6 research outputs found

    Evaluation of the implementation of the objective structured clinical examination in health sciences education from a low‐income context in Tunisia: A cross‐sectional study

    Get PDF
    © 2024 The Author(s). Health Science Reports published by Wiley Periodicals LLC. This is an open access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License (CC BY), https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/Background: Objective structured clinical examination (OSCE) is well‐established and designed to evaluate students' clinical competence and practical skills in a standardized and objective manner. While OSCEs are widespread in higher‐income countries, their implementation in low‐resource settings presents unique challenges that warrant further investigation. Aim: This study aims to evaluate the perception of the health sciences students and their educators regarding deploying OSCEs within the School of Health Sciences and Techniques of Sousse (SHSTS) in Tunisia and their efficacity in healthcare education compared to traditional practical examination methods. Methods: This cross‐sectional study was conducted in June 2022, focusing on final‐year Health Sciences students at the SHSTS in Tunisia. The study participants were students and their educators involved in the OSCEs from June 6th to June 11th, 2022. Anonymous paper‐based 5‐point Likert scale satisfaction surveys were distributed to the students and their educators, with a separate set of questions for each. Spearman, Mann–Whitney U and Krusakll–Wallis tests were utilized to test the differences in satisfaction with the OSCEs among the students and educators. The Wilcoxon Rank test was utilized to examine the differences in students' assessment scores in the OSCEs and the traditional practical examination methods. Results: The satisfaction scores were high among health sciences educators and above average for students, with means of 3.82 ± 1.29 and 3.15 ± 0.56, respectively. The bivariate and multivariate analyzes indicated a significant difference in the satisfaction between the students' specialities. Further, a significant difference in their assessment scores distribution in the practical examinations and OSCEs was also demonstrated, with better performance in the OSCEs. Conclusion: Our study provides evidence of the relatively high level of satisfaction with the OSCEs and better performance compared to the traditional practical examinations. These findings advocate for the efficacy of OSCEs in low‐income countries and the need to sustain them.Peer reviewe

    Analyse économique des révolutions : Cas de la révolution Tunisienne

    No full text
    Revolution, which embodies major turns in the course of history, has for a long time been a social study subject. With the coming of the school of public choice in the 1960's, a new economic current helped to undestand revolution. Many economists such as: James M. Buchanan (1962), Gordon Tullock (1971-1974) and John E. Romer (1985) have applied economic theory to social and political science using tools developed by microeconomy. The goal of my research paper is to highlight the contribution of economic theory in the understanding of revolution. I have first drawn a line between two approaches that have studied revolution: The sociological approach which mainly explains why do people revolt when they are faced with structural imbalances. The economic approach which uses the theory of rational choice to demonstrate how people choose to be passive when they are confronted with a revolution.En 2011, des mouvements sociaux et révolutionnaires d’une ampleur rare ont agité certains pays du nord de l’Afrique. Cela correspond à ce qu’on a appelé le printemps arabe.Le premier de ces pays touchés par ces mouvements est la Tunisie. Cette thèse porte sur la révolution tunisienne. Elle propose une analyse théorique et empirique de cette révolution.D’un point de vue théorique, ce travail se situe dans le cadre de l’analyse économique. Nous nous situons donc dans le prolongement de la littérature économique qui, à partir des années 1970, s’est intéressée aux mouvements sociaux et plus précisément les révolutions. La théorie économique a offert un autre cadre permettant d’analyser la manière dont l’action d’un petit groupe d’individus peut provoquer des bouleversements de grande envergure. L’un des objets de cette thèse est alors de proposer une synthèse de cette littérature. Nous soulignons que cette thèse revient sur les définitions de la révolution et propose une présentation qui essaye d’être exhaustive des analyses économiques des révolutions. Quatre types de modèles sont définis : la méthode décisionnelle, la théorie des jeux, la méthode d'analyse Tobit et le modèle seuil de mobilisation. Ces modèles ont parvenu à expliquer l’émergence d’un mouvement révolutionnaire mais ne prennent pas en compte la particularité de chaque pays, nous insistons en particulier sur ce point. Il n’en est pas moins vrai que, la littérature théorique sur les révolutions a précisé ce caractère unique pour chaque révolution. Autour de cette spécificité, l’idée centrale de cette thèse a été construite : quelles sont les causes de la révolution tunisienne ? En outre, la contribution principale de cette thèse est d’ordre empirique. Bien que de nombreuses recherches aient analysé de différentes manières les causes des révolutions (Données de panel, modèles économétriques), la méthode d’analyse en composantes principales (ACP) est, à notre connaissance, la première contribution dans l’analyse des révolutions et surtout la première étude de ce type appliquée à la Tunisie. Cette méthode a pu détecter trois ramifications caractérisant le 14 janvier 2011. Trois révolutions d’ordre sociologique et sociétal semblent particulièrement importantes : une révolution démographique, une révolution de l’alphabétisation et une révolution des attentes. Premièrement, la transition démographique et ses implications économiques et sociales. Deuxièmement, les inégalités et l’élargissement de la fracture sociale entre les régions. Troisièmement, la mauvaise gestion du pays suite à l’emprise de l’économie sous Ben Ali et ses conséquences catastrophique sur l’investissement et la création d’emplois

    Economic analysis of the Revolution : Tunisian Revolution case

    No full text
    En 2011, des mouvements sociaux et révolutionnaires d’une ampleur rare ont agité certains pays du nord de l’Afrique. Cela correspond à ce qu’on a appelé le printemps arabe.Le premier de ces pays touchés par ces mouvements est la Tunisie. Cette thèse porte sur la révolution tunisienne. Elle propose une analyse théorique et empirique de cette révolution.D’un point de vue théorique, ce travail se situe dans le cadre de l’analyse économique. Nous nous situons donc dans le prolongement de la littérature économique qui, à partir des années 1970, s’est intéressée aux mouvements sociaux et plus précisément les révolutions. La théorie économique a offert un autre cadre permettant d’analyser la manière dont l’action d’un petit groupe d’individus peut provoquer des bouleversements de grande envergure. L’un des objets de cette thèse est alors de proposer une synthèse de cette littérature. Nous soulignons que cette thèse revient sur les définitions de la révolution et propose une présentation qui essaye d’être exhaustive des analyses économiques des révolutions. Quatre types de modèles sont définis : la méthode décisionnelle, la théorie des jeux, la méthode d'analyse Tobit et le modèle seuil de mobilisation. Ces modèles ont parvenu à expliquer l’émergence d’un mouvement révolutionnaire mais ne prennent pas en compte la particularité de chaque pays, nous insistons en particulier sur ce point. Il n’en est pas moins vrai que, la littérature théorique sur les révolutions a précisé ce caractère unique pour chaque révolution. Autour de cette spécificité, l’idée centrale de cette thèse a été construite : quelles sont les causes de la révolution tunisienne ? En outre, la contribution principale de cette thèse est d’ordre empirique. Bien que de nombreuses recherches aient analysé de différentes manières les causes des révolutions (Données de panel, modèles économétriques), la méthode d’analyse en composantes principales (ACP) est, à notre connaissance, la première contribution dans l’analyse des révolutions et surtout la première étude de ce type appliquée à la Tunisie. Cette méthode a pu détecter trois ramifications caractérisant le 14 janvier 2011. Trois révolutions d’ordre sociologique et sociétal semblent particulièrement importantes : une révolution démographique, une révolution de l’alphabétisation et une révolution des attentes. Premièrement, la transition démographique et ses implications économiques et sociales. Deuxièmement, les inégalités et l’élargissement de la fracture sociale entre les régions. Troisièmement, la mauvaise gestion du pays suite à l’emprise de l’économie sous Ben Ali et ses conséquences catastrophique sur l’investissement et la création d’emplois.Revolution, which embodies major turns in the course of history, has for a long time been a social study subject. With the coming of the school of public choice in the 1960's, a new economic current helped to undestand revolution. Many economists such as: James M. Buchanan (1962), Gordon Tullock (1971-1974) and John E. Romer (1985) have applied economic theory to social and political science using tools developed by microeconomy. The goal of my research paper is to highlight the contribution of economic theory in the understanding of revolution. I have first drawn a line between two approaches that have studied revolution: The sociological approach which mainly explains why do people revolt when they are faced with structural imbalances. The economic approach which uses the theory of rational choice to demonstrate how people choose to be passive when they are confronted with a revolution
    corecore