152 research outputs found

    Animal and human health: tackling uncertainty through participatory modelling and simulation

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    Zoonoses–infectious diseases communicable between animals and humans–, drug resistance and environmental pollution are now causing serious health problems worldwide. These problems are closely tied to global environmental and socio-economic changes and to the transformation of production systems at the territorial level. In this context, health management is becoming a complex issue: it needs to be addressed in close collaboration with the public veterinary health, agriculture and environment sectors. New uncertainties are emerging, and non- conventional actors are entering the scene along-side the decision-makers traditionally responsible for public health. The participatory modelling and simulation approach incorporates the diverse knowledge of all of these actors. It reveals uncertainties and teaches participants how to manage them, to make decisions and to share responsibility. It constitutes a practical solution to ensure health issues are better integrated into territorial planning policies

    Risks of new pests and diseases

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    Climate change will affect the social and environmental determinants of the health of human, animal and plant populations around the world. It will challenge the social and biological capacities of food systems to regulate the emergence of pests and pathogens. Especially in Low-Income (LI) and Lower Middle-Income (LMI) countries, food systems will be dealing with new pests, diseases and emerging pathogens (viruses, bacteria, mycoplasma and fungi) severely threatening the health of vulnerable people and potentially exacerbating social and economic inequalities

    Addressing food security within a One Health approach: integration of health and agriculture issues in the socio-ecosystem's dynamics

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    In a global context of increasing urbanization and high population densities, growing intensification of trade and farming systems, drastic land use changes and biodiversity erosion, food security is directly related to complex health issues emerging at the Animal-Human-Environmental interface. Indeed, global changes affecting biodiversity, water management and agricultural production may unexpectedly increase the risk of zoonotic and environmental diseases transmission, threatening food security, with devastating socioeconomic and wellbeing impacts for the poorest communities. Assessing and managing these risks implies taking into account socioecological dynamics, in link with epidemiological patterns and public-health policies. For instance, epidemiological surveillance of animal diseases has to involve economic costs and social impacts associated to disease reporting for the farmers. As zoonotic diseases' spreading can be largely induced by important ecological modifications, it implies to deeply understand eco-epidemiological systems involving pathogens and their reservoir, vectors and hosts. It requests a holistic approach to understand the relationship between "Health" and "Agriculture" within the socio-ecosystem's dynamics. It implies to underline the institutional constraints and potential coordination gaps across sectors and institutions and across action levels. Such integrative approach at the interface between ecosystems and societies cannot be achieved spontaneously, and implies methodological guidelines for cross-sectorial and interdisciplinary collaborations. (Texte intégral

    Le Parc National de Zakouma et les Ă©leveurs

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    Dans la mouvance du développement durable, la plupart des programmes de gestion des ressources naturelles (GRN) proposent d'intégrer conservation et développement. Les acteurs locaux sont alors identifiés come des partenaires privilégiés dans la mise en oeuvre des plans d'aménagements des terres autour des aires protégées. Le défi soulevé par ce type d'initiative est de trouver un compromis pour l'utilisation rationnelle des zones productives (comprenant les parcours d'élevage et les champs cultivés) à la périphérie directe des zones protégées (parc nationaux, réserves etc...). Partant du constat que la plupart des plans de gestion des aires protégées, en Afrique centrale et de l'ouest, n'ont pas réussi à combiner les besoins des éleveurs et les impératifs de conservation de la nature, cet article analyse le processus de mise en oeuvre d'un plan de gestion au Tchad, à l'interface d'une zone à fort enjeu de conservation (le parc national de Zakouma) et. de zones pastorales d'intérêt national. Toute la difficulté du partenariat avec les éleveurs transhumants réside dans la prise en compte de leur mobilité dans les politiques foncières qui seront proposées dans le plan de gestion. Cette mobilité, intrinsèque à toutes méthodes de production locale, mais particulièrement significative dans le cas de l'élevage transhumant, n'est pas prise en compte, en général, dans les problèmes de conservation et de GRN autour des aires protégées. La grande majorité des projets de conservation sont conçus par rapport aux populations riveraines agricoles sédentaires; l'institutionnalisation de "terres pastorales" n'a pas été, à quelques rares exceptions près, imposée comme partie intégrante des projets de gestion d'aires protégées. (Texte intégral

    Synthèse des débats. Thème 3 espaces pastoraux et aires protégées : du jeu politique aux enjeux de conservation de la faune

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    Les zones rurales arides et semi-arides d'Afrique abritent deux types d'espaces: un réseau d'aires protégées dont la vocation est la conservation de la biodiversité et des espaces de production au sein desquels les sociétés agro-pastorales pratiquent l'élevage transhumant et une agriculture souvent pionnière. Les logiques qui régissent l'accès à ces deux types d'espace sont extrêmement différentes et souvent conflictuelles. Malgré cet antagonisme apparent entre conservation et production, les décideurs et les organisations internationales soutiennent de plus en une approche inscrivant les programmes de conservation de la faune sauvage et de ses habitats dans les logiques de développement durable. Les contributions qui ont alimenté le troisième thème de cette conférence électronique ont permis de revisiter les différentes approches adoptées par les projets de conservation/développement sur le terrain et de cibler les systèmes de prises de décision qu'ils mobilisaient. Les contributions se sont enchaînées avec comme fil conducteur la question des conflits pour l'accès à l'espace (éleveurs/agriculteurs, bétail/faune sauvage ou éleveurs/agents de conservation). Le débat a été structuré à partir d'un texte introductif développant les thématiques suivantes: Mobilité en périphérie des aires protégées; Politiques de gestion des espaces et des ressources: décentralisation/régionalisation/légitimation de l'autorité; Intégration des éleveurs transhumants aux actions de conservation. Ci-dessous, nous présentons synthétiquement le contenu de ces échanges qu'ont suivi pendant 3 semaines près de 450 participants, en faisant référence aux principales contributions au troisième thème de cette conférence. Pour plus de détails, le lecteur peut se référer au site Internet de LEAD http://www.virtualcentre.org/fr/frame.htm. (Résumé d'auteur

    Synthèse bibliographique du secteur "viandes de brousse" au Gabon, rapport final

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    L'objectif de la présente étude a consisté à faire le point sur le secteur de la viande de brousse au Gabon et, sur cette base, à renforcer la cohérence des axes d'intervention d'un projet du FFEM en cours d'identification, actuellement intitulé "Gestion de la faune sauvage en bordure d'aires protégées et de la filière viande de brousse au Gabon". (Résumé d'auteur

    Compte rendu - Synthèse de débats

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