314 research outputs found

    THE USE OF SEGMENTATION CUES IN SECOND LANGUAGE LEARNERS OF ENGLISH

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    This dissertation project examined the influence of language typology on the use of segmentation cues by second language (L2) learners of English. Previous research has shown that native English speakers rely more on sentence context and lexical knowledge than segmental (i.e. phonotactics or acoustic-phonetics) or prosodic cues (e.g., word stresss) in native language (L1) segmentation. However, L2 learners may rely more on segmental and prosodic cues to identify word boundaries in L2 speech since it may require high lexical and syntactic proficiency in order to use lexical cues efficiently. The goal of this dissertation was to provide empirical evidence for the Revised Framework for L2 Segmentation (RFL2) which describes the relative importance of different levels of segmentation cues. Four experiments were carried out to test the hypotheses made by RFL2. Participants consisted of four language groups including native English speakers and L2 learners of English with Mandarin, Korean, or Spanish L1s. Experiment 1 compared the use of stress cues and lexical knowledge while Experiment 2 compared the use of phonotactic cues and lexical knowledge. Experiment 3 compared the use of phonotactic cues and semantic cues while Experiment 4 compared the use of stress cues and sentence context. Results showed that L2 learners rely more on segmental cues than lexical knowledge or semantic cues. L2 learners showed cue interaction in both lexical and sublexical levels whereas native speakers appeared to use the cues independently. In general, L2 learners appeared to have acquired sensitivity to the segmentation cues used in L2, although they still showed difficulty with specific aspects in each cue based on L1 characteristics. The results provided partial support for RFL2 in which L2 learners' use of sublexical cues was influenced by L1 typology. The current dissertation has important pedagogical implication as findings may help identify cues that can facilitate L2 speech segmentation and comprehension

    Phonological issues in the production of prosody by francophone and sinophone learners of english as a second language

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    Un accent de non-natif peut mener à une incompréhension ou à la perception de degrés différents d'accent d'étrangeté. La prosodie, qui est maintenant reconnue comme un élément important de l'impression d'étrangeté, est relativement peu abordée en recherche en acquisition des langues étrangères. Ceci contraste avec l'intérêt grandissant envers la prosodie en tant qu'élément de la langue maternelle. Dans cette thèse, la recherche phonologique est évaluée quant à sa pertinence dans la recherche sur la prosodie des langues étrangères. Deux aspects de la théorie phonologique sont étudiés: la typologie et l'organisation phonologique. Ce choix est justifié par la présomption générale que l'étrangeté prosodique est créée soit par une différence de typologie entre langue maternelle (L1) et langue étrangère (L2) soit par un transfert de traits prosodiques de la L1. La critique de la recherche en typologie phonologique conclut que, à ce stade, aucun modèle de classification prosodique n'est applicable à l'acquisition d'une L2. En particulier, l'étude démontre que certaines typologies, en particulier la théorie de l'isochronie accentuelle/l'isochronie syllabique de Pike, devraient être exclues parce qu'elles entravent les progrès en recherche sur l'acquisition et la production de la prosodie des langues étrangères. Le second aspect de la théorie phonologique étudié dans cette thèse est l'organisation phonologique. La prémisse est que les différences sous-jacentes à l'organisation prosodique plutôt que les différences phonologiques de surface sont transférées de L1 à L2. Les analyses approfondies de l'anglais nord américain, le français et le chinois standard révèlent d'importantes différences phonologiques entre l'anglais nord américain et les deux autres langues. Quatre expériences évaluent certaines de ces différences. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du français est analysée dans des phrases rythmiquement simples et des phrases rythmiquement plus complexes. Les résultats démontrent que l'accentuation lexicale est moins problématique que l'accentuation prosodique supra-lexicale. En particulier, il est démontré que les montées de fréquence fondamentale (F0) de début et de fin de syntagme accentuel (SA), typiques du français, sont source d'erreur dans la prosodie de l'anglais langue seconde. Il est cependant montré que cette erreur, bien que remarquée par les locuteurs natifs de l'anglais, n'affecte pas la perception de placement d'accentuation par ces derniers. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du chinois est analysée en termes de transfert de ton et d'alignement de pic de F0. Les résultats indiquent que les locuteurs du chinois utilisent les tons chinois quand ils produisent des tons accentuels de l'anglais; plus spécifiquement, la majorité des locuteurs utilisent le ton 2 (ton montant) quand ils produisent un ton accentuel montant. La dernière expérience révèle que les locuteurs natifs du chinois alignent le ton accentuel avec la syllabe accentuée à laquelle elle correspond de manière plus stricte que les locuteurs natifs de l'anglais nord américain le font. Les résultats de cette thèse génèrent un aperçu de la progression de la performance de la prosodie d'une langue étrangère. Les conclusions comportent des implications sur le contenu pédagogique et le format de l'enseignement de la prononciation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Phonologie, Phonétique, Phonologie prosodique, Prosodie, Rythme, ESL, Français du Québec, Français de France, Chinois

    Information structure and the referential status of linguistic expression : workshop as part of the 23th annual meetings of the Deutsche Gesellschaft für Sprachwissenschaft in Leipzig, Leipzig, February 28 - March 2, 2001

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    This volume comprises papers that were given at the workshop Information Structure and the Referential Status of Linguistic Expressions, which we organized during the Deutsche Gesellschaft für Sprachwissenschaft (DGfS) Conference in Leipzig in February 2001. At this workshop we discussed the connection between information structure and the referential interpretation of linguistic expressions, a topic mostly neglected in current linguistics research. One common aim of the papers is to find out to what extent the focus-background as well as the topic-comment structuring determine the referential interpretation of simple arguments like definite and indefinite NPs on the one hand and sentences on the other

    Syntactic reconstruction and scope economy

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