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    Banana-Mycosphaerella fijiensis interactions.

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    En utilisant des procédures de test standard, des génotypes de bananier ont été classés en: 1) cultivars hautement résistants caractérisés par un blocage rapide de l'infection foliaire (interactions incompatibles), 2) cultivars partiellement résistants montrant un développement lent des symptômes (réactions compatibles) et 3) cultivars susceptibles caractérisés par un développement rapide de lésions nécrotiques (réaction compatible). L'essentiel des informations sur les réactions incompatibles provient d'observations de nécrose précoce des cellules de garde des stomates et du dépôt de composés denses en électrons autour des sites de pénétration de M. fijiensis chez le cultivar 'Yangambi 5 km'. La mort aussi rapide d'un petit nombre de cellules hâtes, associée avec le blocage de la progression de l'agent infectieux, est habituellement définie comme une réaction hypersensible. Unetelle réaction se produit souvent dans le cadre d'une relation gène pour gène et, en conséquence, la résistance qui en résulte peut être instable. Pour ce qui concerne les interactions compatibles, les études cytologiques ont montré que M. fijiensis se comporte d'abord comme un parasite biotrophique qui colonise exclusivement les espaces intercellulaires sans formation d'haustoria. Deux mécanismes principaux ont été étudies pour expliquer le développement lent des lésions chez les génotypes partiellement résistants: des composés antifongiques préformés et la tolérance à une(des) toxine(s) putative(s) produite(s) par M. fijiensis. Les mécanismes sont présentés en relation avec leur utilisation possible comme marqueurs lors de criblage précoce pour sélectionner des génotypes de bananiers possédant une résistance durable à M. fijiensis. (Résumé d'auteur

    Timing of surgery following SARS-CoV-2 infection: an international prospective cohort study

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    Peri-operative SARS-CoV-2 infection increases postoperative mortality. The aim of this study was to determine the optimal duration of planned delay before surgery in patients who have had SARS-CoV-2 infection. This international, multicentre, prospective cohort study included patients undergoing elective or emergency surgery during October 2020. Surgical patients with pre-operative SARS-CoV-2 infection were compared with those without previous SARS-CoV-2 infection. The primary outcome measure was 30-day postoperative mortality. Logistic regression models were used to calculate adjusted 30-day mortality rates stratified by time from diagnosis of SARS-CoV-2 infection to surgery. Among 140,231 patients (116 countries), 3127 patients (2.2%) had a pre-operative SARS-CoV-2 diagnosis. Adjusted 30-day mortality in patients without SARS-CoV-2 infection was 1.5% (95%CI 1.4-1.5). In patients with a pre-operative SARS-CoV-2 diagnosis, mortality was increased in patients having surgery within 0-2 weeks, 3-4 weeks and 5-6 weeks of the diagnosis (odds ratio (95%CI) 4.1% (3.3-4.8), 3.9% (2.6-5.1) and 3.6% (2.0-5.2), respectively). Surgery performed >= 7 weeks after SARS-CoV-2 diagnosis was associated with a similar mortality risk to baseline (odds ratio (95%CI) 1.5% (0.9-2.1%)). After a >= 7 week delay in undertaking surgery following SARS-CoV-2 infection, patients with ongoing symptoms had a higher mortality than patients whose symptoms had resolved or who had been asymptomatic (6.0% (95%CI 3.2-8.7) vs. 2.4% (95%CI 1.4-3.4) vs. 1.3% (95%CI 0.6-2.0%), respectively). Where possible, surgery should be delayed for at least 7 weeks following SARS-CoV-2 infection. Patients with ongoing symptoms >= 7 weeks from diagnosis may benefit from further delay

    Effects of pre-operative isolation on postoperative pulmonary complications after elective surgery: an international prospective cohort study

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