8 research outputs found

    ECHO octroie ses financements, non pas en fonction de ses partenaires mais des besoins sur le terrain

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    Revue Humanitaire : Dans la lignée de la Déclaration de Paris de 2005 et du rapport de l’OMS de 2010, on perçoit une tendance de fond où les financements internationaux en faveur des projets céderaient le pas à ceux versés aux États mettant en place des plans d’amélioration de la santé. Si cette tendance se confirmait, quel impact faudrait-il en attendre pour les ONG européennes sachant que, par ailleurs, ECHO pourrait financer directement des opérateurs dans les pays du Sud ? Quelles seraien..

    L'accord du participe passé

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    Les fascicules de cette collection, rédigés conjointement par des chercheurs et des usagers français, suisses, belges et québécois, offrent une nouvelle approche de la réforme de l’orthographe française. Chacun d’eux est consacré à un point particulier, reconnu comme source d’erreurs fréquentes, et donne lieu à une règle générale, fondée sur des études approfondies mais exprimée en termes simples afin d’être facilement mémorisée.Le participe passé conjugué avec avoir et être est tantôt invariable et tantôt accordé, tantôt avec le sujet et tantôt avec le complément d’objet direct. Il en résulte une trentaine de règles, exceptions et exceptions d’exceptions qui en font le point le plus délicat de la grammaire française. Et aussi le point le plus souvent mis en avant par les commissions de réforme successives du ministre de l’Instruction publique, puis du ministre de l’Éducation nationale, depuis la fin du XIXe siècle. La présente étude reprend le dossier sur des bases entièrement nouvelles en partant de trois grands principes : (1) Non pas affaiblir mais renforcer le système orthographique en réduisant le nombre d’exceptions ; (2) Établir une hiérarchie des règles à partir de «règles premières» ; (3) Distinguer la syntaxe de la sémantique et en cas de conflit entre elles, accorder la priorité à la syntaxe. À l’arrivée, deux règles simples et sans exceptions

    L'accord du participe passé

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    Les fascicules de cette collection, rédigés conjointement par des chercheurs et des usagers français, suisses, belges et québécois, offrent une nouvelle approche de la réforme de l’orthographe française. Chacun d’eux est consacré à un point particulier, reconnu comme source d’erreurs fréquentes, et donne lieu à une règle générale, fondée sur des études approfondies mais exprimée en termes simples afin d’être facilement mémorisée.Le participe passé conjugué avec avoir et être est tantôt invariable et tantôt accordé, tantôt avec le sujet et tantôt avec le complément d’objet direct. Il en résulte une trentaine de règles, exceptions et exceptions d’exceptions qui en font le point le plus délicat de la grammaire française. Et aussi le point le plus souvent mis en avant par les commissions de réforme successives du ministre de l’Instruction publique, puis du ministre de l’Éducation nationale, depuis la fin du XIXe siècle. La présente étude reprend le dossier sur des bases entièrement nouvelles en partant de trois grands principes : (1) Non pas affaiblir mais renforcer le système orthographique en réduisant le nombre d’exceptions ; (2) Établir une hiérarchie des règles à partir de «règles premières» ; (3) Distinguer la syntaxe de la sémantique et en cas de conflit entre elles, accorder la priorité à la syntaxe. À l’arrivée, deux règles simples et sans exceptions

    Invariants et variabilités dans les sciences cognitives

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    « Comme toutes les sciences, les sciences cognitives sont confrontées à la variabilité des phénomènes qu'elles étudient, et cherchent à dégager de cette variabilité un ensemble de régularités, d'invariants, sur lesquels ancrer les connaissances. Cette quête d'invariance implique des choix quant aux formes de variabilité à prendre en considération. Certaines, jugées pertinentes pour l'objet d'étude, sont utilisées ou manipulées pour en extraire des invariants, tandis que d'autres, jugées sans importance, sont négligées ou neutralisées. Concernant ces choix, les opinions et les pratiques sont changeantes selon les époques, l'état d'avancement des disciplines ou les courants théoriques au sein d'une même discipline. Des formes de variabilité ignorées à une époque peuvent devenir intéressantes un peu plus tard. Il semble précisément que nous soyons à une époque où le regard porté sur la variabilité évolue, notamment dans les sciences cognitives. La recherche d'universaux a souvent conduit à centrer l'analyse sur les tendances moyennes et à attribuer la variabilité observée autour de ces tendances aux erreurs de mesure ou à des bruits parasites sans grande importance. Or, dans beaucoup de disciplines concernées par la cognition, le rôle reconnu à la variabilité dans les mécanismes adaptatifs et, plus particulièrement, dans les processus d'auto-organisation, conduit à reconsidérer son statut. Cette évolution des idées suscite un regain d'intérêt pour l'étude des différentes formes de variabilité - intra-individuelle, interindividuelle, intergroupes, inter-langues, interculturelles, etc. - et conduit souvent à questionner, repenser, les invariants dans le domaine de la cognition. La recherche de nouvelles formes d'articulation entre les variabilités et les invariants apparaît donc comme un des thèmes émergents autour desquels peuvent se nouer - entre les sciences cognitives - des échanges fructueux aux plans épistémologique, théorique et méthodologique.
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