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A Framework for Assessing the Rationality of Judgments in Carcinogenicity Hazard Identification
Arguing that guidelines for identifying carcinogens now lack a philosophically rigorous framework, the authors present an alternative that draws clear attention to the process of reasoning towards judgments of carcinogenicity
NASTRAN general purpose interface requirements document
This NASTRAN (NASA STRuctural ANalysis) General Purpose Interface Requirements Document (IRD) defines standards for deliverables required of New Capability Contractors (NCCs) and relates these deliverables to the software development cycle. It also defines standards to be followed by NCCs for adding to and modifying the code in the NASTRAN software system and for adding to and modifying the four official NASTRAN manuals: The NASTRAN Theoretical Manual, the NASTRAN User's Manual, The NASTRAN Programmer's Manual, and The NASTRAN Demonstration Problem Manual. It is intended that this General Purpose IRD shall be incorporated by reference in all contracts for a new NASTRAN capability
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The Development Of Small Craft-Based Businesses In Scotland
As it had been found that there was little authoritative published evidence regarding the crafts in Scotland, this research programme was initiated in 1975 to rectify that situation.
The subjects were broadly defined as being self-employed, engaged in all aspects of the craft business and within the range of skills and creativity which combine to form the commonly accepted basis of a craft.
Within the overall objective, emphasis was placed on the identification of the craftsmen and craft businesses, of the influences upon them and on the general trends. From the combined results it was anticipated that development potential might be assessed.
The co-operation of bodies such as the Scottish Development Agency was sought and received, providing invaluable source material, and leading to the development of an index of craft businesses. That index, up-dated annually throughout the four-year period of research, was the basis for analysis of elements such as the movements in craft population, physical distribution and the numerical strengths of the individual crafts. Such analysis established a clear relationship between the location of craft businesses and population density, found the largest craft groups to be ceramics, silversmithing and jewellery and weaving, and identified an increase in the craft business population between 1975 and 1977 and a decrease in 1978.
A pilot survey in 1976 confirmed the feasibility of a survey which was conducted in 1977. The survey results established the importance of these businesses in terms of employment and contribution, and identified the strong characteristics of independence and personal association with the craft on the part of the proprietors. The principal influences externally were found to be those exerted by market forces, the attitudes adopted by the retail trade, the policies adopted by government agencies responsible for the crafts, and internally by the background training, experience and motivation of the proprietor. It was found, despite the rich variety of backgrounds and the lack of training and experience of many, that there were insufficient features which could adequately distinguish the performance potential in a business at this point in time.
The strategy being adopted by the Scottish Development Agency, as one of the principal planners and administrators for the crafts, of directing assistance towards entrants with assessable levels of training and of exerting pressure towards improved standards, was noted.
It was therefore concluded that an alternative staged strategy should be adopted - of improving basic knowledge of factors such as the reasons for failure in business; of providing a broad base of assistance in the initial stages of a business with more specialised and appropriate assistance being made available as the business develops according to the capability and motivation of the proprietor
Trade Union Power and the Process of Economic Development : The Kenyan Example
Tous les gouvernements imposent des restrictions à l'activité des syndicats, mais le degré et la forme en varient d'un pays à l'autre. Un facteur qu'on considère de première importance dans la détermination de ces restrictions repose sur l'étendue du développement économique du pays en cause. Certains soutiennent qu'un mouvement syndical fort est de nature à retarder le progrès des nations en voie de développement ; d'autres estiment que les syndicats peuvent contribuer à la formation d'une main-d'oeuvre stable et efficace. Toutefois, même les tenants de ce dernier point de vue ne rejettent pas toute restriction.Le but du présent article est d'analyser les différentes attitudes que peuvent adopter les gouvernements et les centrales syndicales en regard de cette question et les auteurs, pour y arriver, se sont penchés sur les rapports qui existent entre l'État et le syndicalisme dans un pays africain, le Kenya. Ils ont voulu voir comment le gouvernement de ce pays a cherché à réconcilier ses objectifs de développement économique avec la concession aux syndicats du droit de grève, du droit de négociation collective et du droit d'association. Le Kenya se prêtait d'autant mieux à cette étude que le mouvement syndical y est bien implanté et qu'on y fait de grands efforts pour développer aussi rapidement que possible un secteur industriel moderne. Longtemps colonie britannique, indépendant depuis au-delà de dix ans, le Kenya est aussi politiquement stable.Dans tout État, il s'établit des rapports étroits entre le gouvernement et le mouvement syndical et, dans une large mesure, la nature de ces relations dépendde l'intensité de l'opposition aux politiques gouvernementales. Dans les pays en voie de développement, les syndicats, face à l'État, peuvent adopter trois attitudes : devenir simplement les instruments du gouvernement, s'unir à l'opposition pour combattre le parti au pouvoir, accepter la voie du compromis qui se traduit en pratique par le contrôle des salaires et une législation plus ou moins contraignante. En réalité, la situation oscille entre deux pôles : pour l'État, permettre un certain degré de syndicalisme efficace et sacrifier la croissance économique ou supprimer toute vie démocratique et pousser au maximum le développement de l'industrie ; pour le mouvement syndical : en venir à disparaître à plus ou moins long terme ou tomber entre les mains de groupesradicalisés.Comme la plupart des pays en voie de développement étaient autrefois des colonies, au moment de l'indépendance nationale les gouvernements ont hérité d'une assise industrielle et d'un certain nombre d'institutions déjà établies. On ne peut pas balayer tout cela sans danger. Comment agir alors ? Au Kenya, syndicats et gouvernements ont choisi de s'engager dans la voie du compromis. En acceptant de travailler selon cette formule, les syndicats ont réussi parfois à obtenir certains avantages qui ont favorisé le recrutement des membres.Au Kenya, les syndicats n'ont été reconnus qu'à partir de 1943. Auparavant, la législation était de caractère essentiellement restrictif de telle sorte qu'il n'existait aucun mouvement syndical. Après la guerre, le gouvernement britannique a manifesté un peu d'intérêt pour les problèmes de travailleurs africains tout en s'efforçant de limiter l'activité des syndicats aux questions sociales et économiques. C'était l'époque où le mouvement de l'idée d'indépendance commençait à se répandre et, au cours de cette période, il est devenu difficile de différencier l'activité économique des syndicats de leur combat en faveur de la libération. Dans bien des cas, les chefs du mouvement syndical et du mouvement d'indépendance se concentraient dans les mêmes personnes. Pour contrecarrer l'action des syndicats, le gouvernement colonial favorisa l'établissement de comités de travailleurs, institua un mécanisme de fixation des salaires, s'efforça de contrôler l'activité interne des syndicats et généralisa l'arbitrage obligatoire des conflits.Peu avant l'accession à l'indépendance, un gouvernement de coalition fut formé au sein duquel le Secrétaire général de la Fédération du travail du Kenya devint ministre du travail. Celui-ci institua un comité tripartite qui mit au point une charte industrielle par laquelle les employeurs s'engageaient à reconnaître les syndicats et à négocier collectivement et les syndicats, à diminuer le nombre des conflits du travail.À l'indépendance, comme les conflits étaient surtout attribuables à la rivalité entre les deux centrales syndicales existantes, le gouvernement fusionna les deux organisations et défendit aux syndicats de s'affilier aux mouvements syndicaux étrangers. Les statuts de la nouvelle centrale furent rédigés par le Procureur général du pays et imposèrent la surveillance du gouvernement sur ses affaires internes. À cette époque, la centrale et ses dirigeants prêtèrent allégeance au gouvernement et accordèrent leur appui au parti au pouvoir. Depuis lors, les syndicats se sont développés, mais on ne peut pas en dire autant de la centrale elle-même. Les syndicats,qui sont au nombre de trente, conduisent leurs propres affaires. Ils remplissent la triple fonction de recruter des membres, de négocier collectivement et de régler les griefs. D'une façon générale, le pouvoir au sein de chaque syndicat est centralisé entre les mains du secrétaire général, qui est habituellement élu pour cinq ans. Les syndicats comptent beaucoup de membres inscrits mais beaucoup moins de membres cotisants de telle sorte que la plupart des secrétaires généraux se plaignent que leur situation financière est faible.Les auteurs, après avoir analysé la législation du travail actuelle et examiné le dossier des grèves, font porter leurs observations sur les trois choix cités au début : devenir les instruments du gouvernement, combattre les politiques gouvernementales ou accepter une politique des salaires et d'autres contraintes.Le premier choix entraîne un déclin de l'indépendance politique et économique des syndicats et le deuxième exige une force dont ils ne disposent pas encore dans les pays en voie de développement. En se portant sur le troisième choix, un mouvement syndical peut survivre et accroître graduellement sa puissance jusqu'à ce que les conditions politiques et économiques lui permettent de montrer plus d'indépendance. Au Kenya, le mouvement syndical s'est engagé dans cette troisième voie et, de l'expérience qui s'en dégage, on peut déduire que les restrictions imposées aux syndicats visaient à stabiliser l'économie, à attirer les capitaux étrangers, à maximiser les objectifs de développement recherchés par l'État et à minimiser l'engagement politique des syndicats. Ce sont les raisons fondamentales pour lesquelles le gouvernement a voulu exercer une influence constante sur les affaires internes du mouvement syndical, notamment en se donnant le pouvoir de désigner lui-même ses principaux dirigeants et d'imposer la présence d'un représentant du gouvernement au consetil exécutif.Les auteurs concluent enfin de l'expérience kénienne que les syndicats n'ont qu'un seul choix dans les pays en voie de développement : accepter une politique de restriction en matière de salaires. Les gouvernements ne peuvent pas permettre et ne permettent pas aux syndicats d'exercer un « pouvoir » qui entraverait la poursuite de leurs objectifs économiques. Le contrôle de l'État sur le syndicalisme est considérable et celui-ci est forcé d'accepter certaines restrictions sous peine de disparaître ou de devenir un simple appareil du gouvernement.In this paper, the authors discuss some of the policy alternatives available to a Government and a union movement and consider in detail the alternative chosen by one African country, Kenya. Moreover they examine how the Government has sought to reconcile its economic development objectives with granting unions such traditional freedoms as the right to strike, the right to bargain collectively and the right of free association. In doing so they discuss the development of labour legislation in Kenya and examine its effects upon the strike weapon as a source of union power and the effect of strikes on the Kenya economy. Finally they offer some speculations on futur trends of industrial relations in Kenya
What Brown saw and you can too
A discussion is given of Robert Brown's original observations of particles
ejected by pollen of the plant \textit{Clarkia pulchella} undergoing what is
now called Brownian motion. We consider the nature of those particles, and how
he misinterpreted the Airy disc of the smallest particles to be universal
organic building blocks. Relevant qualitative and quantitative investigations
with a modern microscope and with a "homemade" single lens microscope similar
to Brown's, are presented.Comment: 14.1 pages, 11 figures, to be published in the American Journal of
Physics. This differs from the previous version only in the web site referred
to in reference 3. Today, this Brownian motion web site was launched, and
http://physerver.hamilton.edu/Research/Brownian/index.html, is now correc
Remote Cameras Reveal Experimental Artifact in a Study of Seed Predation in a Semi-Arid Shrubland
Granivorous animals may prefer to predate or cache seed of certain plant species over others. Multiple studies have documented preference for larger, non-native seed by granivores. To accomplish this, researchers have traditionally used indirect inference by relating patterns of seed removal to the species composition of the granivorous animal community. To measure seed removal, researchers present seed to granivorous animals in the field using equipment intended to exclude certain animal taxa while permitting access to others. This approach allows researchers to differentiate patterns of seed removal among various taxa (e.g., birds, small mammals, and insects); however, it is unclear whether the animals of interest are freely using the exclusion devices, which may be a hindrance to discovering the seed dishes. We used video observation to perform a study of seed predation using a custom-built, infrared digital camera and recording system. We presented native and non-native seed mixtures in partitioned Petri dishes both within and outside of exclusion cages. The exclusion cages were intended to allow entrance by rodent taxa while preventing entrance by rabbits and birds. We documented all seed removal visits by granivorous animals, which we identified to the genus level. Genera exhibited varying seed removal patterns based on seed type (native vs. non-native) and dish type (open vs. enclosed). We documented avoidance of the enclosed dishes by all but one rodent taxa, even though these dishes were intended to be used freely by rodents. This suggests that preference for non-native seed occurs differentially among granivorous animals in this system; however, interpretation of these nuanced results would be difficult without the benefit of video observation. When feasible, video observation should accompany studies using in situ equipment to ensure incorrect assumptions do not lead to inappropriate interpretation of results
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