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    Agricultural raw materials for food and feed: the world

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    Agricultural products grown and used around the world traditionally serve to feed humans and animals and they are also used for non-food uses. Given the importance of the debate on complementarity/competition between humans and animals all plant and animal products are expressed in proteins. This article analyzes successively the world production of vegetable proteins, the distribution of their uses as unprocessed products and products and co-products from the agricultural and food industries, the distribution of consumption by large animal species, the structural evolutions in terms of consumption, the growing weight of the "maize/soybean system", the aspects of competition and/or complementarity between human and animal uses and finally the aspects linked to the increasing instability of soybean and maize prices and the regulation of these markets. The world production of vegetable proteins (about 800 million tons), is used for about 630 million in feeds (400 of fodder, 230 of concentrates, used in this state like cereals, and mainly co-products of agro-industrial industries like oilseed meals, of which more than 80 are from soybean alone) and allows production of about 68 million tons of animal protein. The compound feed industry has grown considerably and currently accounts for two-thirds of the concentrates used by all animals but only 18 % of total amounts including forages included. In recent decades a model of corn/soy animal feeding has developed strongly throughout the world, but to a lesser extent in Europe. Soybean prices, like those of other major agricultural commodities such as cereals, have increased steeply in recent decades and are becoming more volatile, but the soybean/corn price ratio has remained very stable over a long period, which tends to contradict the idea of a growing shortage on the protein market

    Problème de protéines et extensification

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    Alors que l'alimentation des monogastriques et des vaches laitières dans l'Union européenne recourt à des quantités croissantes de matières riches en protéines du fait de l'intensification de ces élevages, les productions européennes de protéagineux et oléagineux sont globalement en recul, notamment du fait de l'Agenda 2000. Cette situation de dépendance par rapport au tourteau de soja d'importation a, par ailleurs, été aggravée par l'interdiction des farines animales. D'autres formes d'élevage et d'alimentation des animaux, plus extensives, permettraient de mieux valoriser les ressources locales, qu'il s'agisse des fourrages ou des protéines communautaires

    L'Afrique dans le marché mondial des huiles

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    Dans cette présentation générale, malgré les incertitudes statistiques, l'auteur a essayé d'apporter un certain nombre d'informations et données globales sur la position de l'Afrique dans le marché mondial des corps gras en terme de production, de consommation et d'échanges, sachant que des analyses plus détaillées seront apportées dans les autres articles sur les principaux produits, et les principaux pays. Après une analyse de la situation actuelle globale du continent africain, la situation des trois principales zones, l'Afrique du Nord, l'Afrique du Sud et l'Afrique sub-saharienne est plus particulièrement étudiée. Les grandes caractéristiques de l'évolution du marché des huiles au cours des trente dernières années sont détaillées

    Les utilisations françaises de céréales en alimentation animale : analyse de l'intraconsommation à partir des bilans nationaux, régionaux et des données du RICA

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    Le présent document à été réalisé, à la demande de la DPE du Ministère de l'Agriculture, en collaboration avec le CEREOPA et s'inscrit dans le cadre de la réflexion sur les possibilités et les modalités de mise en place d'un Observatoire sur les Stratégies Alimentaires des Élevages. La connaissance de la répartition des utilisations de · céréales par espèce animale présenterait un grand intérêt, que l'on se situe au niveau de l'analyse des débouchés des céréales ( conditions de la reconquête du marché intérieur en réponse à la baisse des prix de ces produits incluse dans la réforme de la P AC) ou de la modification des systèmes d'alimentation des animaux (influence des nouvelles mesures concernant la gestion des produits animaux et en particulier des primes versées aux éleveurs)

    L'enjeu des protéagineux, pour que l'Europe reste maître de ses décisions

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    L'Union européenne doit garder une filière oléoprotéagineuse significative, si elle veut rester maître de ses décisions et de ce qu'elle consomme. Sur la scène mondiale, l'Union européenne est le troisième triturateur, le premier consommateur et également le premier importateur de tourteaux, le deuxième consommateur d'huiles végétales, et le sixième producteur et premier importateur de graines oléagineuses. "Mais c'est un géant aux pieds d'argile", car les industries et la consommation reposent sur une production locale de graines qui reste modeste et vulnérable

    L'alimentation animale dans la Communauté européenne : structures industrielles et approvisionnement en matières premières. Le Danemark

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    L'industrie danoise des aliments composés représente à l'échelle de la CEE un tonnage relativement faible et stable depuis une douzaine d'années. Elle est très concentrée, répartie presque également entre coopératives et firmes privées et nettement dominée par deux entreprises, ayant une activité générale d'agro-fourniture, qui appartiennent à chacun de ces secteurs. Cette industrie dont la production est pour une bonne part destinée aux porcins a développé une forme originale d'activité en se positionnant en complément de la production d'aliments à la ferme réalisée par des éleveurs à partir de leurs propres céréales. Le Danemark est en effet un des pays de la CEE où la part des céréales en alimentation animale est la plus élevée. Pour approvisionner leurs usines qui, en l'absence de grands ports internationaux, sont implantées sur toute la périphérie du pays, les grandes firmes ont une importante activité de négoce en matières riches en protéines, mais l'utilisation des produits de substitution des céréales reste tout à fait marginale

    ECONOMIE Les marchés oléagineux de l’Europe dans le contexte international

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    L’Union européenne est un acteur important du marché international des oléagineux. Ses besoins en protéines et en huiles végétales sont extrêmement élevés. Bien que, entre 1980 et 1994, cette zone ait sensiblement augmenté ses surfaces en oléagineux, elle reste un producteur mondial modeste et doit importer de pays tiers l’essentiel de ses besoins en graines, tourteaux et huiles. L’Amérique du Nord et celle du Sud constituent ses principaux fournisseurs, de même que certains pays asiatiques comme la Malaisie ou l’Indonésie, mais les échanges à l’intérieur de l’UE et avec les PECOS se sont nettement développés. Le faible taux de couverture de l’Europe, particulièrement en tourteaux, rend cette zone très vulnérable aux aléas du marché mondial et aux décisions qui peuvent être prises à l’étranger et tout particulièrement aux États-Unis. Alors que la mise en place de l’Agenda 2000, caractérisée par un net recul des surface dès la première année d’application, pose de nouveaux problèmes de compétitivité à ces cultures dans un contexte de faibles prix mondiaux, le maintien de cette filière demeure un bien collectif pour les différents acteurs : consommateurs, agriculteurs, transformateurs et citoyens

    L'alimentation animale dans la Communauté européenne : structures industrielles et approvisionnement en matières premières. Les Pays-Bas

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    Le développement de la concurrence entre matières premières et le recours à des gammes élargies de produits d'importation sont des phénomènes qui tendent à se généraliser dans la Communauté Européenne. Mais le rythme des substitutions a été très variable d'un bout à l'autre de la Communauté et les situations sont, aujourd'hui encore, extrêmement disparates.Ces disparités peuvent s'expliquer parce que les entreprises et les industries ont leurs propres spécificités sur le plan organisationnel, technique.... De ce fait, elles ont des attitudes diverses lorsqu'elles sont confrontées au changement et elles ont réagi de manière très différente face aux évolutions des marchés de matières premières.C'est en utilisant cette approche qu'une équipe du Département d’Économie et Sociologie Rurales de l'INRA a entrepris d'analyser les systèmes de production d'aliments composés et leur approvisionnement dans les "principaux" pays européens.Le présent document est consacré au système néerlandais

    Les turbulences des marchés européens des protéines pour l'alimentation animale

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    Les marchés des oléagineux dans l'Union européenne sont complexes. Répartis dans six principaux pays, ils sont constitués de flux importants de graines, de tourteaux et d'huiles, entre pays membres et, de plus en plus, avec les PECOs (pays d'Europe centrale et orientale). Aujourd'hui avec l'Agenda 2000, le secteur des oléagineux, comme celui des protéagineux, se trouve confronté à un nouveau défi : ces cultures subissent le principe du découplage, alors que précisément tout leur développement antérieur avait été basé sur l'idée d'une certaine spécificité du problème "protéine" de l'Union européenne. Une filière oléoprotéagineuse puissante serait un "bien public" pour tous dans l'Union européenne. Le marché actuel n'étant pas capable de la conforter, c'est au pouvoir public, à la recherche, au développement et aux différents acteurs économiques qu'il appartient de soutenir spécifiquement ce secteur
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