77 research outputs found
Towards Understanding the Gene-Specific Roles of GATA Factors in Heart Development : Does GATA4 Lead the Way?
Funding: This work is supported by the British Heart Foundation (BHF): programme grant number: RG/18/8/33673 to Professor Stefan Hoppler. Acknowledgments: I would like to thank Stefan Hoppler for providing critical comments as well as valuable and constructive suggestions for the manuscript.Peer reviewedPublisher PD
Analyse fréquentielle et nouvelle cartographie des maxima annuels de pluies journalières au Bénin
Les pluies extrêmes sont des phénomènes rares qui sont la cause des inondations ayant des impacts sur la population. La présente étude vise à estimer et cartographier les maxima annuels des pluies journalières au Bénin. A cet effet, les données de 35 stations ont été utilisées et couvrent globalement la période de 1921 à 2001. Cinq lois statistiques ont été utilisées pour l’analyse fréquentielle. Le choix du meilleur modèle a été fait sur la base de la comparaison numérique. Les résultats ont montré une prédominance des lois Gumbel et Lognormale. Dans l’ensemble, on note que les lois de probabilité des maxima annuels de pluies journalières, n’obéissent pas spécifiquement à un régime pluviométrique donné. On constate également que l’évolution des quantiles de pluie est proportionnelle à celles des périodes de retour car en effet, les périodes de retour augmentent avec les quantiles de pluie. Les valeurs les plus élevées sont généralement observées au niveau du Littoral, au Centre Est et au Nord Ouest du Bénin. Ainsi, la présente étude permet de disposer d’une nouvelle cartographie des maxima annuels des pluies journalières pour les périodes de retour 5, 10, 50 et 100 ans au Bénin.Mots clés : Pluies extrêmes, analyse fréquentielle, Bénin
Genome-wide transcriptomics analysis identifies sox7 and sox18 as specifically regulated by gata4 in cardiomyogenesis
This work was supported by British Heart Foundation (BHF Project Grant no PG/13/23/30080 to B.A.A and S.H.), Biotechnology and Biological Sciences Research Council (BB/M001695/1 to S.H.) and the University of Aberdeen (for A.T.L). Acknowledgements We’re grateful to Ms Yvonne Turnbull and Ms Kate Watt for technical assistance and lab management. We would like to thank Professor Cedric Blanpain and Dr Xionghui Li from Université Libre de Bruxelles for providing training of ES cell manipulation and Mesp1/Gata4 cell lines. We are grateful to Professor Todd Evans from Weill Cornell Medical College for generously providing iGata ES cell lines. We also would like to thank Professor Aaron Zorn and Scott Rankin for providing Xsox18 plasmid.Peer reviewedPublisher PD
Determinants de l’adoption de la pratique d’integration agriculture-elevage dans la Commune de Banikoara (Benin)
La contrainte majeure évoquée par les exploitations agricoles des zones cotonnières est la baisse progressive de la capacité des sols cultivables à produire à cause de la mauvaise gestion de la fertilité. L’intégration agriculture-élevage en est une solution à travers l’amendement de la matière organique dont elle offre. L’objectif de l’étude était d’identifier les déterminants de l’adoption de la pratique de l’intégration agriculture-élevage au sein des exploitations agricoles. Une analyse des caractéristiques socio-économiques d’un échantillon constitué de 120 exploitations sélectionnées de façon aléatoire a été réalisée. Des statistiques ont été utilisées pour décrire les caractéristiques socio-économiques des unités de recherches enquêtées. Un modèle Probit Bivariée a été utilisé pour analyser les facteurs déterminants l’adoption de l’intégration agriculture-élevage. Les résultats ont révélé que la présence de légumineuse dans l’assolement, l’alphabétisation, la possession d’un moyen de transport, la proximité d’un point d’eau en saison sèche, le nombre de bovin, la possession de la radio, et le droit de propriété ont d’effet positif dans l’adoption des pratiques d’intégration agriculture-élevage. Par contre, la taille de l’exploitation a un effet négatif mais significatif. Il urge donc pour les institutions derecherche et les décideurs de prendre en compte ces facteurs, afin d’apporter de l’innovation pour une meilleure adoption de ces pratiques dans une perspective de gestion durable de la fertilité du sol.
Mots clés : Intégration agriculture-élevage, déterminants, fertilité du sol, Banikoara
English Title: crop and livestock integration system practice determinants in the Municipality of Banikoara (Benin)
The major curb mentioned by the farming of cotton area is the progressive decrease of the capacity of the cultivable soils to produce due to the misssection of fertility. Integration Farming-livestock is a solution through the amendment of the organic matter of which it offers. The study’s aim was to identify the determinants of the farming-livestock integration practice adoption within farming. An analysis of the socio-economic characteristics of a sample consisting of 120 farms selected randomly was carried out. Statistics were calculated to describe the socio-economic characterics of the research unity surveyed. A bivariate probit model was used to analyze the determinants factors of the farminglivestockintegration practice The results revealed that the presence of legumes in rotation, the alphabetization, the possession of the means of transport, the proximity of a water point in the dry season, the number of the bovine, the possession of the radio and the right of ownship have a positive effect on the adoption of the integration farming- livestock practices. On the other hand, the size of the farm has a negative effect but significant. It is therefore important for the research institutions and decision-makers to take these factors in account in order to provide innovation for a better adoption of these practices in a sustainable management of soil fertility.
Key words: Farming livestock integration, determinants, soil fertility, Banikoar
Caractérisation physico-chimique et évaluation du risque d’eutrophisation du lac Nokoué (Bénin)
L’ étude, menée sur deux (2) ans (2006 et 2007) , a permis de faire le bilan hydrologique du lac Nokoué et de connaitre la qualité physico-chimique des eaux du lac en vue d’offrir les éléments de base pour une modélisation écologique future du système. Les données historiques observées au niveau des stations de Bonou et de Sô – Ava, de même que des mesures ponctuelles des débits à l’ADCP des tributaires à leurs entrées dans le lac, ont été exploitées pour réaliser ce bilan hydrologique. Les saisons (saison sèche et période de hautes eaux) ont été prises en compte dans cette évaluation. Les résultats du bilan hydrologique montrent que le débit moyen d’eau douce reçu par le lac en période de hautes eaux (Août à Octobre) est de 216 m3/s essentiellement apporté par le fleuve Ouémé, le plus long fleuve du Bénin qui traverse le pays du nord au sud. Cette valeur tombe à 49m3/s en saison sèche avec 86% du débit apporté par la Sô. En saison sèche, la Sô à Ganvié a le taux le plus important de charge organique (53% de DBO). Pour le phosphore en saison sèche le plus fort taux est obtenu au niveau du fleuve Ouémé à Totchè (42%). En période de hautes eaux (Août à Octobre) il est observé un effet de dilution des apports. En terme de charges nutritives apportées par les systèmes d’assainissement, les résultats obtenus sont pour Cotonou et Calavi 360 kg/j –P et 840 kg/j – N et pour Ganvié 150 kg/j - P et 700 kg/j –N; les apports des « Acadjas » donnent 2,3 – 2,9 kg/j P et 29 – 36 kg/j N. Les principaux résultats obtenus pour la caractérisation physico – chimique se présentent comme suit :- une intrusion saline est très remarquable en saison sèche, ainsi à Ganvié on passe de 0 g/L en période de hautes eaux à 2,5 g/L en saison sèche ; le pH moyen varie ente 6,6 et 7,5 pour les eaux du fond du lac et entre 6,9 et 7,8 pour les eaux de surface du lac. Le pH varie très peu entre le fond du lac et la surface du lac ; l’évaluation du risque d’eutrophisation à partir de l’outil de diagnostic d’Ifremer, classe la quasi-totalité des eaux dans la zone rouge (i.e mauvaise). Les valeurs des nutriments azotés et phosphorés sont largement supérieures aux valeurs limites indiquées par le système de classification de l’Organisation de Coopération et Développement Economique (OCDE). Les eaux du lac sont eutrophes. Cette eutrophisation se manifeste par la prolifération des jacinthes d’eau. On note une évolution saisonnière du système. Du point de vue des facteurs de contrôle des jacinthes d’eau, il ressort que les nutriments contrôlent le développement des jacinthes lorsque la salinité n’inhibe plus la croissance des jacinthes, c’est-à-dire de juillet à janvier.Mots clés: Bilan hydrologique, lac Nokoué, charges polluantes, eutrophisation, jacinthe d’eau, intrusion salin
CLIMATE VARIABILITY AND IMPLICATIONS FOR MAIZE PRODUCTION IN BENIN: A STOCHASTIC RAINFALL ANALYSIS
To better assess the occurrence of climate variability and change and
related effects on crop production for improved adaptation in Benin, we
analysed the stochastic dependence of dry and wet dekads (i.e. ten
days), for two periods (1951-70 compared to 1971-1990) at 36
meteorological stations, based on Markov chains. The implications on
maize ( Zea mays L.) production, the main staple food in the country,
was assessed by comparing drought probabilities with crop stage, water
requirement and water stress. We found (i) a slight increase in the
marginal probability of dry spells P(D) during the 1971-1990 period
compared to the 1951-70 one, (ii) that the second period 1971-1990 was
characterised by a general increase in the succession of dry states, a
higher transition probability from a dry dekad to the next dry P(D|D)
than all other transition probabilities and a significantly higher
probability of transition from two subsequent dry dekads to a third
dekad dry P(D|DD) than P (D|D) at most stations, (iii) an increase in
the length of dry spells and, therefore, dry periods on the sub-period
1971-1990, and (iv) that maize crop during its development in Benin is
more likely to be subject to dry dekads successions than wet ones,
resulting in poor yield, especially after 1970. This study shows that
the frequent maize yield decline in Benin is partly explained by an
increased occurrence of the succession of dry dekads (i.e. increase in
the length of dry spells).Afin de mieux \ue9valuer l\u2019av\ue8nement de la
variabilit\ue9 et des changements climatiques ainsi que des effets
connexes sur la production agricole au B\ue9nin, une analyse de la
d\ue9pendance stochastique des d\ue9cades s\ue8ches et humides
(10 jours) a \ue9t\ue9 faite pour deux p\ue9riodes (1951-70 en
comparaison \ue0 1971-1990) dans 36 stations
m\ue9t\ue9orologiques sur base des chaines de Markov. Les
implications sur la production de ma\uefs ( Zea mays L.), la
principale culture vivr\ue8re du pays, ont \ue9t\ue9
\ue9valu\ue9es en comparant les probabilit\ue9s de la
s\ue9cheresse avec les stades de croissance, les besoins en eau et le
stress hydrique. Les r\ue9sultats r\ue9v\ue8lent que (i) une
l\ue9g\ue8re augmentation de la probabilit\ue9 marginale de la
s\ue9cheresse P(D) au cours de la p\ue9riode 1971-1990 par rapport
\ue0 1951-70, (ii) la seconde p\ue9riode 1971-1990 \ue9tait
caract\ue9ris\ue9e par une augmentation g\ue9n\ue9rale dans la
succession des p\ue9riodes s\ue8ches, une probabilit\ue9
\ue9lev\ue9e de transition de la d\ue9cade s\ue8che \ue0 la
suivante s\ue8che P (D|D) par rapport \ue0 toutes les autres
probabilit\ue9s de transition et, une probabilit\ue9 de transition
significativement \ue9lev\ue9e de deux d\ue9cades s\ue8ches
subs\ue9quentes \ue0 la troisi\ue8me d\ue9cade s\ue8che
P(D/D) dans la plupart des stations, (iii) une augmentation de la
longueur de la s\ue9cheresse et, par cons\ue9quent, des
p\ue9riodes s\ue8ches au cours de 1971-1990, et enfin (iv) au cours
de son stade de d\ue9veloppement, la culture du ma\uefs au Benin
est plus expos\ue9e \ue0 la succession de d\ue9cades s\ue8ches
que celles humides, avec pour cons\ue9quence la r\ue9duction du
rendement, notamment apr\ue8s 1970. Cette \ue9tude montre que la
baisse fr\ue9quente du rendement du ma\uefs au Benin est en partie
li\ue9e \ue0 l\u2019augmentation de la fr\ue9quence des
successions de d\ue9cades s\ue8ches (c\u2019est-\ue0-dire
l\u2019augmentation de la longueur de la s\ue9cheresse)
Intégration des petits producteurs aux marchés rémunérateurs : le rôle des PMI exportatrices
L’intégration des petits producteurs aux marchés globaux leur permet d’améliorer leur situation d’extrême pauvreté. Tandis que la littérature scientifique est mature par rapport au rôle joué par les petits producteurs dans la fourniture des matières premières aux entreprises des pays développés, celle sur l’accès des petits producteurs dans les marchés des petites et moyennes industries (PMI) est encore à ces balbutiements. Pour mieux comprendre cet accès, notre littérature a appréhendé à travers plusieurs approches théoriques (ressources, capital social, internationalisation, etc.) les perspectives de construction de tissus industriels intégrant les producteurs comme des fournisseurs des PMI exportatrices pérennes. Le modèle théorique soutient que les PMI exportatrices constituent un cadre institutionnel qui offre aux petits producteurs, organisés en réseaux, une meilleure condition de vie à travers la formation sur les exigences des marchés étrangers, l’appui technique de production visant l’augmentation de la productivité, de transformation et de valorisation des produits agricoles
Foxh1/Nodal Defines Context-Specific Direct Maternal Wnt/β-Catenin Target Gene Regulation in Early Development
We thank Jessica Cheung (UC Irvine) and Yvonne Turnbull (University of Aberdeen) for technical and management support; Gert Jan Veenstra (Radboud University, Nijmegen) for discussion; and Adam Lynch and Victor Velecela (University of Aberdeen), for comments on the manuscript. We also thank Professor Masanori Taira (University of Tokyo, currently Chuo University) and Dr Norihiro Sudou (Nara Institute of Science and Technology, currently Tokyo Women's Medical University) for the siamois antibody; and Professor Dan Kessler (University of Pennsylvania) for siamois constructs. This research was supported by the Biotechnology and Biological Sciences Research Council (BBSRC) in the United Kingdom (BB/M001695/1) and by NIH in the United States (NIH GM126395). SH additionally acknowledges personal funding support as a Royal Society/Leverhulme Trust Senior Research Fellow (SRF\R1\191017).Peer reviewedPublisher PD
Effet des dates de semis sur les niveaux de sévérité de la pustule bactérienne (Xanthomonas axonopodis pv. glycines) de soja (Glycine max) au Nord Bénin
Au Bénin, la pustule bactérienne du soja (Xanthomonas axonopodis pv. glycines) est à l’origine de la réduction du rendement de la culture. La présente étude vise à réduire les effets néfastes de la pustule bactérienne sur la culture du soja. Pour ce faire, cinq variétés de soja ont été semées à différentes dates suivant un dispositif en split-plot avec comme facteur principal la date de semis et comme facteur secondaire la variété. Les semis ont été réalisés le 1er juillet (semis précoce), le 15 juillet (semis normal) et le 1er août (semis tardif). Les résultats obtenus montrent une réduction significative des symptômes de la pustule bactérienne du soja au semis normal et au semis tardif comparée au semis précoce pour les variétés JUPITER, TGX1910-2F, ISRA 25/72 et TGX1985-11F. Le semis normal et le semis tardif réduisent le rendement des variétés comparé au semis précoce. La variété TGX1984-77F apparaît plus résistante et la variété JUPITER plus sensible que les variétés TGX1910-2F, ISRA 25/72 et TGX1985-11F à l’infection naturelle. Ainsi, l’utilisation des variétés résistantes ou tolérantes au semis normal ou tardif permettrait de lutter efficacement contre la maladie.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés: Bénin, date de semis, pustule bactérienne, sévérité, sojaEnglish Title: Effect of sowing date on soybean (Glycine max) bacterial pustule (Xanthomonas axonopodis pv. glycines) severity level in northern BeninEnglish AbstractIn Benin, bacterial pustule (Xanthmonas axonopodis pv. glycines) significantly reduced soybean yield. The present study aims at reducing the effect of bacterial pustule on soybean culture. Then, seeds of five soybean varieties were sown in a split-plot design with sowing date as the main factor and variety as the secondary factor. Sowing was respectively made on 1st July (early planting), 15th July (normal planting) and August 1st (late planting). The results showed a significant reduction in symptoms of soybean bacterial pustule for a normal and a late sowing date compared to the early sowing with the varieties JUPITER, TGX1910-2F, ISRA 25/72 and TGX1985-11F. The normal and late sowing reduce yield varieties compared to early sowing. The variety TGX1984-77F was resistant/tolerant and variety JUPITER was susceptible than varieties TGX1910-2F, ISRA 25/72 and TGX1985-11F under natural infection. Thus, the use of resistant or tolerant varieties to a normal or late sowing date will be helpful to control the disease in soybean culture.Keywords: Benin, bacterial pustule, sowing date, severity, soybea
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