54 research outputs found

    TOTh 2010, Terminology & Ontology: Theories and applications

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    International audienceAvant proposCette année la conférence a été précédée d’une journée de formation consacrée à la terminologie et l’ontologie, à leurs liens et leurs apports mutuels. L’intérêt qu’a suscité cette journée nous amènera certainement à réitérer l’opération les années suivantes.Le succès de la conférence d’ouverture de notre collègue Frédéric Nef, portant sur l’ontologie prise dans sa dimension philosophique, a montré, s’il en était encore besoin, la richesse d’une approche pluridisciplinaire.Animées par différents présidents, les sessions ont alterné présentations théoriques et démonstrations de systèmes, offrant ainsi l’opportunité à plusieurs industriels de nous parler de leurs projets. L’éventail des sujets abordés, à travers les quatorze présentations retenues (incluant la conférence d’ouverture) réparties sur deux jours, illustre la richesse mais aussi la vitalité de notre communauté : aide à la traduction, thésaurus multilingue, phraséologie, entité nommé, recherche d’information, etc. L’ « actualité » n’était pas oubliée à travers une ontologie des risques financiers.Enfin, les Conférences TOTh sont devenues internationales à partir de cette année avec le français et l’anglais comme langues officielles. Le comité de programme s’est ouvert à de nouveaux membres portant à dix le nombre de pays représentés et à plus de 40% le nombre de personnalités étrangères. Gageons que cette ouverture sera prometteuse.Christophe RochePrésident du Comité Scientifiqu

    TOTh 2007 : Terminologie et Ontologie : Théories et Applications. Annecy 1er Juin 2007

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    National audienceProceedings of the TOTh 2007 Conference: Terminology and Ontology: Theories and Applications. Annecy, France 1st June 200

    La vie métaformatée : prolégomènes à l'exo-sphère

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    Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

    NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION, NOUVELLES LECTURES, NOUVEAUX ÉCRITS - POUR UNE CARACTÉRISATION DU GENRE DU DOCUMENT NUMÉRIQUE

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    Current technologies have enabled knowledge to along pathways that go beyond pluralistic patterns of traditional broadcasting. To improve the indexing and searching in this area, many methods are aimed at overdetermine papers published as a set of metadata. The gendre issue is part of the more global problem of classification of semiotic products and aims to provide elements that could improve research methods and techniques of manipulation.This thesis suggest to highlight discriminating features that could identify the types of digital documents. Ultimately, this should lead to improved search tools and indexing documents. It is organized into four parts. But first, a section introduces the concepts used thoughout the development, it shall determine the epistemological environment and methodologies chosen. The first part of the thesis makes a "flattering" of the concept of document and proceeds with his analysis, particularly in terms of scanning and changing practices that it brings. Three levels were selected as relevant: the technological aspect, witch relates to object (shape), its semiotic consistency, dependent on the interpretation of the subjects (the bottom) and the pragmatic target is it to say that revolve around the actions and justify its existence (it works). One defined the object of study, the second part of the thesis makes a "state of arts" of gender. After tracing the evolution of ideas that the concept of gender has developed over time, were identified three trends that seem to illustrate just as many ways to approach the semiotic object. The third part finally dressed the gendre issue, trying to find items relevant to a closer look operation of the dialectic between "being digital document", "subjects interpretants" and "practices" related. The goal here is to identify discriminating features that could identify the types of digital documents. Gender is thus analyzed:- context as a priori, that to say as a world of expectations of a community, in which case it is a "context of reference" subjects;- buildings as a reading course content, where the "context of actions" provides the defining elements in the formation of a meaning;- as a posteriori description of a document analysis, in this case, the "object context".The fourth section provides an exemplification and discussion of these ideas on a corpus of digital documents. The target application is here. This is to examine the possibility of developing tools for automatic recognition of gendres.Les technologies actuelles ont permis aux savoirs de se développer en suivant des voies pluralistes qui dépassent les schémas de diffusion traditionnelle. Pour améliorer l’indexation et la recherche dans ce nouvel espace, de nombreuses méthodes visent à surdéterminer les documents publiés d’un ensemble de métadonnées. La question du genre s’inscrit dans la problématique plus générale du classement des productions sémiotiques et vise à donner les éléments qui pourraient améliorer les méthodes de recherche et les techniques de manipulation. Cette thèse se propose de mettre en évidence des traits discriminants qui permettraient d’identifier les genres des documents numériques. À terme, cela devrait déboucher sur une amélioration des outils de recherche et d’indexation documentaire. Elle est organisée en quatre parties, avec en préambule, une section relative aux concepts utilisés tout au long des développements. Cette section fixe le cadre épistémologique ainsi que les méthodologies choisies. La première partie de la thèse effectue une « mise à plat » de la notion de document et procède à son analyse, particulièrement sous l’angle de la numérisation et de la modification des pratiques qu’elle amène. Trois niveaux ont été retenus comme pertinents : l’aspect technologique, qui se rattache à l’objet (sa forme), sa consistance sémiotique, dépendante de l’interprétation faite par les sujets (son fond) et la visée pragmatique, c’est-à-dire les actions qui s’articulent autour et qui justifient son existence (son fonctionnement). Une fois l’objet d’étude délimité, la deuxième partie de la thèse procède à un « état de l’art » de la question du genre. Après avoir retracé l’évolution des conceptions que la notion de genre a connu au fil du temps, ont été dégagées trois tendances qui semblent illustrer tout autant de manières d’aborder l’objet sémiotique. La troisième partie aborde enfin la question du genre, en cherchant à y trouver des éléments pertinents pour un regard plus opératoire de la dialectique entre « l’objet document numérique », les « sujets interprétants » et les « pratiques » qui s’y rapportent. L’ambition ici est de dégager des traits discriminants qui permettraient d’identifier les genres des documents numériques

    Equipement informatique des annotations et des pratiques d'écriture professionnelles : une étude ancrée pour l'organisation des soins en cancérologie

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    Prenant appui sur une méthodologie d'enquête, de conceptualisation et de développement itérative - la Théorie Ancrée - notre recherche sur l'instrumentation informatique des annotations et des pratiques d'écriture professionnelles nous a permis de développer des concepts, un modèle et un prototype informatique originaux pour le support de l'organisation des soins en cancérologie. Pour mener à bien ce travail itératif de modélisation, nous nous sommes inspirés des pratiques d'écriture des soignants que nous avons observées durant plusieurs années dans un hôpital en cancérologie. Cette étude qualitative a été complétée par un état de l'art pluridisciplinaire. Ce travail d'articulation entre différents domaines scientifiques, enquête et confrontation aux acteurs du terrain nous a permis de développer les concepts de pratique annotative et d'écriture heuristique considérés comme constitutifs du travail d'organisation des soins. Ces pratiques permettent aux soignants d'appréhender leurs environnements de travail complexes, et de gérer efficacement les dynamiques et les variétés de situations et de prise en charge des patients. La caractérisation de ces pratiques nous a permis de développer un modèle informatique simple, robuste et ouvert, mais surtout ancré dans le terrain de recherche et dans les pratiques soignantes. Ce prototype grâce notamment aux contextes d'affichage diversifiés des réseaux d'annotation qu'il autorise, grâce à sa flexibilité et son évolutivité, permet effectivement d'adresser la question du support du travail collectif d'organisation des soins en cancérologie, autant qu'il est prometteur pour d'autres contextes d'exploitation.Our research about computerized equipment of annotations and professional writing practices has articulated Computer Sciences and Communication and Information Sciences in order for us to develop a software prototype for the support of organisation of care in oncology thanks to an empirical and longitudinal study. This articulation has relied on 4 years long of multimodal ethnography, a conceptualization based upon Grounded Theory rules, a model and a software development that we iteratively conduct simultaneously with this qualitative inquiry. This original combination of methodologies from different domains has been remarkably rich to help us build a specific point of view about oncology hospital organizations, and about the accomplishment of care work and about patients' management in these complex professional organizations. The modern medical and hospital rationalizations, including ICT and e-health tools, are in the confluence of various movements that impact upon several elements of hospital organizations, and upon medical and care practices. We focused our study on the situated writing practices of caregivers and specifically on the richness of the materiality of writings that led us to question notions such as information systems, collective and distributed production of knowledge, and the documentary production cycles for the organization of activity. We are making the hypothesis that annotations can be opportunely considered as constitutive elements in the production of "organizational texts" that are in the core of the support of the organization and the realization of collective and individual work. Caregivers rely on these "organizational texts" that they build, actualize and stabilize thanks to what we call the "annotative practice" that enables them to apprehend their complex environments of work, and to handle the dynamics and the variety of situations and to manage patients. We will show how the characterization of this "annotative practice" helped us to develop a simple, robust and open software model. We will detail the iterative process between inquiry, analysis, conceptualizations and developments that led us to stabilize our model and our web prototype that implement this annotative practice. We will conclude our work by showing that this prototype, thanks to the numerous context displays of annotations networks, thanks to its flexibility and evolutivity achieves the support of the collective organization of patients' care in oncology, as much as it seems to be relevant in other exploitation context of collective organization of work

    OAI PMH à « l’heure du web sémantique »

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    Mémoire de fin d\u27étude de conservateur des bibliothèques, promotion 28, portant sur le protocole OAI-PMH

    La sémiotique en interface

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    De la déconstruction discursive du genre à la déconstruction technique de la matière : une analyse du concept de genre dans l'univers technoscientifique

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    L’accent mis aujourd’hui sur la notion de genre, conceptualisée et mise de l’avant au sein de la théorie féministe, et la critique radicale des constructions sociales et historiques portant sur le sexe et ses déterminations biologiques semblent avoir entraîné, d’une part, la perte d’un important pan du pouvoir d’analyse et, d’autre part, en le réduisant abusivement à ses inscriptions sociales, la perte du corps lui-même, dans sa matérialité. En ce sens, ce mémoire se développe autour de l’idée que la déconstruction et la remise en question des constructions sociales comme la sexualité, le genre, le sexe et même la parenté, qui sont menées principalement par les théories féministes et queers — et plus largement, par les sciences sociales —, s’intègrent aux processus de dénaturalisation et de déconstruction matérielle déjà enclenchés par le développement technologique et scientifique. La réflexion mise en œuvre à travers le concept de genre et les théorisations se l’appropriant et le véhiculant reposent, dans une certaine mesure, sur les mêmes principes que cette entreprise de dénaturalisation technoscientifique, de même qu’elles y participent et l’encouragent. Plus encore, la déconstruction matérielle du corps et du sexe qui avait déjà cours dans le domaine biomédical au début du XXe siècle nous apparaît comme étant la base, la condition de possibilité, de l’élaboration de la notion de genre dans les années 1950. Et quant à celle-ci, elle ne semble jamais avoir cessé d’être en relation directe avec cet univers de sens technoscientifique qui l’a rendue possible, en l’accompagnant dans ses mutations et en y participant activement. Si le projet de déconstruction du corps et du sexe est généralement associé aux auteur-e-s postmodernes et à leur usage particulier du genre, nous souhaitons mettre de l’avant l’idée que le concept de genre suppose en lui-même un corps et un sexe déconstruits, fragmentés, voire niés ; qu’il repose, depuis ses origines, sur la maîtrise et l’instrumentalisation du corps, héritées de la pensée mécaniste ; et qu’il dépend du paradigme technicien et de l’univers technoscientifique industriel sans lesquels il n’aurait pu être envisagé.Today’s emphasis on the notion of gender, conceptualized and promoted within the feminist theory, as well as the radical criticism of social and historical constructions regarding sex and its biological determinations, seem to have lead, on the one hand, to the loss of an important aspect of the analytical power and, on the other hand, by reducing it to is social inscriptions, to the loss of the body itself in its materiality. In this respect, this paper evolves around the issue whereby the deconstruction and reassessment of social constructions such as sexuality, gender, sex and even kinship, lead mainly by feminist and queer theories and, more broadly, by social sciences, contribute to the denaturalization and material deconstruction process already undertaken by technological and scientific development. The reflexion implemented throughout the gender concept and the theorization which assimilates and conveys it, rests basically on the same principles undertaken by technoscience denaturalization, participating and encouraging it as well. Moreover, the material deconstruction of the body and the sex which took place in the biomedical field in the early 20th century appears to be the basis, the conditional possibility as well as the shaping of the notion of gender in the 1950’s. Such notion seems to never have ceased being in direct relation to this realm of technoscientific sense which made it possible, by going along with its mutations as well as by its active participation. If the project of body and sex deconstruction is generally associated to post-modern authors and their particular use of gender, we wish to set forth the idea that the gender concept entails in itself the deconstruction of the body and the sex, fragmented, if not denied, and that since its origins, its rests basically on controlling and instrumentalizing the body, inherited from the mechanistic model of thought; relying on the technicistic paradigm and the technoscientific industrial realm without which, it would not even have been considered

    Corps, genre et nouvelles technologies biomédicales : reconfigurations antinaturalistes au sein des théories féministes

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    The biological materiality of the human body has become an object of unprecedented interventions through “new biomedical technologies” as medically assisted procreation, genetic tests, or hormonal contraception. This thesis interrogates the difficulties inherent to anti-naturalist approaches in order to address the biological dimension of sexed bodies. “One is not born a woman, one becomes one”, but is this also true for the body? The analytical frames of materialist or deconstructivist feminism cannot cease the modalities through which biomedical technologies invest the flesh. Do biomedical technologies make constructivist approaches obsolete through the revenge of a biological – hormonal, genetic, molecular – ground that tops the anatomical effects of socialization? Partisans of a feminist “material turn” seem to think so. After analyzing how the molecular biology revolution changes the very concept of nature in defining it as “life itself”, I offer an alternative interpretation by defining biomedical technologies as technologies of power that stem from a molecular biopolitics of gender. Instead of overturning constructivist perspectives, these new social mediations (residing on a new epistemic paradigm) help understanding a shift in what has been seen as the limits of gender. This shift creates unprecedented identities, experiences and subjectivities of gender. In exposing the coordinates of the biomedical apparatus, this comparative study between disciplinary techniques and molecular biopolitics of gender pleads for a renewed anti-naturalist critique that takes the form of a critique of technology in order to allow for a collective appropriation of biomedical technologies.La matérialité biologique du corps humain est devenue l'objet d'interventions inédites au moyen de nouvelles technologies biomédicales, comme la procréation médicalement assistée, les tests génétiques, la contraception hormonale. Cette thèse part des difficultés inhérentes à une approche antinaturaliste pour aborder la dimension biologique des corps sexués. “On ne naît pas femme, on le devient” : mais qu'en est-il des corps ? Les technologies biomédicales investissent la chair selon des modalités qui échappent aux grilles d'analyses matérialiste et butlérienne. Faut-il y voir une réfutation du constructivisme, la revanche d'un socle biologique – hormonal, génétique, moléculaire – primant sur les effets anatomiques de la socialisation, comme le suggèrent les partisan·e·s d'un material turn féministe ? À partir d'une analyse de l'évolution de la notion de nature, définie comme "vie elle-même" depuis la révolution moléculaire de la biologie, cette thèse propose une autre interprétation, en définissant les technologies biomédicales comme des technologies de pouvoir relevant d’une biopolitique moléculaire de genre. Sans infirmer la perspective constructiviste, ces médiations sociales originales (adossées au nouveau paradigme épistémique) permettent de comprendre comment les frontières et limites du genre sont déplacées, tout en produisant des identités, des expériences et des subjectivités genrées inédites. En dégageant les coordonnées d'un véritable dispositif biomédical, notre étude comparative entre techniques disciplinaires et biopolitique moléculaire de genre plaide pour une critique antinaturaliste renouvelée, s’articulant à une critique de la technique qui permette d'inventer collectivement des moyens pour se réapproprier démocratiquement les technologies biomédicales
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