25 research outputs found

    Innovations des techniques verrières au XIXe siècle et leurs applications dans la réalisation de vitraux.

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    Á la fin du XVIIIe siècle, la technique du vitrail est menacée de disparition en France. En réaction, les tentatives en vue de retrouver les procédés de cet art se sont multipliées, aussi bien dans le milieu artistique que scientifique. Le but de cette thèse est de faire le point sur les avancées technologiques mises en œuvre pour la réalisation de vitraux au XIX siècle à travers l étude de l ensemble des brevets déposés au XIX siècle concernant les techniques de fabrication et de décoration du verre. Par l étude de ces brevets, nous avons pu montrer que ces innovations ont été les plus nombreuses dans la seconde moitié du XIX , en relation avec la montée de la demande en vitraux. Les innovations sont de deux ordres : d une part celles concernant la fabrication du verre et de verres spéciaux (coloré, opalescent, irisé, etc.), d autre part celles concernant les techniques de décoration du verre (peintures vitrifiables, procédés de gravure et procédés d impression). Les peintres verriers ont été des acteurs actifs pour le développement de ces innovations, comme en témoignent les brevets qu ils ont déposés et les vitraux qu ils ont réalisés avec ces nouvelles techniques.At the end of the eighteenth century, the technique of stained glass was endangered in France. In response, attempts to rediscover this art process increased in both the artistic and scientific communities. The purpose of this thesis is to determine the technological advances for making stained glass that were implemented during the nineteenth century through the study of all patents submitted at this time for techniques of glass manufacture and decoration. By studying these patents, we have shown that these innovations were the most numerous in the second half of the nineteenth century, in connection with the rise in the demand for stained glass. Innovations are twofold: firstly those related to the manufacture of glass and special glass (colored, opalescent, iridescent, etc.); secondly those concerning glass decoration techniques (enamels, printing and engraving processes). Glass painters were active players in the development of these innovations, as evidenced by the number of patents they filed and the amount of stained glass work they produced with these new techniques.PARIS-CNAM (751032301) / SudocSudocFranceF

    Manuscrits arabes et persans du cardinal Mazarin conservés à la Bibliothèque nationale de France (Les)

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    Mémoire de fin d\u27étude du diplôme de conservateur, promotion DCB 21, portant sur manuscrits arabes et persans du cardinal Mazarin conservés à la Bibliothèque nationale de Franc

    La Belgique: Institutions - Industrie - Commerce

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    Etre et écrire (de) Los Angeles : Wanda Coleman

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    This study aims at shedding some new light upon the many correlations existing between the Los Angeles cityspace and Wanda Coleman’s writings. As an African American woman born in Watts, Los Angeles in 1946, Coleman is the author of a significant literary oeuvre. Whether regarding the urban evolution and construction of the city, its ethnic composition, its socioeconomic conditions or its cultural development, the megalopolis can be read explicitly and implicitly throughout the author’s work, which started in 1979 and ended with the posthumous co-publication of The Love Project in 2014.Post World War II Los Angeles and the great mutations that the territory has been undergoing are, for Coleman, an unending source of material that are both motivating her writing and influencing her craft. The privileged witness of a city under the firm grasp of postmodern ideology of which Los Angeles seems to be the epicenter, Coleman’s work shows the ever-growing gap between an everyday life that is getting more and more brutal and an idealized imagery of the city that imposes itself as the American Way of Life par excellence. That unreachable goal for a disadvantaged and disenfranchised portion of society (about to become the majority of the Los Angeles population), is projected in a perpetual renewal of the American Dream, maintained within reaching distance, as an obscene strategy serving social appeasement. Wanda Coleman thus intends to unsettle an illusion that has been perpetrated and widely distributed through and by Hollywood whose influences, in a mass-media transmission era, cannot be under-estimated. Because she has been able to consider and apprehend the overall dehumanizing process for as long as she can remember, that Coleman is able to assess the import of her art and thus sets its objectives: to rehumanize the dehumanized.L'étude se propose de mettre en évidence les nombreuses corrélations existant entre l'espace urbain de la ville de los angeles et le travail d'écriture de wanda coleman, femme noire-américaine originaire du quartier des watts à la carrière littéraire conséquente. l'essentiel de la matière littéraire de coleman se focalise et trouve son point d'ancrage dans la ville en elle-même et pour elle-même. ainsi, en considérant la production poétique de l'auteur dans sa globalité, qu'il s'agisse de recueils, d'ouvrages photographiques ou de supports audio, il s'agira de voir en quoi l'œuvre de coleman ayant pour point de départ un los angeles des années 70 a su retracer, au sein de la matrice poétique qu'elle met en place, l'évolution d'une mégalopole hors normes. qu'en advient-il alors de la totalité de la création littéraire de coleman, et comment peut-elle être considérée ? en effet, ayant fait le choix de cibler sa poésie sur un espace commun en perpétuelle évolution, ne deviendrait-elle pas par conséquent un moyen jusque là peu envisagé de créer un archivage social, culturel et historique d'une ville dont les mutations et développements fascinent. c'est cette fonction d'œuvre-mémoire d'un lieu duquel elle s'inspire associée à un processus de création littéraire que la ville semble elle-même motiver qui sera également un point central de cette étude. quels desseins le projet poétique sert-il alors ? cette union implicite, sorte d'entente cordiale entre la ville et l'auteur qu'elle abrite/ qui l'abrite, manifeste une interdépendance entre deux entités tangibles dans un réel que le mot poétique semble vouloir tantôt dénoncer, tantôt réaffirmer. ce réel sectoriel et imparfait avec lequel coleman fait office de lien, d'interprétateur et juge entre l'espace et les hommes, entre l'espace et sa mémoire deviendrait-il ainsi un objet poétique de l'intangible se servant de lieux communs afin de dénoncer une déshumanisation de la ville, un hyperréalisme, un simulacre que s'évertuait déjà à démontrer jean baudrillard. effigie poétique imprégnée d'un los angeles qu'elle comprend au regard d'une vie passée dans ses dédales, coleman est-elle la figure mémorielle presque prophétique porteuse d'une parole rédemptrice d'une ville infernale. dénonçant ainsi les maux de la ville comme pour en aspirer le venin, coleman de par ses mots serait alors détentrice d'une alliance poétique consubstantielle, servant un projet allant bien au-delà de la simple écriture poétique, comme si l'acte poétique renouvelé dans son aspect le plus primaire permettait de projeter les mots sur les maux passés et présents d'un espace urbain parcellaire, de servir une mémoire essentielle à la survie du réel dans une cité chaotique se tenant au bord du gouffre

    Fouilles

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    Les objets du quotidien, devenus mobilier archéologique du fait de leur enfouissement dans les couches sédimentaires ou de leur insertion dans des maçonneries, font partie intégrante des données que les archéologues utilisent pour la compréhension d’un site archéologique. Ajoutés les uns aux autres et au fil du temps, ces objets de la vie quotidienne forment des masses parfois imposantes à récolter pendant le chantier, à gérer et à traiter pour les conserver dignement et à étudier. Mais ils témoignent d’une façon particulièrement concrète de la façon dont les Marseillais ont vécu tout au long du Moyen Âge et de l’époque moderne. On trouvera dans cet ouvrage une étude la plus large possible de catégories variées de ces objets du quotidien. En premier lieu la céramique, retrouvée en contexte « de consommation », renseignant sur les approvisionnements d’une ville portuaire et sur les usages quotidiens de ceux qui y vivaient. Au côté des monnaies, peu nombreuses, des pipes ou du mobilier en verre, qui témoigne d’une évolution des goûts de la table, les objets métalliques et en matière dure animale sont autant de traces d’une matérialité de la vie quotidienne qui vient égayer des vestiges archéologiques parfois un peu arides tant ils ont été détruits au fil des siècles. Cet ouvrage vient ainsi compléter le premier volume paru sur Marseille médiévale et moderne (BiAMA 7), qui avait présenté le cadre général de la cité et le détail des fouilles récentes portant sur ces périodes. Le spécialiste, comme le grand public, y trouvera largement la matière d’une connaissance renouvelée sur ce sujet

    La pièce estampée. Son essor en construction mécanique

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    Fouilles à Marseille

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    Les objets du quotidien, devenus mobilier archéologique du fait de leur enfouissement dans les couches sédimentaires ou de leur insertion dans des maçonneries, font partie intégrante des données que les archéologues utilisent pour la compréhension d’un site archéologique. Ajoutés les uns aux autres et au fil du temps, ces objets de la vie quotidienne forment des masses parfois imposantes à récolter pendant le chantier, à gérer et à traiter pour les conserver dignement et à étudier. Mais ils témoignent d’une façon particulièrement concrète de la façon dont les Marseillais ont vécu tout au long du Moyen Âge et de l’époque moderne. On trouvera dans cet ouvrage une étude la plus large possible de catégories variées de ces objets du quotidien. En premier lieu la céramique, retrouvée en contexte « de consommation », renseignant sur les approvisionnements d’une ville portuaire et sur les usages quotidiens de ceux qui y vivaient. Au côté des monnaies, peu nombreuses, des pipes ou du mobilier en verre, qui témoigne d’une évolution des goûts de la table, les objets métalliques et en matière dure animale sont autant de traces d’une matérialité de la vie quotidienne qui vient égayer des vestiges archéologiques parfois un peu arides tant ils ont été détruits au fil des siècles. Cet ouvrage vient ainsi compléter le premier volume paru sur Marseille médiévale et moderne (BiAMA 7), qui avait présenté le cadre général de la cité et le détail des fouilles récentes portant sur ces périodes. Le spécialiste, comme le grand public, y trouvera largement la matière d’une connaissance renouvelée sur ce sujet
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