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FOLFIRI as second-line treatment of metastatic biliary tract cancer patients
The combination of cisplatin and gemcitabine is the standard first-line treatment of metastatic biliary tract cancer (BTC) patients. The benefit of second-line chemotherapy in these patients is controversial. This study aims to evaluate the activity of FOLFIRI (fluorouracil and irinotecan) after failure to the first-line platinum and gemcitabine-based chemotherapy in metastatic BTC patients. We present a single-institution, retrospective cohort study. Patients with locally advanced or metastatic BTC who progressed after at least one line of chemotherapy, consecutively treated at our Institution between 2007 and 2017 were included. The primary endpoint was progression-free survival (PFS), and the secondary endpoints were overall survival (OS), clinical benefit rate (CBR) and safety profile of FOLFIRI. Twelve patients were included in the analysis, with a median follow up of 5 months (95% CI 2.77-7.20). The median number of cycles received was 3 (range 1 to 9). Four grade 3 toxicities were recorded; no grade 4 toxicities and no treatment-related deaths occurred. The median PFS was 1.7 months (95% CI; 0.66-2.67), and median OS was 5 months (95% CI; 2.77-7.20). Two patients presented stable disease, providing a CBR of 17%. We concluded that FOLFIRI presented a favorable toxicity profile and a modest activity in metastatic BTC patients who had progressed to platinum and gemcitabine and may be considered in patients who are able to tolerate additional lines of chemotherapy. Immunotherapy and targeted therapies selected according to the tumoral genomic profile are promising alternatives to improve the outcomes of second-line treatment in BTC
Study protocol for THINK : a multinational open-label phase I study to assess the safety and clinical activity of multiple administrations of NKR-2 in patients with different metastatic tumour types
Introduction: NKR-2 are autologous T cells genetically modified to express a chimeric antigen receptor (CAR) comprising a fusion of the natural killer group 2D (NKG2D) receptor with the CD3 zeta signalling domain, which associates with the adaptor molecule DNAX-activating protein of 10 kDa (DAP10) to provide co-stimulatory signal upon ligand binding. NKG2D binds eight different ligands expressed on the cell surface of many tumour cells and which are normally absent on non-neoplastic cells. In preclinical studies, NKR-2 demonstrated long-term antitumour activity towards a breadth of tumour indications, with maximum efficacy observed after multiple NKR-2 administrations. Importantly, NKR-2 targeted tumour cells and tumour neovasculature and the local tumour immunosuppressive microenvironment and this mechanism of action of NKR-2 was established in the absence of preconditioning.
Methods and analysis: This open-label phase I study will assess the safety and clinical activity of NKR-2 treatment administered three times, with a 2-week interval between each administration in different tumour types. The study will contain two consecutive segments: a dose escalation phase followed by an expansion phase. The dose escalation study involves two arms, one in solid tumours (five specific indications) and one in haematological tumours (two specific indications) and will include three dose levels in each arm: 3x10(8), 1x10(9) and 3x10(9) NKR-2 per injection. On the identification of the recommended dose in the first segment, based on dose-limiting toxicity occurrences, the study will expand to seven different cohorts examining the seven different tumour types separately. Clinical responses will be determined according to standard Response Evaluation Criteria In Solid Tumors (RECIST) criteria for solid tumours or international working group response criteria in haematological tumours.
Ethics approval and dissemination: Ethical approval has been obtained at all sites. Written informed consent will be taken from all participants. The results of this study will be disseminated through presentation at international scientific conferences and reported in peer-reviewed scientific journals
The meaningness of colon cancer sidedness
SCOPUS: ed.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
Utilité de l'imagerie multimodale pour la prédiction de la réponse au traitement dans le cancer colorectal
L’hypothèse prédominante de cette thèse est que les changements métaboliques tumoraux mesurés par FDG-PET/CT sous l’influence des traitements anticancéreux, apparaissent plus précocement et parfois exclusivement par rapport aux modalités d’imagerie morphologique classique. L’imagerie multimodale, en combinant les avantages de chacune des techniques, dépasse leur limitations et pourrait permettre (i) une évaluation du bénéfice du traitement plus rapide et plus adéquate ;(ii) de modifier les algorithmes thérapeutiques à différents stades de cancer colorectal et (iii) d’améliorer la compréhension des mécanismes d’échappement aux traitements anticancéreux. Pour évaluer l’apport de l’imagerie multimodale dans l’évaluation de la réponse au traitement des cancers colorectaux (CCR), nous avons poursuivi 3 séries d’expérimentation cliniques.1) Le premier projet explore l’imagerie multimodale comme un outil d’individualisation pour la radio-embolisation (microsphères chargées en 90Yttrium) chez des patients porteurs d’un CCR métastatique au niveau du foie, pour laquelle l’imagerie morphologique classique est incapable de mesurer l’effet thérapeutique. Nous montrons que l’usage non sélectif de la radio-embolisation améliore l’histoire clinique de ces patients, bien que certains d’entre eux ne semblent pas en bénéficier. Ensuite, par une analyse multimodale lésion par lésion intégrant angiographie-CT Scan, FDG-PET/CT et scintigraphie aux macro-agrégats d’albumine marqués au 99mTechnetium, nous démontrons que la distribution pré-thérapeutique des macro-agrégats d’albumine est hétérogène entre les différentes lésions des patients et prédictive de la réponse métabolique au sein de ces lésions, permettant le développement d’un outil de prédiction et de planification pour la radio-embolisation.2) Le deuxième projet explore le domaine du CCR métastatique traité par chimiothérapie palliative. (i) Nous démontrons d’abord que la réponse métabolique (RM) tumorale après une cure de chimiothérapie cytolytique prédit plus vite et plus adéquatement que l’imagerie morphologique basée sur les critères RECIST les bénéfices cliniques du traitement. La RM précoce a une excellente valeur prédictive négative sur l’absence de réponse morphologique et met en évidence une variabilité de réponse inter-lésionnelle chez une proportion importante des patients. (ii) L’étude SoMore explore ensuite des patients présentant un CCR avancé et réfractaire, traités par capecitabine et sorafenib, et confirme l’importance pronostique des RM mixtes, suggérant une méthodologie de classification clinique basée sur la consistance de la RM. (iii) Cette classification cherche confirmation dans l’étude RegARd-C, encore en cours, évaluant les effets du regorafenib, et explorant également la signification génomique et épigénétique de la variabilité de RM. 3) Le troisième projet cherche à utiliser les propriétés de l’imagerie métabolique pour modifier l’algorithme de traitement adjuvant des patients porteurs d’un cancer du côlon de stade III. Ce projet, encore en cours, fait l’hypothèse que l’absence de RM de la lésion primitive après une cure de chimiothérapie prédit l’absence de bénéfice du traitement adjuvant complet. Une analyse intérimaire en démontre la faisabilité et confirme la présence de 40% de tumeurs présentant des caractéristiques métaboliques de chimio-résistance.En conclusion, pour des patients porteurs d’un CCR, l’imagerie multimodale comprenant une évaluation du métabolisme tumoral permet une évaluation plus précoce et plus adéquate du bénéfice au traitement anticancéreux pour différentes modalités thérapeutiques comme la radio-embolisation, la chimiothérapie cytotoxique et les agents biologiques. L’imagerie multimodale permet de prédire et planifier les radio-embolisations et se révèle très prometteuse pour les traitements chimiothérapiques cytotoxiques ou combinés à des biologiques en situation adjuvante ou métastatique. Elle démontre par ailleurs une importante variabilité de réponse métabolique inter-lésionnelle qui représente un axe de recherche majeur sur les mécanismes moléculaires d’hétérogénéité génomique tumorale et de résistance aux traitements anti-cancéreux.Doctorat en Sciences médicalesinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe
Le cancer Colorectal: l'avènement des stratégies combinées
info:eu-repo/semantics/publishe
Molecular medicine: are we, clinicians, becoming old-fashioned?
EditorialSCOPUS: ed.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
Of art and science: is personalized medicine getting personal enough?
SCOPUS: ed.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
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