60 research outputs found

    Traité de documentation

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    La version du Traité de documentation que nous publions ici reproduit l'original paru en 1934 aux Editions Mundaneum à Bruxelles. Nous avons choisi de mettre en ligne non seulement la version HTML intégrale de ce fameux traité mais aussi, pour la première fois, la reconstitution (mise en page, polices), en format PDF texte, de l'original écrit par Paul Otlet. Nous y avons attaché une préface d'Olivier Le Deuff et une postface de Bertrand Müller. ___ Cet ouvrage est consacré à un exposé général des notions relatives au Livre et au Document, à l’emploi raisonné des éléments qui constituent la Documentation. Une rationalisation du Livre et du Document s’impose, partant d’une unité initiale, s’étendant à des groupes d’unités de plus en plus étendus, embrassant finalement toutes les unités, existantes ou à réaliser, en une organisation envisageant, à la base, l’entité documentaire individuelle que forme pour chaque personne la somme de ses livres et de ses papiers. Le présent ouvrage en donne une esquisse générale et en présente une méthode coordonnée. Le présent Traité vise avant tout à dégager des faits, des principes, des règles générales et à montrer comment la coordination et l’unité peuvent être obtenues. Cette coordination, cette unité, l’Institut International de Bibliographie, l’Office International joint à lui, les Instituts qui coopèrent au Palais Mondial, le Mundaneum, s’efforcent depuis leur fondation en 1893, en 1895 et en 1920, de les étudier, de les définir, d’en faire une réalité vivante et tangible. Les Congrès internationaux de ces organismes, et d’autres, ont arrêté déjà un ensemble important de données régulatrices. L’objectif est de préparer ainsi de nouvelles ententes, de nouvelles standardisations, de nouvelles œuvres à établir et à sanctionner en commun

    Traité de documentation

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    La version du Traité de documentation que nous publions ici reproduit l'original paru en 1934 aux Editions Mundaneum à Bruxelles. Nous avons choisi de mettre en ligne non seulement la version HTML intégrale de ce fameux traité mais aussi, pour la première fois, la reconstitution (mise en page, polices), en format PDF texte, de l'original écrit par Paul Otlet. Nous y avons attaché une préface d'Olivier Le Deuff et une postface de Bertrand Müller. ___ Cet ouvrage est consacré à un exposé général des notions relatives au Livre et au Document, à l’emploi raisonné des éléments qui constituent la Documentation. Une rationalisation du Livre et du Document s’impose, partant d’une unité initiale, s’étendant à des groupes d’unités de plus en plus étendus, embrassant finalement toutes les unités, existantes ou à réaliser, en une organisation envisageant, à la base, l’entité documentaire individuelle que forme pour chaque personne la somme de ses livres et de ses papiers. Le présent ouvrage en donne une esquisse générale et en présente une méthode coordonnée. Le présent Traité vise avant tout à dégager des faits, des principes, des règles générales et à montrer comment la coordination et l’unité peuvent être obtenues. Cette coordination, cette unité, l’Institut International de Bibliographie, l’Office International joint à lui, les Instituts qui coopèrent au Palais Mondial, le Mundaneum, s’efforcent depuis leur fondation en 1893, en 1895 et en 1920, de les étudier, de les définir, d’en faire une réalité vivante et tangible. Les Congrès internationaux de ces organismes, et d’autres, ont arrêté déjà un ensemble important de données régulatrices. L’objectif est de préparer ainsi de nouvelles ententes, de nouvelles standardisations, de nouvelles œuvres à établir et à sanctionner en commun

    Fragments d'Optimisation Différentiable - Théories et Algorithmes

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    MasterLecture Notes (in French) of optimization courses given at ENSTA (Paris, next Saclay), ENSAE (Paris) and at the universities Paris I, Paris VI and Paris Saclay (979 pages).Syllabus d’enseignements délivrés à l’ENSTA (Paris, puis Saclay), à l’ENSAE (Paris) et aux universités Paris I, Paris VI et Paris Saclay (979 pages)

    Combinatoire des cartes et polynome de Tutte

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    Les cartes sont les plongements, sans intersection d'arêtes, des graphes dans des surfaces. Les cartes constituent une discrétisation naturelle des surfaces et apparaissent aussi bien en informatique (codage d'informations visuelles) quén physique (surfaces aléatoires de la physique statistique et quantique). Nous établissons des résultats énumératifs pour de nouvelles familles de cartes. En outre, nous définissons des bijections entre les cartes et des classes combinatoires plus simples (chemins planaires, couples d'arbres). Ces bijections révèlent des propriétés structurelles importantes des cartes et permettent leur comptage, leur codage et leur génération aléatoire. Enfin, nous caractérisons un invariant fondamental de la théorie des graphes, le polynôme de Tutte, en nous appuyant sur les cartes. Cette caractérisation permet d'établir des bijections entre plusieurs structures (arbres cou- vrant, suites de degrés, configurations du tas de sable) comptées par le polynôme de Tutte.A map is a graph together with a particular (proper) embedding in a surface. Maps are a natural way of representing discrete surfaces and as such they appear both in computer science (encoding of visual data) and in physics (random lattices of statistical physics and quantum gravity). We establish enumerative results for new classes of maps. Moreover, we define several bijections between maps and simpler combinatorial classes (planar walks, pairs of trees). These bijections highlight some important structural properties and allows one to count, sample randomly and encode maps efficiently. Lastly, we give a new characterization of an important graph invariant, the Tutte polynomial, by making use of maps. This characterization allows us to establish bijections between several structures (spanning trees, sandpile configurations, outdegree sequences) counted by the Tutte polynomial

    Etude des graphes planaires cofinis selons leurs groupes de symétries

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    Les graphes cofinis constituent une famille de graphes possédant un groupe de symétries non trivial, comme les graphes de Cayley ou les graphes sommet-transitifs. Lorsque ces graphes sont en plus planaires, ces symétries peuvent se traduire de manière simple grâce à des symétries du plan dans lequel les graphes sont dessinés. L’ensemble de ces symétries ou automorphismes permet alors de décrire globalement le graphe à l’aide de données géométriques locales, par des structures appelées schémas d’étiquetage. Dans cette thèse, nous étudions les groupes de symétries et décrivons les schémas d’étiquetage des graphes planaires cofinis possédant une représentation topologique simple : les graphes planaires localement finis. Nous montrons comment ces schémas permettent de caractériser le graphe et ses plongements. Cette analyse permet d’énumérer cette famille des graphes planaires cofinis, en particulier lorsqu’ils sont de Cayley ou sommet-transitifs. A partir de ces résultats, nous nous intéressons à la structure des groupes d’automorphismes de cette famille de graphes. Des problèmes de la théorie combinatoire des groupes usuellement indécidables se trouvent devenir décidables dans notre cadre : c’est le cas en particulier des problèmes du mot, simple et généralisé. Les problèmes de décidabilité de la logique permettent de classifier ces graphes en deux grandes familles, selon leur largeur arborescente et la géométrie de leur plongement. Enfin, la question de l’extension de cette description à une famille de graphes plus généraux est étudiée. La classification de ces graphes en terme de bouts et de points d’accumulation dans les plongements permet d’obtenir des informations sur la forme que peuvent prendre les plongements des graphes planaires cofinis non localement finis. Nous discutons alors des difficultés d’extension de la méthode “localement finie” au cas général.The cofinite graphs represent a family of graphs possessing a non-trivial group of symmetries, such as the Cayley graphs and the vertex-transitive graphs. When such graphs are planar, these symmetries correspond merely to symmetries of the plan in which the graphs are embedded. This set of symmetries – or, more precisely, automorphisms – can provide a global description of the graph from local data, by means of structures called labeling schemes. In this thesis, we study the groups of symmetries and describe the labeling schemes of the planar cofinite graphs possessing a simple topological representation : the planar locally finite graphs. We prove how a labeling scheme allows to characterize the graph and its embeddings. This analysis allows the enumeration of this family of the planar cofinite graphs, in particular when they are vertex-transitive or Cayley graphs. With these results, it is possible to analyze the structure of the groups of automorphisms of this family of graphs. There exist problems of the combinatorial group theory unsolvable in general that become solvable within this framework. That is the case in particular of the simple and generalized word problems. Problems of decidability of logics allow for the classification of these graphs into two families, depending on their treewidth and the geometry of ther embedding. Finally, we raise the question of the extension to the more general family of the cofinite planar graphs. The classification of these graphs in terms of number of ends and of accumulation points in their embeddings provides information on the structure of the embeddings of these more general graphs. We discuss the problems raised by the extension of the “locally finite” method to the general case

    On the Size of Finite Rational Matrix Semigroups

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    Let nn be a positive integer and M\mathcal M a set of rational n×nn \times n-matrices such that M\mathcal M generates a finite multiplicative semigroup. We show that any matrix in the semigroup is a product of matrices in M\mathcal M whose length is at most 2n(2n+3)g(n)n+12O(n2logn)2^{n (2 n + 3)} g(n)^{n+1} \in 2^{O(n^2 \log n)}, where g(n)g(n) is the maximum order of finite groups over rational n×nn \times n-matrices. This result implies algorithms with an elementary running time for deciding finiteness of weighted automata over the rationals and for deciding reachability in affine integer vector addition systems with states with the finite monoid property

    Inférence d'interactions d'ordre supérieur et de complexes simpliciaux à partir de données de présence/absence

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    Malgré l’efficacité des réseaux pour représenter les systèmes complexes, de récents travaux ont montré que leur structure limite parfois le pouvoir explicatif des modèles théoriques, puisqu’elle n’encode que des relations par paire. Si une interaction plus complexe existe dans le système représenté, elle est automatiquement réduite à un groupe d’interactions par paire, c’est-à-dire d’ordre un. Il faut alors utiliser des structures qui prennent en compte les interactions d’ordre supérieur. Cependant, qu’elles soient ou non d’ordre supérieur, les interactions entre les éléments d’un système sont rarement explicites dans les jeux de données. C’est notamment le cas des données de présence/absence qui indiquent quelles espèces (animales, végétales ou autres) se retrouvent (ou non) sur un site d’observation sans indiquer les relations entre elles. L’objectif de ce mémoire est alors de développer une technique d’inférence pour dénicher les interactions d’ordre supérieur au sein de données de présence/absence. Ici, deux cadres théoriques sont explorés. Le premier est basé sur la comparaison entre la topologie des données, obtenue grâce à une hypothèse souple, et celle d’un ensemble aléatoire. Le second utilise plutôt les modèles log-linéaire et les tests d’hypothèses pour inférer les interactions une à une jusqu’à l’ordre désiré. Ce cadre a permis d’élaborer plusieurs méthodes d’inférence qui génèrent des complexes simpliciaux (ou des hypergraphes) qui peut être analysés grâce aux outils standards de la science des réseaux en plus de l’homologie. Afin de valider ces méthodes, nous avons développé un modèle génératif de données de présence/absence dans lesquelles les véritables interactions sont connues. Des résultats concrets ont également été obtenus pour des jeux de données réelles. Notamment, à partir de données de présence/absence d’oiseaux nicheurs du Québec, nous avons réussi à inférer des cooccurrences d’ordre deux.Despite the effectiveness of networks to represent complex systems, recent work has shownthat their structure sometimes limits the explanatory power of the theoretical models, sinceit only encodes dyadic interactions. If a more complex interaction exists in the system, it isautomatically reduced to a group of pairwise interactions that are of the first order. We thusneed to use structures that can take higher-order interactions into account. However, whetherrelationships are of higher order or not is rarely explicit in real data sets. This is the case ofpresence/absence data, that only indicate which species (of animals, plants or others) can befound (or not) on a site without showing the interactions between them.The goal of this project is to develop an inference method to find higher-order interactionswithin presence/absence data. Here, two frameworks are examined. The first one is based onthe comparison of the topology of the data, obtained with a non-restrictive hypothesis, andthe topology of a random ensemble. The second one uses log-linear models and hypothesistesting to infer interactions one by one until the desired order. From this framework, we havedevelopped several inference methods to generate simplicial complexes (or hypergraphs) thatcan be studied with regular tools of network science as well as homology. In order to validatethese methods, we have developed a generative model of presence/absence data in which thetrue interactions are known. Results have also been obtained on real data sets. For instance,from presence/absence data of nesting birds in Québec, we were able to infer co-occurrencesof order tw

    Decidability and k-Regular Sequences

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    In this paper we consider a number of natural decision problems involving k-regular sequences. Specifically, they arise from considering • lower and upper bounds on growth rate; in particular boundedness, • images, • regularity (recognizability by a deterministic finite automaton) of preimages, and • factors, such as squares and palindromes, of such sequences. We show that these decision problems are undecidable.Austrian Science Fun

    ФРАНЦУЗСКИЙ ЯЗЫК Le Français

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    Основная цель данного учебного пособия — обучение студентов чтению профессионально ориентированных текстов. Учебное пособие состоит из трех больших разделов по заявленным дисциплинам: «Математика», «Информационные технологии», «Физика». Текстовые материалы информативны, тщательно отобраны и представляют собой аутентичные тексты из различных источников, в том числе специальных научных журналов. Имеются тексты для самостоятельной работы и приложения. Даны способы контроля знаний. Предназначено для студентов физико-математических специальностей учреждений высшего образования
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