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    Entre trivialité et culture : une histoire de l’Internet vernaculaire: Emergence et médiations d’un folklore de réseau

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    From Cybercultural studies to new Web science, Media and Communication theory engage in analyzing scientific models of the Internet that are mostly homogeneous : models built on the faith in the universal language of networked information and tending to creating norms and/or rules for network communication. There are new cultural, economical and even political institutions appearing that rely on a vehicular model that is widely accepted, although criticized.In my thesis I come back to the sources of this criticism by opening a vernacular perspective, which is a concept borrowed from socio-linguistics and reinterpreted under the light of network culture. It allows to think about the relation between values (the vulgar, the popular, the trivial) and media practices of groups manifested as Internet folklore. From the point of view of a local theory (Jacques Perriault), the vernacular perspective opens a field of analysis understood as composite (Joëlle Le Marec), that is a complex of unstable relations between discourse and matter, technologies and their uses, practices, representations and norms. Folklore, by definition formalist and traditional, transforms itself within network culture to become a media process based on appropriation and commentary, two of the most crucial characteristics of the Internet thought of as meta-medium (Philip Agre). Folklore and vernacular provide important elements to sketch a cultural theory of information and communication in terms of « triviality »‘ (Yves Jeanneret) – a culture defined by is mediations and transformations. This thesis, by investigating archeologically the archives of Internet’s micro-history to dig out its folklore, analyzes dynamically contexts that have allowed the social information of contemporary network culture.Studying two periods of network history that are defined partly by the tools of access to the Internet (Usenet in the 80’s and early 90’s and the Web 1.0 in the 90’s and the 2000’s), my research takes a close look at how Internet folklore is invented, experiment, produced and reproduced interacting with content-management media (emailing and newsgroups, homepages, blogs). These apparatuses are seen as « architexts » (following French semiology in media interfaces), which content cannot be understood without an analysis of their system and forms (their « metaforms ») and the process of computer and cultural codes that defined their context of production.A first series of case studies dig out the roots of Internet folklore, its emergence within the first large-scale virtual community : Usenet – and in particular the alt. newsgroup hierarchy. From ASCII Art to Flame Wars and through the pantheon of Net.legends, I show how the leisure and experimental use of communication and information processing rules allow the users to confront the difficulties and dead-ends of collective regulation. The Usenet public, celebrating and participating in network folklore, is testing instruments that give power in writing and expressing opinions. These situations are named « metatexts » : they develop commentaries and folkloric theories on the complex problem of « metarules ». From an Internet micro-historical point of view, they are the basis of a sub-culture that reinvented public discourse within a network context : commenting, conversing, evaluating and filtering, all through the computer media.A second series of case studies approaches network folklore from another angle. Through and experience of participant-observation, I borrow the outlook of two generations of Internet artists on Web popular creativity. The first generation, net.art, considered as pioneer in art happening on the Web in the mid-90’s, starts a process of valuing and mediating amateur creativity in the homepages. The second generation, the surfclubs, recipient to the net.art heritage in the context of Web 2.0, give a new understanding and context to network cultural practices within collective blog networks inspired from image forums, the new territories of emergence for network folklore. The eye of Net art channels the observation of a specific evolution of network vernacular : conflicts about the value and the legitimation of this cultural « popular » matter seem to resolve in the new mainstream tendencies of the social Web. New leisure figures appear, between amateur and professional network practices, inspired by the aesthetic and the informational value of Internet folklore. This issue opens up new discussion on the socio-economics of network culture.The vernacular perspective updates the conflictual relations between, technology, society and culture that have built the Internet and marked its history. Its shows that they are dialogic articulations between users’ creativity and institutional norms that structure the network environment. It uncovers little known archives that reveal the voices of the actors of this cultural micro-history. it signals epistemological problems about material and methods for network culture analysis by suggesting that this should be handled from the bottom up, accompanying the emergence of media practice in the cultural economy of today’s Web.De la perspective cyberculturelle aux nouvelles sciences du Web, les Sciences de l’Information et de la Communication étudient des modèles scientifiques d’Internet marqués par une forme d’homogénéité : celle portée par la croyance en un langage universel de l’information et tendant vers la normalisation et/ou la régulation des outils de la communication en réseau. Ainsi, les nouvelles tendances à l’institutionnalisation de la culture, de l’économie voire de la politique des réseaux reposent sur un modèle véhiculaire prégnant et généralement accepté, bien que souvent critiqué.Je propose de revenir aux sources de ces critiques en les envisageant sous la dimension du vernaculaire, notion empruntée à la socio-linguistique et réinterprétée sous l’angle de la médiation de culture informatique en réseau. Dans ce cadre, cette notion permet de penser l’articulation entre des valeurs (le vulgaire, le populaire, le trivial) et des pratiques médiatiques de groupes qui se manifestent dans un « folklore Internet ». Attachée à une théorie locale des usages techniques (J. Perriault), la perspective vernaculaire ouvre un terrain d’analyse placé sous le sceau du composite (J. Le Marec), c’est-à-dire les relations instables et complexes d’artefacts faits de discours et de matière.Le folklore, par définition formel et traditionnel, se transforme au sein de la culture de réseau pour devenir un processus de médiation fondé sur l’appropriation et le commentaire, deux des grandes caractéristiques d’Internet pensé comme méta-médium (P. Agre). Folklore et vernaculaire fournissent des éléments importants pour envisager une théorie culturelle de l’information et de la communication en termes de « trivialité » (Y. Jeanneret) – une culture définie par ses médiations et ses transformations. Cette thèse se propose, en allant faire l’archéologie des archives de la micro-histoire d’Internet pour y retrouver son folklore, d’analyser de manière dynamique les contextes qui ont permis l’information sociale de la culture de réseau contemporaine.A partir de deux périodes de l’histoire des réseaux marquées par deux réseaux privilégiés d’accès à Internet (Usenet, années 1980-1990 ; le Web, années 1990-2000), j’analyse les contextes de communication dans lesquels un folklore Internet s’invente, s’expérimente, se produit et se reproduit en interaction avec des dispositifs de médiation de contenu en réseau (messagerie, pages personnelles, blogs). Adoptant un point de vue « architextuel » (empruntant à la sémiotique des interfaces et des médiations informatisées), mes études s’intéressent tout aussi bien aux contenus qu’aux formes et métaformes ainsi qu’aux processus de codification informatiques et culturels de ces contextes.Une première série d’études de cas se penche sur les racines du folklore Internet, son émergence au sein de la première communauté virtuelle de grande ampleur, Usenet – en particulier dans la hiérarchie alt. du groupe. De l’art ASCII aux flame wars en passant par le panthéon des célébrités de Usenet, je montre comment l’usage ludique et expérimental des règles de communication et du transfert d’information sur le réseau permettent aux usagers d’affronter les difficultés et les apories de la régulation collective. Le public Usenet, dans la célébration et sa participation au folklore de réseau, teste des instruments qui lui donne un pouvoir d’écriture et d’opinion. Ces situations, je les nomme « métatextes » : des commentaires ludiques et des théories folkloriques sur la question complexe des « métarègles ». En terme de micro-histoire de l’Internet, elles sont fondamentales pour comprendre, à partir de ce qui était à l’origine une sous-culture, le développement culturel du commentaire et de la conversation, de l’évaluation et du filtrage de l’informatique sur le réseau actuel.Une deuxième série approche le folklore de réseau sous une autre forme, et dans une perspective différente. J’emprunte, dans le cadre d’une expérience d’observation-participante, le regard de deux générations d’artistes Internet portées sur la création populaire du Web. Le net.art, pionnier de l’art sur le Web dans les années 1990 (Web 1.0), valorise et médiatise la créativité amateur des pages personnelles. Les surfclubs, héritiers directs dans le cadre du web social des années 2000 (Web 2.0), recontextualisent ces pratiques au sein de réseaux de blogs et s’inspirent des forums d’images, nouveaux lieux d’émergence du folklore Web. L’oeil du Net art permet d’observer une évolution particulière du vernaculaire de réseau : les conflits de légitimation de cette matière culturelle « populaire » semblent se résoudre dans les nouvelles tendances du Web social pour donner lieu à de nouvelles figures du loisir en ligne. Apparaissent alors des professionnels qui s’inspirent de l’esthétique et des pratiques informationnelles des amateurs et les remédiatisent. Cette « résolution » est en fait l’entrée dans de nouveaux enjeux, socio-économiques cette fois, qui pour être compris devront être analysés à partir de cette généalogie historique du vernaculaire Internet.L’approche vernaculaire permet de mettre à jour les conflits techniques, sociaux et culturels ayant joué un rôle crucial dans l’histoire d’Internet : elle éclaire l’articulation dialogique entre la créativité des usagers et les normes institutionnelles qui structurent l’environnement-réseau. Elle fait découvrir des archives peu connus qui révèlent les voix des acteurs micro-historique du réseau des réseaux. Elle signale une série de problèmes épistémologiques sur les matériaux et les méthodes d’analyse de la culture d’Internet en proposant une vision d' »en bas » (« bottom up ») qui accompagne l’émergence des médiations de l’économie culturelle du Web d’aujourd’hui

    Modélisation générique d'un retour d'expérience cognitif. Application à la prévention des risques

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    Nous avons défini dans cette thèse une architecture logicielle générique permettant de réaliser des applications de retour d'expérience cognitif. Ces derniers intègrent une formalisation de l'analyse experte et sont une alternative aux Systèmes à Bases de Connaissance. Les applications sont opérationnalisées à partir de la définition du modèle de l'expérience qui est basé sur une structure objet simple couplée avec le modèle des croyances transférables pour prendre en compte les intertitudes. Nous avons développé des algorithmes génériques de recherche adaptés à la formalisation retenue de l'entité expérience ainsi qu'un alogorithme d'extraction d'un indicateur du risque. Ces algorithmes sont basés sur une proposition de similarité ensembliste particulière. Le modèle générique est basé sur un modèle adaptatif (Adaptive Object Model). Nous avons appliqué une partie des résultats de la thèse dans le cadre d'un projet Européen INTERREG SUP (Sécurité Urgence Pyrénées)

    La conception de jeux vidéo éducatifs : une méthodologie de recherche/création

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    De façon générale, cette thèse identifie et définit l'ensemble des concepts théoriques et pratiques nécessaires à l'exercice de la conception de jeux vidéo éducatifs en tenant compte des aspects d'intention, d'information, d'interface et d'interactivité. Elle répond à la question suivante : comment outiller et assister efficacement un artiste ou un créateur dans la démarche complexe de la conception de jeux vidéo éducatifs? En effet, les personnes abordant la conception multimédia se sentent souvent dépourvues lorsqu'il est question de développer ou de conceptualiser ce type d'œuvre. C'est d'abord parce qu'il s'agit d'un champ d'étude relativement nouveau qui cherche encore ses codes langagiers. Ensuite, il s'agit de se référer aux niveaux de complexité générés par des projets ludiques et pédagogiques intégrant à la fois des notions de science de l'information (gestion de la connaissance, bases de données), des notions d'esthétique et de forme (arts visuels, design graphique) et des notions d'informatique (langage de programmation, vie et intelligence artificielles). Les résultats de la recherche se présentent sous la forme d'une méthodologie de recherche/création systémique appuyée par une intervention prenant la forme d'une série de quatre capsules multimédias interactives couvrant l'ensemble des résultats générés. Ces capsules s'adressent à des professionnels œuvrant tant dans le domaine de la culture, de l'éducation, de la science, des arts et des communications que dans ceux de la recherche et de l'expérimentation. Elles décrivent, illustrent et démontrent les potentialités expressives, narratives, cognitives et interactives du langage multimédia; elles présentent le champ d'intervention dans son ensemble, incluant les concepts, les théories, les méthodes et les outils nécessaires à sa compréhension, à son élaboration et à sa pratique esthétique, ludique, pédagogique et communicationnelle. De façon plus précise, une première capsule présente des notions définissant le multimédia, ses multiples applications ainsi que les différents contextes de production dans lesquels elles se déploient. Une deuxième capsule expose ensuite des notions de langage cinématographique et hypermédia qui seront utiles pour la conception multimédia. Une troisième capsule aborde des notions relatives à la pédagogie, et comment celles-ci peuvent s'appliquer à la conception de jeux vidéo éducatifs. Enfin, la dernière capsule présente un modèle de devis de conception multimédia adapté aux productions culturelles ludo-éducatives. À travers l'ensemble de ces capsules, des exemples permettront de visualiser et d'expérimenter l'ensemble des concepts répondant aux énoncés théoriques et pratiques exposés par la recherche.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : jeux vidéo éducatifs, design multimédia, scénarisation multimédia, conception multimédia, conception hypermédia, loisir éducatif, jeu éducatif, enseignement par le jeu, apprentissage par le jeu, interface graphique, méthodologie de conception

    Le code source informatique comme artefact dans les reconfigurations d'Internet

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    Cette thèse en communication porte sur le code source informatique. Le code source est l'objet de la programmation informatique et peut être défini comme un ensemble de commandes informatiques humainement lisibles, « écrites » dans un langage de programmation de haut niveau (Krysia et Grzesiek, 2008). Depuis quelques années, le code source fait l'objet d'une signification sociale et politique grandissante. Le mouvement du logiciel libre place par exemple au cœur de sa politique le libre accès au code source. Ce mouvement a d'ailleurs permis l'émergence de nombreux collectifs articulés autour de la fabrication collective du code source. Si plusieurs études se sont attardées aux différents aspects de ces collectifs et aux usages des technologies numériques en général, force est toutefois de constater que le code source reste un objet remarquablement négligé dans les études en communication. L'objectif principal de cette thèse est donc d'aborder frontalement l'artefact code source, en répondant à cette question centrale de recherche : qu'est-ce que le code source et comment cet artefact agit-il dans les reconfigurations d'Internet? Notre problématique s'articule selon trois axes. D'abord, le constat de la signification sociale et politique grandissante du code source, qui s'exprime notamment dans un discours faisant du code source une forme d'expression. Ensuite, la manière dont, pour certains auteurs, le code informatique agit à la manière d'une loi en prescrivant ou limitant certains comportements. Finalement, un dernier axe concerne les rapports d'autorité et le travail invisible dans la fabrication du code source. Sur le plan théorique, notre étude se situe à l'intersection du champ « Science, technologie et société » (STS) et de celui des études en communication. Elle s'appuie largement sur les travaux récents de Lucy Suchman (2007) qui cherchent à poser le regard sur des dynamiques de reconfigurations mutuelles et permanentes des relations entre humains et machines. Notre étude mobilise également certains travaux français se situant en continuité de la théorie de l'acteur-réseau, et s'attardant au travail nécessaire à la stabilité et la performativité des artefacts. D'un point de vue méthodologique, notre étude prend comme terrain SPIP et symfony, deux logiciels qui ont en commun d'être utilisés comme infrastructures dans le fonctionnement de nombreux sites web interactifs, souvent désignés sous l'appellation « web 2.0 ». Les deux logiciels sont originaires de France et continuent de mobiliser un nombre significatif d'acteurs français. Ces projets se distinguent par les valeurs mises de l'avant, plus militantes et non commerciales dans le cas de SPIP, plus professionnelles et commerciales dans le cas de symfony. La langue utilisée dans l'écriture du code source est également différente : français pour SPIP, anglais pour symfony. L'enquête combine l'analyse de documents et de traces en ligne, des entretiens semi-dirigés avec les acteurs des projets, de même que l'observation de différentes rencontres entre les acteurs. Notre étude fait tout d'abord clairement ressortir une certaine ambiguïté entourant la définition de la notion du « code source ». Alors que le code source est souvent appréhendé comme un « texte », « que l'on écrit », l'analyse des définitions plus formelles, ou encore de l'objet désigné par les acteurs par le terme de « code source », montre que cet objet renvoie souvent à différents types de médias, comme des images, et même des artefacts qui ne sont pas directement destinés au fonctionnement des ordinateurs. À l'instar des propos de certains acteurs, nous croyons que la définition de ce qui constitue le code source revêt même une dimension politique, dans ce sens qu'elle tend à valoriser certains types d'activités plutôt que d'autres. L'analyse du processus de fabrication collective du code source dans les deux projets montre également des différences importantes au niveau de l'organisation du code source, de même que dans la mise en œuvre des normes et des « autorisations » d'écriture dans chacun des projets. Ces différences s'articulent avec les valeurs des projets et participent d'une certaine configuration du type d'acteur destiné à interagir avec telle ou telle partie du code source. En conclusion, nous insistons sur le fait que le code source ne doit pas seulement être appréhendé comme étant le noyau des infrastructures d'information. Il doit aussi être appréhendé, dans une perspective communicationnelle et sociologique, comme un artefact à travers duquel des acteurs humains entrent en relation entre eux pour reconfigurer le monde socionumérique au sein duquel ils et elles sont engagés. Suivant l'approche de Suchman, nous proposons donc d'appréhender le code source comme une interface, ou une multiplicité d'interfaces, dans les reconfigurations d'Internet, en insistant sur la manière dont le design de ces interfaces entraîne certaines conséquences, en particulier en privilégiant la participation de certains acteurs plutôt que d'autres.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : code source, logiciels libres, artefacts, études STS, reconfigurations humain-machine

    Vers une approche automatique pour l'extraction des règles d'affaires d'une application

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    Les compagnies font face à d'énormes coûts pour maintenir leurs applications informatiques. Au fil des ans, le code de ces applications a accumulé des connaissances corporatives importantes (règles d'affaires et décisions de conception). Mais, après plusieurs années d'opération et d'évolution de ce code, ces connaissances deviennent difficiles à récupérer. Les développeurs doivent donc consacrer beaucoup de leur temps à l'analyser: une activité connue sous le nom de \ud « compréhension du logiciel ». Comme il a été estimé que cette activité accapare entre 50 % et 90 % du travail d'un développeur, simplifier le processus de compréhension du logiciel peut avoir un impact significatif dans la réduction des coûts de développement et de maintenance. L'une des solutions au problème de compréhension du logiciel est la rétro-ingénierie. Celle-ci est le processus d'analyse du code source d'une application pour (1) identifier les composantes de l'application et les relations entre ces composantes et (2) créer une représentation de haut niveau de l'application. Plusieurs approches ont été proposées pour la rétro-ingénierie ; cependant, la représentation abstraite du code source extraite par la plupart de ces approches combine la logique d'affaires de l'application et son architecture (ou son infrastructure). Dans ce mémoire, nous présentons une nouvelle approche qui permet d'analyser le code source d'une application orientée objet afin d'en extraire un modèle abstrait ne décrivant que les règles d'affaires de cette application. Ce modèle prend la forme d'un diagramme de classes UML, présentant les classes d'affaires de cette application ainsi que les relations entre ces classes. Cette approche a été validée sur plusieurs systèmes (écrits en Java) de différentes tailles. L'approche donne de bons résultats pour les systèmes possédant une bonne architecture et un bon style de programmation. Dans le cas contraire, les résultats sont moins convaincants
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