8 research outputs found

    Irony in offred’s tale

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    In answer to questions, such as “How come you’re such a pessimist ?” and “Why don’t you have happier endings ?” Atwood answers indirectly, “Because I’m writing in the ironic mode” (1982 :406). Irony is what characterizes the tone and texture of The Handmaid’s Tale. As a dystopia, it is, by definition, ironic in nature, for, like all dystopias, it is “an ironic social vision” (Frye 1990 :309) whose opposite is an already mentioned social norm. On the lower level is a vision of fulfilled second..

    Characterizing the Narrator: Narratee as Alter Ego

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    Just as the author of a fictional work must be differentiated from the narrator, so the narratee must be differentiated from the reader, and even from the model reader, especially in the case of first and second person narrative fiction. Readers are those whose eyes Scan the lines of the pages of a written text. Clearly, there is no way that the narrator in a fictive novel, an inexistent character such as Offred, could have known this flesh-and-blood human being holding the volume being read,..

    Lire Margaret Atwood

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    Ce recueil bilingue consacré à l'écrivain canadien Margaret Atwood, reconnue comme l'une des figures dominantes de la littérature d'expression anglaise, contient l'intervention qu'elle a prononcée à Rennes en novembre 1998 sur son roman The Handmaid's Tale (La Servante écarlate) et sur le genre auquel il appartient. Le roman, inscrit aux programmes 1999 du CAPES et de l'agrégation d'anglais, a été l'un des plus grands succès littéraires des années 80 aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne. Utopie, dystopie, satire, ou fiction spéculative, ce texte au scénario terrifiant s'inscrit à l'intérieur du courant postmoderne. Cet ouvrage rassemble des études du roman qui ont été présentées en décembre 1998 au colloque Margaret Atwood organisé par le Centre d'études canadiennes de Rennes. Les auteurs analysent le texte sous différents éclairages : ils explorent les rapports entre littérature et société, politique et poétique, langage et organisation de la cité, et examinent les stratégies de détournement mises en œuvre.This bilingual collection devoted to Canadian writer Margaret Atwood, one of the best-known figures in the field of English language literature, contains the address that she pronounced in Rennes in November 1998 on her novel The Handmaid's Tale – one of the greatest literary successes of the 80s in the United States, Canada, and Great Britain – as well as on the genre to which it belongs. Whether it be a utopia, dystopia, satire, or else speculative fiction, the text with its terrifying scenario belongs to the postmodernist movement. This volume brings together studies of the novel that were presented in December 1998 at the Margaret Atwood Conférence organised by the Centre d'études canadiennes of Rennes. The authors analyse the work from différent perspectives – they explore the relationship between literature and society, politics and poetics, communication and community, and they study the stratégies of resistance and displacement set up by the writer

    Margaret Atwood

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    Ce recueil rassemble des textes sur The Handmaid’s Tale, le roman de Margaret Atwood inscrit aux programmes 1999 du CAPES et de l’Agrégation d’anglais, sous la plume des meilleurs spécialistes de la littérature canadienne d’expression anglaise, qu’ils soient en Angleterre, en Australie, au Canada ou en France. Le fil rouge de cet ouvrage est d'analyser les jeux de pouvoir, qu'il s'agisse du pouvoir politique des oppresseurs dans des régimes totalitaires, des théocraties ou des dictatures, ou du pouvoir machiste dans un monde dominé par les hommes et où le corps féminin est aussi enjeu de pouvoir. Certes l'exploitation de la femme, sa démarche de libération, l'écriture du corps tiennent une place centrale dans le roman. Mais c'est plutôt des stratégies narratives et du pouvoir subversif de l'écriture dont nous avons voulu parler. Ainsi les liens entre narratrice et lecteur/lectrice, entre réalité et fiction ont pour principale valeur d'être stratégie de libération. Le jeu des affirmations déconstruites, niées puis reconstruites exprime le combat pour la survie, contre le désarroi et l'oppression. Le seul parcours établi par le texte est bien celui de la démarche de résistance et de libération dans le jeu du pouvoir grâce à la puissance du verbe. La lutte pour le pouvoir a pour corollaires obligés la lutte contre la violence et le combat pour la liberté
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