15 research outputs found

    Beaulieu-sur-Dordogne – Abbatiale Saint-Pierre et Saint-Paul

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    La restauration du chevet de l’abbatiale de Beaulieu-sur-Dordogne s’est poursuivie en 2015. La remise en état des couvertures se trouve au centre du chantier. Une première étude archéologique a déjà été conduite sur la toiture de l’abside du chœur (BSR 2014). La seconde, qui fait l’objet de la présente notice, concerne les matériaux de couverture du déambulatoire et les ouvertures ménagées dans l’épaisseur de sa voûte et ouvrant sur sa galerie-haute (fig. 1). Les observations ont été menées a..

    Charpentes de toit et de plafond de la vallée du Rhône méridionale

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    Identifiant de l'opération archéologique : 9722 Date de l'opération : 2008 (PT) En 2008, nous avons conduit un programme de recherche sur les charpentes de toit et de plafond médiévales du sud de l’Ardèche et de la Drôme rhodanienne. Notre objectif principal était de réaliser un inventaire de ces structures et de mener à bien plusieurs études ciblées. Ce travail s’inscrit dans un cadre géographique plus vaste qui embrasse la région Provence-Alpes Côte-d’Azur (Vaucluse, Bouches-du-Rhône) et la..

    Vienne – Cathédrale Saint-Maurice

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    Identifiant de l'opération archéologique : 9433 Date de l'opération : 2008 (SP) Au cours du mois d'avril 2008, une étude archéologique a été menée par la société Archeodunum sur les façades nord de l'ancienne cathédrale Saint-Maurice, à la demande de la commune de Vienne. La cathédrale, qui domine les quartiers établis sur la rive gauche du Rhône, fut érigée en étapes successives comprises entre le Xlle s. et le XVIe s. Plusieurs auteurs se sont attachés à décrire cette évolution mais sans q..

    Vienne – Ancienne cathédrale Saint-Maurice

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    Identifiant de l'opération archéologique : 9750 Date de l'opération : 2009 (SP) Depuis 2008, à la demande de la commune de Vienne une étude archéologique est menée sur les façades nord de l'ancienne cathédrale Saint-Maurice. Cette dernière, qui domine les quartiers établis sur la rive gauche du Rhône, fut érigée entre les XIIe s.et XVIe s. Les étapes de sa construction ont été précisées par de nombreux médiévistes. Ils s'appuient principalement sur la lecture des textes d'archives et sur l'an..

    Lyon 5e « Lugdunum »

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    Identifiant de l'opération archéologique : 229433, 229620, 229504, 229505 et 229635 Date de l'opération : 2007 (SD) ; 2007 (EX) Le clos de l’Antiquaille, situé sur le flanc est de la colline de Fourvière, à proximité immédiate des théâtres antiques, centre de la ville romaine, offre une vue panoramique unique sur l’ensemble de la cité. Cet emplacement exceptionnel, remarqué sans doute dès l’époque romaine, incita un lettré du XVIe s., Pierre Sala, écuyer du roi, à construire dans ce clos « un..

    Vienne (Isère). Ancienne cathédrale Saint-Maurice de Vienne

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    Une étude archéologique a été menée en avril 2008 par la société Archeodunum sur les façades nord de l’ancienne cathédrale Saint-Maurice, à la demande de la commune de Vienne. La cathédrale, qui domine les quartiers établis sur la rive gauche du Rhône, fut érigée par étapes successives entre le xiie et le xvie s. Plusieurs auteurs se sont attachés à décrire cette évolution mais sans se fonder sur une étude archéologique fine des parements. Les données les mieux connues proviennent de la lectu..

    Le pan de bois en Provence à la fin du Moyen Âge. L’exemple de l’hôtel de Rascas à Avignon

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    La question de la construction en pan de bois en Provence occidentale a été en grande partie délaissée. Le manque patent de bois d’œuvre de qualité dans cette région justifierait ce désintérêt historiographique : l’absence de bois aurait fait la part belle aux ouvrages en pierre et réduit à l’inexistant les réalisations en bois ; elle aurait empêché le développement de l’art du charpentier et, par conséquent, suscité son désintérêt. Ainsi, en 1932, Robert Doré notait, dans son encyclopédie ar..

    Lyon 5e – Ancien hôpital de l’Antiquaille

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    Identifiant de l'opération archéologique : 229433, 229620, 229504, 229505 et 229635 Date de l'opération : 2007 (SD) ; 2007 (EX) Le clos de l’Antiquaille, situé sur le flanc est de la colline de Fourvière, à proximité immédiate des théâtres antiques, centre de la ville romaine, offre une vue panoramique unique sur l’ensemble de la cité. Cet emplacement exceptionnel, remarqué sans doute dès l’époque romaine, incita un lettré du XVIe s., Pierre Sala, écuyer du roi, à construire dans ce clos « un..

    Ainay-le-Vieil (18), Le château médiéval (secteur nord-est) et le logis de la Renaissance: Étude archéologique du bâti

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    Avec ses neuf tours reliées par de hauts murs de courtine crénelés, le château médiéval d’Ainay-le-Vieil se dégage du paysage de plaine qu’il occupe. À partir de 2020, le logis construit à l’intérieur de l’enceinte au cours de la Renaissance a fait l’objet de travaux de grande ampleur. Cette restauration a concerné les façades et les toitures du logis, ainsi que les tours et les courtines médiévales englobées par son implantation. Du fait de l’intérêt patrimonial du site, qui est par ailleurs officiellement reconnu par un classement au titre des monuments historiques depuis 1968, la Conservation Régionale des Monuments Historiques a souhaité que ces réfections soient accompagnées par une étude archéologique du bâti, tant sur les élévations maçonnées que charpentées. Les archéologues sont ainsi intervenus régulièrement pendant le chantier, entre le 20 janvier 2020 et le 22 mars 2022, afin d’apporter de nouvelles connaissances sur le château médiéval et le logis de la Renaissance et leurs transformations postérieures.Cette étude archéologique du secteur nord-est du château d’Ainay-le-Vieil apporte de précieuses informations sur sa forme et sur les techniques de construction employées par les bâtisseurs au fil des siècles. Concernant le château médiéval, les courtines et les tours sont dans un état de conservation remarquable malgré les modifications importantes à partir du XVIe siècle. Effectivement, sous ses enduits le château d’Ainay-le-Vieil cachait, et cache encore par endroits, les vestiges de la forteresse du XIIIe siècle et de ses systèmes défensifs originaux : créneaux, archères et hourds. L’étude archéologique des empreintes de ces derniers permet de restituer les hourds qui couronnaient les trois tours du secteur nord-est de façon permanente. Les trous mis au jour dans les quatre portions de courtine étudiées ont montré que les bâtisseurs avaient conçu ces murs de façon à pouvoir installer des hourds en cas de siège, ces derniers étant alors des structures amovibles. On ignore si ces hourds ont un jour été mis en œuvre dans les courtines, aucune trace archéologique ne l’atteste. Seules des sources écrites pourraient éventuellement nourrir ce sujet. Notre étude archéologique des façades extérieures a conduit à produire des hypothèses de restitution pour ces hourds ainsi que pour le plan de tir du secteur, à partir de l’emplacement des archères. Il serait très intéressant de compléter ces hypothèses de travail à partir des données archéologiques conservées à l’intérieur des tours, comme la largeur des ouvertures et l’inclinaison de l’appui. Dans cet angle nord-est, le château est pourvu d’un logis construit entre 1501 et 1502, comme l’étude dendrochronologique, couplée à l’étude archéologique de la charpente, permettent de l’affirmer. Ce lieu de résidence est pourvu d’aménagements de confort, telles les latrines et les hautes fenêtres qui sont percées dans les murs médiévaux. Il semble que plusieurs chantiers aient eu lieu mais là encore l’étude des parements intérieurs permettrait d’en savoir davantage
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