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    Invasive mole: a rare cause of postmenopausal bleeding

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    Gestational trophoblastic disease (GTD) describes a number of gynaecological tumours that originate in the trophoblast layer, including hydatidiform mole (complete or partial), placental site trophoblastic tumour, choriocarcinoma and invasive mole. Invasive moles are responsible of most cases of localized gestational trophoblastic neoplasia (GTN). Invasive mole is a condition where a molar pregnancy, such as a partial hydatidiform mole or complete hydatidiform mole, invades the wall of the uterus. It is an extremely rare condition. As GTN is not considered in the differential diagnosis of postmenopausal uterine malignancies, its preoperative diagnosis is challenging. We report a case of invasive hydatidiform mole in a postmenopausal woman discovered in a context of postmenopausal bleeding. She underwent hysterectomy and followed up till her beta hCG levels were within normal limits. The patient is in complete remission in the first postoperative year.

    Effet de l’association du haricot mungo sur le rendement du mil dans le Bassin arachidier, Sénégal

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    Ce numéro est constitué d’articles issus de la seconde édition des Rencontres Francophones sur les Légumineuses (RFL2) qui s’est tenu à Toulouse (France) les 17 et 18 octobre 2018.Agricultural production in Senegal is constrained by rainfall variability, persistent droughts, and low soilfertility. These constraints have decreased pearl millet yield in Senegal. Mungbean, a short-duration andrelatively drought-tolerant grain legume, is capable of improving soil fertility and increasing cropproduction. To investigate the potential of mungbean for increasing millet yield through intercropping,field experiments were conducted during the 2017 growing season in Bambey (Senegal). Intercroppingtreatments (sole millet (T1), sole mungbean (T2), and 23% (T3), 43% (T4), 47% (T5), 62% (T6), 125% (T7)et 164% (T8) of mungbean in sole millet) were laid out in a randomized complete block design andreplicated four times. Studied parameters included millet and mungbean yield parameters and combinedyields, normalized difference vegetation index (NDVI), canopy cover, and land equivalent ratio (LER).Intercropping (millet + mungbean) did not significantly increase millet biomass or grain yield comparedto millet alone. However, grain yield, number of pods and seeds, and plant height of mungbean plantswere significantly higher in T7 and T8 compared to other treatments. Combined yields were alsosignificantly (P ≤ 0.05) higher (up to 56%) under millet – mungbean intercropping. Similarly,intercropping significantly (P ≤ 0.05) increased LER and canopy cover (62%) over millet alone but notNDVI values. Results from this first-year suggest that intercropping with mungbean could sustain milletproduction through diversification of agricultural systems.La production agricole au Sénégal est limitée par la variabilité des précipitations, les sécheressespersistantes et la faible fertilité des sols. Ces contraintes ont contribué à la baisse des rendements dumil au Sénégal. Le haricot mungo, une légumineuse à graines à cycle court et relativement tolérante àla sécheresse, est capable d'améliorer la fertilité du sol et d’augmenter la production agricole. Pourétudier le potentiel du haricot mungo à augmenter le rendement du mil, des essais ont été menéspendant la saison culturale de 2017 à Bambey (Diourbel). Les systèmes d’association (mil seul (T1),haricot mungo seul (T2) et 23% (T3), 43% (T4), 47% (T5), 62% (T6), 125% (T7) et 164% (T8) de haricotmungo en association avec le mil) ont été disposés en blocs complets randomisés et répliqués quatrefois. Les données collectées comprennent les paramètres de rendement du mil et du haricot mungo etle rendement total en grains, l'indice de végétation par différence normalisée (NDVI), le taux decouverture du sol, et le land equivalent ratio (LER). L’association du mil avec le haricot mungo n'a passignificativement augmenté la biomasse et le rendement en grains du mil par rapport au mil seul.Cependant, le rendement en grains, le nombre de gousses et de graines, et la hauteur des plants deharicot mungo ont été significativement plus élevés pour les traitements T7 et T8 par rapport aux autrestraitements. Le rendement total en grains était aussi significativement (P ≤ 0,05) plus élevé (jusqu'à56%) en association. De même, l’association des cultures a entrainé des différences significatives pourle LER et le taux de couverture du sol (62%) mais pas pour les valeurs de NDVI. Les résultats de cettepremière année suggèrent que l'association avec le haricot mungo pourrait soutenir la production de milgrâce à la diversification des systèmes agricoles

    L’hyperthyroïdie de l’enfant au centre hospitalier universitaire de Dakar (Sénégal)

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    Introduction: L'hyperthyroïdie de l'enfant semble rare et constitue un problème de par son retentissement psychosomatique. L’objectif était defaire le point sur ses aspects épidémiologiques et diagnostiques chez l’enfant à Dakar.Méthodes: Il s'agissait d'une étude multicentrique, descriptive sur 15 ans. Etaient analysés les aspects épidémiologiques, cliniques et étiologiques. Résultats: 239 patients sélectionnés avec une prévalence de 2.4%, un sex ratio (H/F) de 0.36, un âge moyen de 10.8 ans. À l'inclusion, il s'agissait d'un ainé de famille (26.3%), d'une croissance avancée (36.9%), retardée (12.5%), d'une corpulence insuffisante (40.1%). L'étiologie était la maladie de Basedow dans 90.3% avec un facteur psychoaffectif dans 22.1%. Sur le plan clinique, prédominaient la tachycardie (92.4%), le goitre (91.1%), l'exophtalmie (81.8%), l'amaigrissement (69.8%) avec cependant une énurésie (30.2%) et des manifestations psychiques (3.1%). Les manifestations cardiovasculaires et cutanées étaient positivement associées avec l'âge (p < 0.05). Le goitre était associé au sexe féminin (p = 0.005), aux signes cardiovasculaires (p = 0.02), neuropsychiques (p = 0.03), cutanées (p = 0.03) et à la diarrhée (p = 0.03). La T4 libre était corrélée à l'âge (p = 0.007), la diarrhée (p = 0.021), l'anxiété (p = 0.024), la fréquence cardiaque (p = 0.00) et la maladie de Basedow (p = 0.04). Plus le goitre était volumineux, plus était augmentée la T4 libre (p = 0.007). Conclusion: L'hyperthyroïdie de l'enfant se différencie de celle de l'adulte par les facteurs d'induction, les perturbations sur la croissance et l'énurésie. L’âge et le sexe semble favoriser le tableau clinique de thyrotoxicose et les signes associés.Mots clés: Hyperthyroïdie, enfant, Sénéga
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