19 research outputs found

    Histoire des sociétés européennes, XIXe-XXe siècles. Liens, réseaux, configurations

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    Maurizio Gribaudi, Hervé Le Bras (*), directeurs d’étudesLuciano Boi, maître de conférencesPatrice Ceccarini, professeur à l’ENSA Paris-Val de SeineSara Franceschelli, maître de conférences à l’ENS-Lyon Morphologie : des sciences sociales aux sciences du vivant et à l’architecture À l’intersection des sciences sociales, de la biologie, des mathématiques, de l’histoire et de l’architecture, le séminaire a continué à recevoir des chercheurs de ces disciplines dans l’intention de constituer un c..

    Histoire des sociétés européennes, XIXe-XXe siècles. Liens, réseaux, configurations

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    Maurizio Gribaudi, Herve Le Bras, directeur d’étudesLuciano Boi, maitre de conférencesPatrice Ceccarini, architecte Morphologies : des sciences sociales à l’architecture et aux sciences du vivant La morphologie n’est ni une science particulière, ni un savoir local, mais un mode d’approche général que l’on retrouve dans presque toutes les disciplines. Très grossièrement, elle part de la supposition que le tout est plus que la somme de ses parties, non pas qu’une essence ou une substance mystér..

    Morphologies

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    Séminaire commun avec la participation de : Olivier Abel, Luciano Boi, Jean-Claude Bonne, Marion Carel, Giovanni Careri, Enrico Castelli Gattinara, Patrice Ceccarini, Danièle Cohn, Georges Didi-Huberman, Fernando Gil, Maurizio Gribaudi, Ryozo Hiyama, Bernard Jaulin, Gérard Jorland, Farhad Khosrokhavar, Hervé Le Bras, Giovanni Levi, Sabina Loriga, Silvia Mancini, Jean Petitot, Pierre Rosenstiehl, Carlo Severi, Wiktor Stoczkowski, Lorraine Verner Compte rendu non communiqué

    Morphologies

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    Séminaire commun avec la participation de : Olivier Abel, Luciano Boi, Jean-Claude Bonne, Marion Carel, Giovanni Careri, Enrico Castelli Gattinara, Patrice Ceccarini, Ryozo Hiyama, Georges Didi-Huberman, Maurizio Gribaudi, Bernard Jaulin, Gérard Jorland, Farhad Khosrokhavar, Hervé Le Bras, Giovanni Levi, Sabina Loriga, Silvia Mancini, Zacarías Moutoukias, Jean Petitot, Pierre Rosenstiehl, Carlo Severi, Irène Tamba, Lorraine Verner, Wiktor Stoczkowski Compte rendu non communiqué

    Morphologies

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    Séminaire commun avec la participation d’Olivier Abel, Luciano Boi, Jean-Claude Bonne, Marion Carel, Giovanni Careri, Enrico Castelli Gattinara, Patrice Ceccarini, Danièle Cohn, Ryozo Hiyama, Georges Didi-Huberman, Fernando Gil, Maurizio Gribaudi, Bernard Jaulin, Farhad Khosrokhavar, Hervé Le Bras, Giovanni Levi, Sabina Loriga, Silvia Mancini, Zacarias Moutoukias, Jean Petitot, Pierre Rosenstiehl, Carlo Severi, Lorraine Verner, Wiktor Stoczkowski Voici, les différents sujets abordés et discut..

    Fluides, affordances et profilage architectural

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    […] les choses n’existent pas et il n’est rien qui ne dure ni ne demeure, seulement un flux de changements. Friedrich Nietzche, La Volonté de puissance Mise en jeu Fluidité, écoulement, flux, confusion, turbulence, vortex, troubles, mouvements chaotiques : convoquées par la mécanique et la dynamique des fluides, mais encore par la thermodynamique et les sciences contemporaines de la matière, ces notions physiques essentielles dans leur domaine, paraissent hanter la discipline ..

    Un modèle expérimental : la cathédrale gothique comme génétique de l’univers

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    Qu’est-ce qu’une cathédrale gothique ? Pourquoi les édifices gothiques et les artefacts associés (orfèvrerie, habillement, sculptures, peintures, etc.), les formes d’organisations et les pratiques sont-ils si caractéristiques dans le panorama des arts mondiaux ? Comment ces formes exceptionnelles produites par l’Occident latin entre le XIIe et le XVIe siècle sont-elles apparues ? Répondre à ce faisceau de questions problématiques suppose une capacité de synthèse notable. Pourtant, la question..

    Qu’est-ce que l’architecture gothique ?

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    « Qu’est-ce que l’architecture gothique ? » Les essais rassemblés dans ce volume offrent des réponses inédites à cette question. Le singulier employé pour la formuler est volontaire. Il n’occulte pas la réalité d’une multiplicité d’architectures gothiques résultant de la longévité de son expression (xiie-xvie s.), de la mutation constante des formes et des techniques comme de la disparité des foyers culturels, des milieux géographiques, des structures sociales et des rythmes historiques. Au contraire, l’ambition de la question ainsi formulée est celle du croisement. En sollicitant, pour y répondre, un panel de spécialistes investiguant les gothiques des quatre pôles du domaine européen, il s’agit de permettre aux lecteurs d’identifier les lieux communs et de laisser apparaître les permanences gothiques à travers les âges et les milieux. Ce volume propose ainsi des interprétations, soulève des hypothèses et suggère de nouvelles visions.What is Gothic architecture? The nine essays in this book offer an unprecedented answer to this question

    Frontiere digitali. Digital borders

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    La crescente pervasività della dimensione digitale, ormai evidente a ogni livello di azione della società, si manifesta nella cultura del progetto architettonico in forme sempre più rilevanti e diversificate: come luogo non solo di sperimentazione formale, di riflessione metodologica, di ridefinizione del rapporto tra produzione e costruzione, ma di rifondazione del pensiero stesso del progetto in rapporto con la società e la natura. La questione si pone aperta e offre l’opportunità di riflessioni critiche che possono beneficiare di uno sguardo in prospettiva, come intende proporre questo numero di Metamorfosi. Se col “digitale” ci si riferisce al mondo rappresentato con i numeri (letteralmente “contato con le dita”) si può dire che l’architettura è sempre stata digitale, perché la matematica è insita nel suo modo di misurare gli spazi, di calcolare le strutture, di programmare il cantiere. Ma se a “digitale” si contrappone “analogico”, vale a dire ciò che non è misurabile o non analizzabile all’interno di un sistema discreto di elementi, si può dire che l’architettura non può che essere analogica perché configura una concezione mentale complessa e sintetica, un portato dell’intuizione intriso di storia, un afflato a comprendere una società conflittuale di individui diversi da far convergere in una comunità d’intenti grazie alla forza della simbologia, del fantastico, per trovare intese magari provvisorie ma talvolta di eccezionale valore, tali da far mutare intenzioni, prospettive e comportamenti epocali: in quelle occasioni l’architettura coincide con un sistema artistico. Ma se l’analogia immisurabile è stato per molto tempo vanto dell’eccezionale, della poetica, del linguaggio inteso come espressione personalizzata, il digitale offre nuove formule comprensibili ad una vastissima pluralità di persone e di culture.The growing pervasiveness of the digital dimension, now evident at every level of society's actions, manifests itself in the culture of architectural design in increasingly relevant and diversified forms: as a place not only for formal experimentation, methodological reflection, and redefining the relationship between production and construction, but of the re-foundation of the very thought of a project in relation to society and nature. This opens a question and offers the opportunity for critical reflections that may benefit from a perspective view, as this issue of Metamorfosi intends to propose

    L’Impressionnisme, les arts, la fluidité

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    La « subtile fluidité contemporaine » célébrée par Mallarmé, défenseur et critique perspicace de la mouvance impressionniste, est devenue aussi bien un objet central de réflexion pour la philosophie contemporaine qu'une caractéristique déterminante de la modernité artistique. Déjà associée aux productions de Watteau, Boucher ou Fragonard au XVIIIe siècle, la fluidité l'est aussi à celles de Turner, Hugo, et plus encore à Monet : le « Raphaël de l'eau » (Antonin Proust) dont la « prodigieuse fluidité » (Ernest Chesnau) sera louée des origines du mouvement impressionniste jusqu'aux Nymphéas, décrites comme « un échange d'impondérables à travers des fluides » (Louis Gillet). Ce qui est à la fois un thème, une catégorie technique et stylistique, un concept esthétique déterminant pour l'impressionnisme et, plus largement, pour la culture moderne et contemporaine, est ici étudié grâce au concours d'historiens de l'art, de philosophes, de musicologues et de spécialistes de la littérature, de la photographie et du cinéma
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