compĂ©tence de l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et des produits de santĂ© (ANSM). Toutefois, dans le contexte d’urgence crĂ©Ă© par l’épidĂ©mie de la COVID-19, possibilitĂ© a Ă©tĂ© ouverte aux États membres d’autoriser des dĂ©rogations aux procĂ©dures d’évaluation de la conformitĂ© selon les termes de la recommandation 2020/403 de la Commission EuropĂ©enne.[Saisine liĂ©e n°2021-SA-0089

    A screening tool to prioritize public health risk associated with accidental or deliberate release of chemicals into the atmosphere

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    The Chemical Events Working Group of the Global Health Security Initiative has developed a flexible screening tool for chemicals that present a risk when accidentally or deliberately released into the atmosphere. The tool is generic, semi-quantitative, independent of site, situation and scenario, encompasses all chemical hazards (toxicity, flammability and reactivity), and can be easily and quickly implemented by non-subject matter experts using freely available, authoritative information. Public health practitioners and planners can use the screening tool to assist them in directing their activities in each of the five stages of the disaster management cycle

    Inhalation rĂ©crĂ©ative de substances volatiles - Étude des cas rapportĂ©s aux Centres antipoison entre le 1er juillet 2013 et le 31 dĂ©cembre 2019: Rapport d’étude de toxicovigilance

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. 2022. Inhalation rĂ©crĂ©ative de substances volatiles. Étude des cas rapportĂ©s aux Centres antipoison entre le 1er juillet 2013 et le 31 dĂ©cembre 2019 (saisine 2019-SA-0217). Maisons-Alfort : Anses, 41 p.En juin 2012, Ă  la suite du dĂ©cĂšs par asphyxie d’un adolescent dans un contexte d’inhalation volontaire de dĂ©odorant, des reprĂ©sentants de la Direction gĂ©nĂ©rale de la santĂ© (DGS), de l’Agence rĂ©gionale de santĂ© (ARS) Bretagne, des Centres antipoison (CAP), de l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et des produits de santĂ© (ANSM), de l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et de l’Institut de veille sanitaire (actuellement SantĂ© Publique France) avaient demandĂ© une Ă©valuation de l’ampleur de cette pratique d’inhalation rĂ©crĂ©ative. Les dĂ©cĂšs rapportĂ©s par les rĂ©seaux de toxicovigilance et d’addictovigilance Ă©taient souvent associĂ©s Ă  une utilisation dĂ©tournĂ©e degĂ©nĂ©rateurs d’aĂ©rosols.Les produits manufacturĂ©s concernĂ©s par l'usage rĂ©crĂ©atif de substances volatiles sont nombreux et variĂ©s. Peuvent ainsi ĂȘtre listĂ©s les gĂ©nĂ©rateurs d'aĂ©rosols (dĂ©odorant, dĂ©sodorisant, laque, dĂ©poussiĂ©rant...), certaines colles, les combustibles pour briquets, les produits de nettoyage Ă  sec, les dissolvants Ă  ongles, les blancs correcteurs, les stylos marqueurs ou encore l'essence. Les substances chimiques qu'ils contiennent sont Ă©galementmultiples avec, par exemple, du propane, butane, tĂ©trafluoroĂ©thane, toluĂšne ou trichlorĂ©thylĂšne.A la suite de cette alerte, une analyse des cas du rĂ©seau d'addictovigilance avait Ă©tĂ© initiĂ©e. Elle portait sur la pĂ©riode allant du 1 er janvier 2000 au 30 juin 2013 et faisait Ă©tat de 59 cas d’usage rĂ©crĂ©atif de substances volatiles (CEIP-A de Lyon, 2014). La rĂ©partition des cas dans cette Ă©tude montrait une prĂ©dominance de l’utilisation des aĂ©rosols chez les plus jeunes. Un travail similaire avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par les CAP sur la mĂȘme pĂ©riode, mettant en Ă©vidence plusieurs centaines de cas d’inhalation rĂ©crĂ©ative de substances volatiles, majoritairement Ă  partir de gĂ©nĂ©rateurs d’aĂ©rosols (dĂ©odorants et dĂ©poussiĂ©rants) (travail non publiĂ©).Face Ă  l'augmentation ces derniĂšres annĂ©es de cas marquants d’aprĂšs les CEIP-A, l’ANSM a mis Ă  jour l'enquĂȘte d'addictovigilance concernant les solvants volatils (Ă  l'exception du protoxyde d'azote et des poppers qui font l'objet d'enquĂȘtes d'addictovigilance dĂ©diĂ©es) et a souhaitĂ© la complĂ©ter avec les donnĂ©es des CAP. Ce rapport porte sur les cas rapportĂ©s aux CAP du 1 er juillet 2013 jusqu'au 31 dĂ©cembre 2019

    Expositions aux produits phytopharmaceutiques en population gĂ©nĂ©rale et professionnelle - Focus sur les produits de biocontrĂŽle - Étude rĂ©trospective des observations enregistrĂ©es par les Centres antipoison et de toxicovigilance français du 1er janvier 2018 au 31 dĂ©cembre 2018: Rapport d’étude

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    Dans le pĂ©rimĂštre du GT « toxicovigilance des intrants du vĂ©gĂ©tal, produits biocides et mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires », aucun bilan complet des effets des produits phytopharmaceutiques (PPP) tant en population gĂ©nĂ©rale que professionnelle n’a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© jusqu’à prĂ©sent ; de la mĂȘme façon, aucune Ă©tude sur les expositions Ă  des PPP de biocontrĂŽle n’a Ă©tĂ© menĂ©e alors que leur utilisation, notamment en population gĂ©nĂ©rale, croit rapidement. Par ailleurs, le dĂ©cret n° 2016-1595 du 24 novembre 2016 relatif Ă  la phytopharmacovigilance requiert Ă  l’article R. 253-46-5 que « les organismes dĂ©signĂ©s participant Ă  la phytopharmacovigilance
transmettent au moins une fois par an Ă  l'Agence les informations mentionnĂ©es Ă  l'article R. 253-46-64 dont ils disposent dans leur domaine de compĂ©tence, aprĂšs en avoir vĂ©rifiĂ© la fiabilitĂ© et la pertinence, Ă  l'exception des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel »

    Ingestion de billes d’eau Analyse des cas enregistrĂ©s par les Centres antipoison du 1er janvier 2010 au 31 dĂ©cembre 2019: Rapport d’étude de toxicovigilance

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    Les billes d’eau ou perles d’eau, formĂ©es de polymĂšres superabsorbants (PSA), sont vendues pour un usage dĂ©coratif, pour l’hydratation des plantes, comme composants de jouets voire en tant que jouets Ă  part entiĂšre. Elles peuvent Ă©galement ĂȘtre employĂ©es pour des utilisations ludiques ou crĂ©atives. Par immersion dans l’eau, ces billes de PSA ont la propriĂ©tĂ© d’augmenter de volume, jusqu'Ă  plusieurs centaines de fois Ă  partir de leur volume dĂ©shydratĂ©. En effet, les PSA sont des hydrogels, c’est-Ă -dire des polymĂšres qui ont la capacitĂ© d’absorber plusieurs centaines de fois leur masse en eau. Ils ont Ă©tĂ© utilisĂ©s dĂšs les annĂ©es 1960 en agriculture pour maintenir l’humiditĂ© des sols. Leurs usages ont ensuite Ă©tĂ© Ă©largis comme agent de rĂ©tention des liquides dans les couches pour bĂ©bĂ©s ou les protections hygiĂ©niques. Souvent multicolores, ces billes de PSA sont attractives pour de jeunes enfants qui peuvent les confondre avec des bonbons et les avaler. Si elles n’ont pas atteint leur taille maximale au moment oĂč l’enfant les avale, elles peuvent continuer Ă  gonfler dans le tube digestif et causer une occlusion intestinale.En 2017, les autoritĂ©s de santĂ© de Guyane avaient alertĂ© le public sur la circulation de sachets de billes colorĂ©es sous l’appellation « Seven Color Crystal Ball » dans une Ă©cole et le risque de confusion avec des bonbons (ARS Guyane, 2017).C’est dans ce contexte qu’un dĂ©cĂšs par occlusion intestinale chez un enfant de deux ans a Ă©tĂ© dĂ©plorĂ© en France en 2019Suite Ă  cela, fin dĂ©cembre 2019, la Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ© (DGS), la Direction GĂ©nĂ©rale de la Concurrence, de la Consommation et de la RĂ©pression des Fraudes (DGCCRF) et l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) alertaient les consommateurs sur le danger de ces produits. UncommuniquĂ© de presse2 a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© Ă  partir des cas enregistrĂ©s par les centres antipoison (CAP) entre le 1er janvier 2010 et le 31 dĂ©cembre 2019 (Anses, 2019). Le prĂ©sent document constitue le rapport descriptif de ces cas. Le communiquĂ© a Ă©tĂ© relayĂ© Ă  l’Union nationale des associations familiales, au rĂ©seau de professionnels de la pĂ©rinatalitĂ©, de la protection materno-infantile et Ă  l’éducation nationale, pour qu’il soit diffusĂ© au personnel enseignant

    Protoxyde d’azote - Bilan des cas rapportĂ©s aux Centres antipoison en 2020: Rapport d’étude de toxicovigilance

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    Le protoxyde d’azote (N2O, n° CAS 10024-97-2) dĂ©signĂ© aussi sous le nom de « gaz hilarant » ou encore « proto », est dĂ©tournĂ© de son utilisation Ă  des fins rĂ©crĂ©atives. Sont commercialisĂ©s du protoxyde d’azote Ă  usage mĂ©dical (mĂ©lange Ă©quimolaire d’oxygĂšne et de protoxyde d’azote (MEOPA)) et du protoxyde d’azote destinĂ© Ă  un usage essentiellement culinaire (prĂ©paration de crĂšme chantilly notamment en siphon). Ce dernier usage, disponible en vente libre, fait l’objet d’un dĂ©tournement important ces derniĂšres annĂ©es par des jeunes adultes dans un contexte festif ou dans un cadre privĂ© Ă  domicile, avec l’utilisation de cartouches ou de bonbonnes de gaz N2O (une bonbonne Ă©quivalant Ă  une centaine de cartouches). Le gaz est transfĂ©rĂ© depuis une cartouche vers un ballon de baudruche servant Ă  l’inhalation mais la consommation du protoxyde d’azote via les bonbonnes est facilitĂ©e car il n’est pas nĂ©cessaire de disposer d’un cracker (ou dĂ©capsuleur) pour vider le gaz dans un ballon. Cette consommation est de de plus en plus rĂ©pandue chez les adolescents et peut avoir des consĂ©quences graves avec des atteintes neurologiques persistantes nĂ©cessitant une hospitalisation.Un rapport du Centre antipoison (CAP) de Marseille et de l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et des produits de santĂ© (ANSM, ex-Afssaps), incluant les donnĂ©es des Centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodĂ©pendance et d’addictovigilance (CEIP-A) datant de 2007, dĂ©montrait dĂ©jĂ  Ă  l’époque cette tendance au dĂ©tournement de cartouches pour siphons (CCTV, 2007).Plus rĂ©cemment, plusieurs alertes sur le dĂ©tournement d’usage de ce gaz Ă  usage alimentaire ont Ă©tĂ© rendues publiques : fin 2019, la Mission interministĂ©rielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) a confirmĂ© dans un communiquĂ© de presse une augmentation des cas graves rapportĂ©s aux CEIP-A (Mildeca, 2019) ; en juin 2020, des messages ciblĂ©s vers les jeunes consommateurs et leur entourage ont Ă©tĂ© postĂ©s par la Mildeca sur les rĂ©seaux sociaux (Mildeca, 2020).En juillet 2020, l’Anses et l’ANSM publiaient simultanĂ©ment leurs Ă©tudes sur les cas rapportĂ©s d’une part aux CAP et d’autre part aux CEIP-A, entre 2017 et 2019 (Anses, 2020 ; RĂ©seau français d’addictovigilance, 2020 ; MSS, 2020). Les conclusions convergentes de ces deux Ă©tudes confirmaient l’utilisation rĂ©crĂ©ative croissante de protoxyde d’azote chez les jeunes adultes avec dans certains cas, la survenue de symptĂŽmes neurologiques persistants et d’atteintes sĂ©vĂšres de la moelle Ă©piniĂšre. ConsidĂ©rant ces premiers bilans, l’ANSM a souhaitĂ© mettre Ă  jour les donnĂ©es du rĂ©seau d’addictovigilance pour l’annĂ©e 2020 et les complĂ©ter avec celles du rĂ©seau des CAP
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