28 research outputs found

    The existence of cosmic ray sidereal anisotropies of galactic and solar origins with energies lower than 104 GeV and their modulation caused by the presumed behavior pattern of the heliomagnetosphere and of its neighboring gaseous matter in interstellar magnetic field

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    History of Astroparticle Physics and its Components

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    La variation thermique du magnétisme de l'eau et de quelques solutions paramagnétiques

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    L'ensemble des travaux sur la variation du paramagnétisme avec la température démontre la validité de l'équation de Curie-Weiss, χ (T + Δ) = C, dans de très grands intervalles de température. Cette équation contient les deux constantes C et Δ. L'interprétation théorique de la première a été donnée par Langevin en s'appuyant sur des hypothèses aujourd'hui inacceptables. Cependant, sa formule est exacte expérimentalement et il est bien probable que l'explication se trouve dans la voie indiquée par Ehrenfest. Pour ce qui concerne la constante Δ, elle a été interprétée par Weiss en admettant l'existence d'un champ moléculaire en rapport avec la densité des atomes paramagnétiques. Mais les mesures récentes de Foëx sur quelques solutions montrent son intervention dans quelques cas où il n'est pas possible de penser que les actions mutuelles des atomes paramagétiques soient sensibles. Nous avons voulu approfondir cet intéressant problème en étudiant avec soin quelques solutions par la méthode de Faraday. Nous avons commencé par déterminer la variation de la susceptibilité de l'eau avec la température, ainsi que sa modification sous l'influence d'un sel dissous. Les conclusions auxquelles nous sommes arrivés dans cette partie du travail sont les suivantes : a) La susceptibilité de l'eau diminue avec la température de sorte que, entre 20° et 80° C, on peut écrire -δχ/χ = [1,67 + 0,0016(t - 20°)](t - 20°) × 10^(-4). b) Cette variation dépend de la rupture des molécules polymérisés, de sorte que, en ajoutant un sel diamagnétique (chlorure de magnésium) qui provoque une diminution du nombre de molécules polymérisées, δχ/χ se rapproche de zéro. Dans la deuxième partie du travail, nous avons étudié trois solutions contenant 0,3790, 0,1504 et 0,03028 g de chlorure de manganèse; deux solutions avec 0,3690 et 0,0642 g (mesurées deux fois) de nitrate du même cation, et, en dernier, deux solutions. de nitrate de nickel dont les teneurs étaient 0,4440 et 0,1243 g. Les résultats ont été les suivants : a) Dans tous les cas, la loi de Curie-Weiss est satisfaite avec des valeurs de Δ qui sont, en première approximation. indépendantes de l'anion et de la concentration. Pour Mn++, Δ = -25 et pour Ni++, Δ = -2. b) Au moyen de ces valeurs de Δ et des mesures précédentes de χm sur des solutions de ces sels, faites au même laboratoire, on a calculé la valeur de n. nMn = 28,06 ± 0,08 ; nNi = 15,96 ± 0,05. Ce dernier nombre est identique à celui (16) déjà connu, tandis que le premier est plus bas d'une unité que celui obtenu avec les sels solides de Mn++. En outre, on voit que, d'après cela, le cas exceptionnel des solutions manganeuses disparaît. Au point de vue de la théorie, il est évident qu'en général nous devons attribuer la constante Δ à une déformation de la couche superficielle de l'atome paramagnétique sous l'action des autres atomes combinés chimiquement avec lui (dans le cas des solutions, les molécules d'eau), déformation dont l'influence est bien compréhensible dans les théories dont celle d'Ehrenfest est le modèle

    Recurrence after laparoscopic ventral hernia repair: A five-year experience

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    Background: Although the early results of laparoscopic ventral hernia repair have shown a low recurrence rate, there is a paucity of long-term data. This study reviews a single institution\u27s experience with laparoscopic ventral hernia repair (LVHR). Methods: We carried out a retrospective analysis of all LVHR performed at the Cleveland Clinic Foundation from January 1996 to March 2001. Recurrence rates were determined by physical exam or telephone follow-up. Factors predictive of recurrence were determined using Cox regression. Results: Of 100 ventral hernias completed laparoscopically, 96 were available for long-term follow-up (average, 30 months; range 4-65). There were no deaths and major morbidity occurred in seven patients. Recurrences were identified in 17 patients. Nine recurrences occurred in the 1st postoperative year; however, hernia recurrence continued throughout the period of follow-up. Multivariate analysis showed that a prior failed hernia repair was associated with a more likely chance of another recurrence (65% vs 35%, odds ratio (OR) 3.6; p = 0.05) and that an increased estimated blood loss (106 cc vs 51 cc, OR 1.03; p = 0.005) predicted recurrence. Other variables, including body mass index (BMI) (32 vs 31 kg/m2, p = 0.38), defect size (115 cm2 vs 91 cm 2; p = 0.23), size of mesh (468 cm2 vs 334 cm2, p = 0.19), type of mesh (p = 0.62), and mesh fixation (p = 0.99), did not predict recurrence. An additional 14 cases required conversion to an open operation, and seven of these cases (50%) had recurrence on long-term follow-up. Conclusion: Although LVHR remains the preferred method of hernia repair at our institution, this study documents a higher recurrence rate than many other short-term series. There results underscore the importance of long-term follow-up in assessing hernia surgery outcome. © Springer-Verlag New York Inc. 2002
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