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    Fatal Enterovirus-related Myocarditis in a Patient with Devic’s Syndrome Treated with Rituximab

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    Enteroviruses are a frequent source of infection and among the most common central nervous system viral pathogens. Enteroviruses – in particular, the Coxsackie B viruses – are a known cause of myocarditis. Rituximab is a genetically engineered chimeric anti-CD20 monoclonal antibody. Many reports in the literature suggest a higher risk of infection following repeated rituximab therapy, including viral infection. However, observations of enterovirus-related myocarditis in the context of rituximab treatment are scarce. The authors describe the case of a patient with neuromyelitis optica spectrum disorder who developed severe and fatal enterovirus-related myocarditis after rituximab therapy with a difficult differential diagnosis of autoimmune or giant-cell myocarditis. This case highlights the importance of complete diagnostic workup in difficult cases of myocarditis, including endomyocardial biopsies

    Essais thérapeutiques dans la sclérose en plaques (existe-t-il un biais dans la sélection des patients?)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Relations entre la fatigue et les capacités mnésiques dans la sclérose en plaques

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    Contexte: La fatigue, rapportée par 53 à 83% des patients, et les troubles mnésiques, pouvant toucher jusqu à 69% des patients, sont des symptômes fréquents dans la sclérose en plaques (SEP). L humeur, l état cognitif et la fatigue interagissent entre eux rendant parfois une plainte spécifique peu fidèle aux résultats de l évaluation clinique. L objectif principal de notre travail est de vérifier si la plainte d une fatigue dans la SEP peut traduire un déficit des capacités mnésiques. L objectif secondaire est d étudier si la fatigue des patients s accompagne d une plainte mnésique. Méthode: Notre étude prospective a inclus 50 patients atteints de SEP se plaignant de fatigue. L évaluation subjective de leur fatigue, leur fonction mnésique et leur humeur a été réalisée au moyen d auto-questionnaires: la version française de la Fatigue Impact Scale (FIS), le questionnaire d auto-évaluation de la mémoire (QAM) et l inventaire de dépression de Beck (BDI-II). Leurs performances cognitives et mnésiques objectives ont été évaluées par une batterie de tests neuropsychologiques; la BCcog-SEP, comprenant le Selective Reminding Test (SRT) qui apprécie les capacités en mémoire épisodique verbale (MEV). Après avoir préalablement déterminé les facteurs de confusion interférant avec les scores à la FIS, au QAM et au SRT, nous avons étudié les corrélations entre la fatigue subjective, la plainte mnésique et les performances en MEV dans notre population. Résultats: Le score au BDI-II, la prise associée d un traitement psychotrope et/ou antiépileptique, le score EDSS et la forme de SEP sont les facteurs de confusion influençant un ou plusieurs des paramètres étudiés parmi la fatigue subjective, la plainte mnésique et/ou les capacités en MEV. Après ajustement sur ces facteurs de confusion, ni la plainte de fatigue ni la plainte mnésique n est corrélée aux performances au SRT (p>0,05). En revanche, la fatigue subjective est significativement associée à la plainte mnésique (p<0,0001). Conclusion: La plainte d une fatigue dans la SEP doit amener à évaluer l état thymique et rechercher une iatrogénie. Bien qu elle soit, indépendamment des troubles thymiques, corrélée à la plainte mnésique, la plainte de fatigue dans la SEP n apparaît pas être l expression d une altération des fonctions mnésiques.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Sclérose en plaques et maladies inflammatoires chroniques intestinales (quand deux maladies inflammatoires chroniques se rencontrent)

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    Contexte : La sclérose en plaques (SEP) et les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) représentées par la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH) présentent une association épidémiologique et partagent de nombreux points communs physiopathologiques. L'objectif de ce travail est de vérifier si l'évolution clinique d'une SEP chez des patients présentant l'association SEP-MICI est différente de celle des patients n'ayant qu'une SEP isolée. Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude cas-témoin nationale multicentrique. Les patients associant une SEP et une MICI ont été recrutés par les réseaux du GETAID et du CFSEP. Les témoins étaient des patients ayant une SEP isolée issus des bases de données EDMUS des réseaux G-SEP et LORSEP. Les critères d'appariements étaient le sexe, l'âge, la forme clinique de SEP, la date du diagnostic et la durée d'évolution. Le critère de jugement principal était la médiane du dernier score EDSS par rapport à la durée moyenne d'évolution. La comparaison a été réalisée par une régression logistique conditionnelle ajustée sur les potentiels facteurs de confusion. Résultats : Les populations étaient parfaitement comparables et composées de 66 patients SEP-MICI et 251 témoins. Dans la population de patients SEP-MICI, on retrouvait 89,39% de formes initialement RR et 10,61% de formes initialement progressives avec un âge moyen de début de la maladie de 32,24 +- 10,57 ans et une durée moyenne d évolution de 14,21 +- 9,29 années. Les MICI se répartissaient en 34 MC et 32 RCH. L'âge moyen au début de la MICI était de 35,35 +- 12,34 ans. L'EDSS médian toutes formes confondues était à 2.5 [1.5;4.5] pour la population SEP-MICI après 14,21 +- 9,29 années d'évolution et à 3 [2;6] pour la population SEP isolée après 13,86 +- 8,79 années d'évolution (p<0,0001). Pour les formes initialement rémittentes, l'EDSS médian était à 2 [1;4] pour la population SEP-MICI après 14,03 +-9,32 années d'évolution et à 3 [2;5.5] pour la population SEP isolée après 13,95 +-8,92 années d'évolution (p=0,0002). Le taux de passage en forme SP au maximum du suivi était de 22,03% dans le groupe SEP-MICI contre 33,91% dans le groupe SEP isolée (p=0,0006). Conclusion : Indépendamment des immunothérapies utilisées et de la survenue initiale de l'une ou l'autre des 2 pathologies, l'association d'une MICI à une SEP influencerait positivement l'évolution de la SEP.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l'influence d'un traitement immunosuppresseur sur les fonctions cognitives de la sclérose en plaques

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Stratégie d'achats pour le pharmacien d'officine

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    CHATENAY M.-PARIS 11-BU Pharma. (920192101) / SudocSudocFranceF

    How to switch disease-modifying treatments in multiple sclerosis: Guidelines from the French Multiple Sclerosis Society (SFSEP)

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    BACKGROUND: Today, there are no recommendations on switching disease-modifying treatments (DMTs) in multiple sclerosis (MS). OBJECTIVES: To establish guidelines on switching DMTs MS. METHODS: A Steering Committee composed of seven MS experts from the French Group for Recommendations in Multiple Sclerosis (France4MS) defined 15 proposals. These proposals were then submitted to a Rating Group, composed of 48 French MS experts, for evaluation. The proposals were classified as 'appropriate', 'inappropriate' or 'uncertain'. RESULTS: Switching from a first-line therapy to another first-line therapy or a second-line therapy could be done without a washout period. Switching from a second-line therapy to a first-line therapy could be done without a washout period with fingolimod or natalizumab, after 3 months with ocrelizumab or mitoxantrone, and, if disease activity occurs with alemtuzumab or cladribine. The switch from a second-line therapy to another second-line therapy could be done after a washout period of 1 month with fingolimod or natalizumab, after 3 months with ocrelizumab, after 6 months with mitoxantrone, and, if disease activity occurs, with alemtuzumab or cladribine. CONCLUSION: This expert consensus approach provides physicians with some guidelines on optimizing the benefit/risk ratio when switching DMTs in patients with MS
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