17 research outputs found

    Note technique : marquage des salmonidés de petite taille par ablation de l'adipeuse ou des nageoires pelviennes

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    Une technique de marquage par cautérisation de la nageoire adipeuse est décrite Elle a été testée sur des salmonidés de petit taille ( 28 mm ≤ longueur totale ≤ 55 mm) pour trois espèces : omble chevalier (Salvelinus alpinus), truite fario (Salmo trutta) et corégone (Coregonus Sp.). Le type de marquage décrit s'avère performant ( 500 à 600 juvéniles marqués/personne/heure) comparativement à la technique d'ablation des deux pelviennes (300 à 350 ind/personne/heure) testée sur des truitelles de 28 à 42 mm. Après un mois, en conditions d'élevage, les deux types de marquage ont peu affecté la croissance et la survie. Bien que réalisable à des tailles plus faibles, la technique de cautérisation est recommandée à partir de 33 mm de longueur totale

    Marquage d'ombles chevalier (Salvelinus alpinus) de petite taille par injection de micromarques magnétisées

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    La technique de marquage de poissons par injection, dans le cartilage nasal, de micromarques magnétisées codées est présentée. Ce type de marquage a été testé avec succès sur des ombles chevalier (Salvelinus alpinus) de très petite taille (22-55 mm). Quand la technique est bien maîtrisée, le taux de rétention des marques est élevé ( ≥ 98%). La vitesse de marquage a été de 250- 300/personne/heure pour des ombles de 2-3 cm et de 400-450/personne et par heure pour ceux de 4-5 cm. La mortalité au cours du marquage est très faible. La survie et la croissance, évaluées après un mois, en conditions d'élevage, n'ont pas été significativement affectées par le marquage magnétique. Des recommandations sont faites

    Résultats de déversements, dans le Léman, d'ombles marqués

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    Des ombles chevalier de 1 à 2 hivers ont été marqués et Iâchés dans le Léman pour voir le devenir de ces poissons de pisciculture dans le lac. Les marques dorsales donnent de meilleurs pourcentages de retours que les marques maxillaires, tandis que le cryomarquage passe inaperçu des pêcheurs une centaine de jours après l'immersion des poissons dans le lac. La croissance en longueur des poissons d'un hiver est comparable à celle des ombles de pisciculture; à cet âge, dans le lac, le zooplancton constitue la base de la nourriture. Les ombles de deux hivers accusent par contre un retard de croissance important par rapport à ceux du même âge gardés en pisciculture. Le mode de marquage maxillaire pourrait expliquer ce fait bien que sur des ombles d'un hiver les tests statistiques ne révèlent aucune influence du type de marquage sur la croissance en longueur. L'appauvrissement de la faune benthique. proie habituelle des ombles, lié à l'altération de la qualité de l'eau du Léman, pourrait également expliquer ce retard de croissance. On note chez les ombles marqués une inclination très nette à vivre en bancs et, pour ceux d'entre eux qui sont lâchés le long des côtessuddu lac, une tendance à migrer sur les rives septentrionales. Ce comportement profite aux pêcheurs suisses. Les lâchers d'ombles marqués bénéficient également davantage aux pêcheurs professionnels qu'aux pêcheurs amateurs. Quelques conclusions sur les meilleures conditions de lâchers d'ombles de pisciculture peuvent être tirées de ce travail qui demande à être complété, après mise au point d'un mode de marquage correct, par une appréciation de l'efficacité des peuplements réalisés avec des alevins

    Sexual Precocity

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    Premières observations sur la truite (Salmo trutta L.) dans le Redon, un petit affluent-frayère du lac Léman

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    La reproduction de la truite commune (Salmo trutta L.) a été suivie trois années consécutives du début novembre à la mi-janvier, dans un petit affluent du Lac Léman. Le suivi a été réalisé en utilisant deux techniques complémentaires : la pêche électrique et le comptage des frayères. L'activité de fraie des truites lacustres est comparée à celle des truites sédentaires. L'étude précise les caractéristiques des populations en place avant la fraie, ainsi que celles des géniteurs de truite de lac. Les mouvements des juvéniles sont sommairement étudiés

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    La reproduction de la truite commune (Salmo trutta L.) a été suivie trois années consécutives du début novembre à la mi-janvier, dans un petit affluent du Lac Léman. Le suivi a été réalisé en utilisant deux techniques complémentaires : la pêche électrique et le comptage des frayères. L'activité de fraie des truites lacustres est comparée à celle des truites sédentaires. L'étude précise les caractéristiques des populations en place avant la fraie, ainsi que celles des géniteurs de truite de lac. Les mouvements des juvéniles sont sommairement étudiés
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