6 research outputs found

    Exploitation des réseaux principaux des voiries d'agglomération : schéma directeur d'exploitation de la route : réseaux de niveau 1. Guide méthodologique

    Get PDF
    Le guide pour l'exploitation des réseaux de niveau 1 s'inscrit dans le cadre du Schéma Directeur d'Exploitation de la Route ; il est destiné en premier lieu aux gestionnaires de réseaux, mais également aux concepteurs de la politique d'exploitation, qu'ils soient les uns et les autres liés à l'État ou aux collectivités locales. Ce document est un guide méthodologique au sens strict du terme, c'est-à-dire qu'il propose une démarche allant de la définition de la problématique à non pas la conception du projet mais plutôt à la fourniture des éléments de réflexion pour avancer dans les études préalables à cette conception. Les recommandations données dans cet ouvrage sont le fruit d'expériences. Néanmoins sur un certain nombres de points, l'état actuel des connaissances ne permettant pas de se prononcer, le parti a été de porter à connaissance les solutions envisageables sans se prononcer de façon décisive. C'est pourquoi, les éléments proposés ne constituent en aucun cas un cadre rigide mais bien au contraire une base pour mettre en lumière les pièges à éviter et donner quelques conseils. De plus, en fonction du contexte local, des amendements à la démarche générale pourront être proposés . Le domaine traité étant en constante évolution, des éditions ultérieures pourront s'enrichir des expériences et des technologies à venir. Le guide se compose de quatre grandes parties : - la première propose une démarche d'études lors de ce que nous avons appelé la phase préparatoire, - la deuxième développe plutôt les éléments utiles pour des études permettant une bonne conduite de l'opération, - la troisième expose le volet évaluation qui nécessairement recouvre les deux premières parties. Il est complété par une quatrième partie composée des annexes et d'une bibliographie, visant à développer de manière plus fine quelques thèmes que nous avons jugé pertinent d'évoquer mais sans rechercher l'exhaustivité et à fournir une base de documents auxquels le lecteur pourra s'intéresser. Pour pouvoir faire une bonne utilisation de ce document, il est recommandé dans un premier temps de faire une lecture complète pour s'imprégner de la démarche globale suggérée. Il est ensuite conseillé de travailler de manière linéaire partie par partie au moins pour les deux premières, car les différents chapitres de ces parties forment un tout et caractérisent un niveau d'élaboration du projet . Néanmoins certaines informations demandées dans les dossiers sanctionnant la première partie sont fournies dans la seconde . Cependant, comme le niveau de détail demandé dans ces documents est moins important que celui proposé dans le texte de cette seconde partie, il a été jugé préférable de les présenter en une seule fois et de faire référence aux chapitres correspondants pour l'élaboration du contenu des dossiers. D'autre part, le lecteur trouvera quelquefois des redites . Cette approche a été choisie pour éviter des allers-retours trop importants eu égard au fait que le document peut être utilisé de manière ponctuelle quelquefois pour préciser ou appréhender un point particulie

    De l'influence d'une ville diversifiée sur la combinaison de techniques : typologie et analyse de processus

    Full text link
    Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal

    Architecte-urbaniste en Algérie : un fragment de la crise algérienne

    Get PDF
    Cette thèse prend appui sur une expérience d'architecte-urbaniste coopérant en Algérie constituée dans le cadre d'un contrat de coopération (contrat VSNA -Volontaire pour le Service National Actif-) entre 1980 et 1982, à la CADAT (Caisse Algérienne D'Aménagement du Territoire) d'Oran, Mission Technique de Tlemcen. L'objet de ce travail n'est pas de se livrer à une valorisation de l'action personnelle mais de procéder à une déconstruction des mobiles à l'oeuvre dans le travail de conception, dans la production de l'espace dans le cadre du projet —ici le projet en urbanisme. Ce regard sur le projet s'intéresse au système de relations qui lie tout à la fois l'engagement personnel d'un individu, son statut professionnel et le rôle social que ce dernier lui octroie, une organisation (l'organisme employeur) et un complexe organisationnel (l'ensemble des organisations mises en rapport par le projet d'urbanisme ou d'aménagement). Le corpus est constitué d'une série «d'histoires» des projets conduits dans le cadre du contrat de coopération. Ces «histoires», rédigées à partir d'un travail de remémoration, sont resituées dans l'organisation, la Caisse Algérienne d'Aménagement du Territoire et dans le projet social qu'elle avait pour mission de «mettre en espace» à travers sa production de Plans d'aménagement urbain. Le contexte —l'Algérie— est exemplaire. La modernité y est un enjeu considérable du développement, notamment par les transformations économiques et sociales qu'elle qualifie. La planification urbaine joue un rôle central, dans la mesure où elle organise l'espace et où elle se veut l'instrument de cette modernité ; laquelle s'appuie sur une dépréciation des pratiques urbaines endogènes qui ne peuvent plus être investies d'un savoir-faire et d'un savoir-être dignes de structurer et d'engendrer des pratiques de conception et d'aménagement urbains qui leur soient propres. Le rôle d'un architecte étranger, mis en situation de réaliser un Plan d'urbanisme peut y être central, et cela, d'autant plus que l'architecte issu d'un pays industrialisé se trouve, de par son origine ethnique et culturelle, dans les meilleures conditions pour dominer le procès de modernité. Ainsi, ce travail a-t-il progressivement glissé de l'analyse du cheminement de l'acteur —l'architecte— dans une organisation —la Cadat— chargée de produire l'espace urbain, à l'analyse de la Cadat comme organisation et de l'organisation au phénomène bureaucratique dans la société algérienne. Au terme de cette analyse, l'espace urbain planifié, celui de la commande étatique, apparaît comme un «placage» et comme un «échec» (du point de vue des fins explicites de la stratégie de développement : le changement des mentalités et la promotion de l'homme) du projet moderniste de la direction politique de l'Etat algérien. Echec par le biais duquel se pose le problème du rôle de la bureaucratie (au sens où M. Weber la définit comme administration rationnelle de la société) dans l'émergence des Etats modernes industriels. L'expérience de l'architecture, de l'urbanisme et de l'aménagement, comme expérience de la domination légale rationnelle à travers l'activité organisatrice du territoire d'une société donnée (l'Algérie) révèle le paradoxe de la modernité : face à cette sorte d'échec, on ne peut guère incriminer, dans l'appréciation du rôle de la bureaucratie, son fonctionnement, mais au contraire l'insuffisance de son fonctionnement. En quelque sorte, en Algérie, plutôt pas assez, que trop de bureaucratie

    L'Hybridation policière : l'exemple du Sénégal

    Get PDF
    Ancienne colonie française, le Sénégal indépendant en 1960, a hérité d’une administration et des institutions très fortement centralisées et bureaucratiques notamment la police. Cette police « coloniale », caractérisée par la répression, avait pour mission de protection de l’administration impérialiste. Le « tout répressif » d’antan, va, au cours de son évolution, céder la place à une police « moderne », en raison des influences endogènes (processus de démocratisation, mixité sociale, conflit en Casamance, etc.) et exogènes (mondialisation des menaces, globalisation des actions, la lutte contre le terrorisme). Le contexte sécuritaire du Sénégal milite en faveur d’une hybridation policière. En effet, l’accentuation de la globalisation, telle qu’observée ces dernières décennies, a révélé à quel point la protection des citoyens, des biens et de l’information ne se joue plus strictement à l’intérieur du territoire et s’opère désormais aussi largement dans la sphère internationale et transnationale. Qu’il s’agisse de la lutte contre le terrorisme, la cybercriminalité, le crime organisé transnational, ou encore la reconstruction de sociétés ravagées par des conflits armés, les missions « hors les frontières » de la police constituent désormais une réalité incontournable du travail policier. Ces évolutions de la police sénégalaise furent concomitantes de l’émergence de polices hybrides qui se sont traduites par des connections entre ces espaces et par des circulations de pratiques, d’acteurs dans le domaine de la sécurité autrefois régalien de la puissance étatique : c’est l’ère de la démonopolisation de l’Etat central sénégalais et l’émergence d’une coproduction de la sécurité.Former French colony, Senegal independent in 1960, inherited an administration and very highly centralized and bureaucratic institutions including the police. This policy "colonial", characterized by repression, had the task of protecting the imperialistic administration. The 'all repressive' of yesteryear, will, in one change, give way to a "modern" police, due to endogenous influences (democratization, social diversity, conflict in Casamance, etc.) exogenous (globalization of threats, globalization actions, the fight against terrorism). The security context of Senegal argues for police hybridization. Indeed, the increasing globalization, as seen in recent decades, has revealed how the protection of citizens, goods and information is no longer played strictly within the territory and operates now also widely in international and transnational sphere. Whether the fight against terrorism, cybercrime, transnational organized crime, or rebuilding societies ravaged by conflict, missions "outside the boundaries" of the police have become an unavoidable reality of work policeman. These changes in the Senegalese police were concurrent with the emergence of hybrid policies that have resulted in connections between these spaces and circulations practices of actors in the field of security once sovereign state power: c 'is the era of de-monopolization of the central Senegalese state and the emergence of a co-production of security

    L'Hybridation policière : l'exemple du Sénégal

    Get PDF
    Ancienne colonie française, le Sénégal indépendant en 1960, a hérité d’une administration et des institutions très fortement centralisées et bureaucratiques notamment la police. Cette police « coloniale », caractérisée par la répression, avait pour mission de protection de l’administration impérialiste. Le « tout répressif » d’antan, va, au cours de son évolution, céder la place à une police « moderne », en raison des influences endogènes (processus de démocratisation, mixité sociale, conflit en Casamance, etc.) et exogènes (mondialisation des menaces, globalisation des actions, la lutte contre le terrorisme). Le contexte sécuritaire du Sénégal milite en faveur d’une hybridation policière. En effet, l’accentuation de la globalisation, telle qu’observée ces dernières décennies, a révélé à quel point la protection des citoyens, des biens et de l’information ne se joue plus strictement à l’intérieur du territoire et s’opère désormais aussi largement dans la sphère internationale et transnationale. Qu’il s’agisse de la lutte contre le terrorisme, la cybercriminalité, le crime organisé transnational, ou encore la reconstruction de sociétés ravagées par des conflits armés, les missions « hors les frontières » de la police constituent désormais une réalité incontournable du travail policier. Ces évolutions de la police sénégalaise furent concomitantes de l’émergence de polices hybrides qui se sont traduites par des connections entre ces espaces et par des circulations de pratiques, d’acteurs dans le domaine de la sécurité autrefois régalien de la puissance étatique : c’est l’ère de la démonopolisation de l’Etat central sénégalais et l’émergence d’une coproduction de la sécurité.Former French colony, Senegal independent in 1960, inherited an administration and very highly centralized and bureaucratic institutions including the police. This policy "colonial", characterized by repression, had the task of protecting the imperialistic administration. The 'all repressive' of yesteryear, will, in one change, give way to a "modern" police, due to endogenous influences (democratization, social diversity, conflict in Casamance, etc.) exogenous (globalization of threats, globalization actions, the fight against terrorism). The security context of Senegal argues for police hybridization. Indeed, the increasing globalization, as seen in recent decades, has revealed how the protection of citizens, goods and information is no longer played strictly within the territory and operates now also widely in international and transnational sphere. Whether the fight against terrorism, cybercrime, transnational organized crime, or rebuilding societies ravaged by conflict, missions "outside the boundaries" of the police have become an unavoidable reality of work policeman. These changes in the Senegalese police were concurrent with the emergence of hybrid policies that have resulted in connections between these spaces and circulations practices of actors in the field of security once sovereign state power: c 'is the era of de-monopolization of the central Senegalese state and the emergence of a co-production of security
    corecore