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    Conception instrumentée du rendu graphique des interfaces

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    International audienceWe propose to define the activity of graphical rendering design, which aims at maximizing the display quality of the image components. Overlooked in most design methods, this activity is essential for the success of a design project and for the validation of interfaces of critical systems. As such, it is pluri-disciplinary: graphical design (design, infovis), evaluation (experimental psychology), influence from hardware and software technologies (computer science), design methodology (design rationale, maintenance, computer science). In this paper, we detail the activity of graphical rendering design of HMI, by identifying its main dimensions. We also present a tool that instruments it: we describe its main functionalities, as well as the methods allowing to achieve the activity. Finally, we discuss about the benefits of inter disciplinary instrumentation during the design process

    Formalisation d'un environnement d'aide à l'analyse géovisuelle: Application à la sécurité et sûreté de la maritimisation de l'énergie

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    The maritime space is still a sensitive area due to many accidents and dangers, such as collisions or pirate attacks. In order to ensure the control of safety and security of this area, it is essential to study near real-time movement information (surveillance) or past events (analysis). Controllers and analysts are then faced to large sets of data, which must be studied with systems using maps and other visualizations. However, these tools are limited in terms of analysis capacities. Using geovisual analytics could be used to improve pattern identification, anomalies detection and knowledge discovery. However, due to the complexity of their use, most methods are still at the stage of research, and are not used yet in the operational word for studying maritime risks.In this context, we propose a geovisual analytics support system to guide users in the visualization and the analysis of maritime risks. Our research methodology is based on the formalization of use cases, of users and of several visualization methods. Ontologies and rules are used to create a knowledge-based system, to select adequate solutions for the visualization and the analysis of ships’ trajectories. Some examples for analyzing maritime risks are then presented to illustrate the use of such a system.L’espace maritime est encore aujourd’hui le contexte de nombreux accidents et dangers, comme des collisions ou des attaques pirates. Afin de garantir le contrôle de la sûreté et de la sécurité de cet espace, il est nécessaire d’étudier les données de mouvement en temps réel (surveillance) et les évènements passés (analyse). Contrôleurs et analystes sont alors confrontés à de grandes quantités de données, qui doivent être étudiées grâce à des systèmes utilisant des cartes et autres visualisations. Cependant, ces outils sont limités en termes de capacités d’analyse. L’utilisation de méthodes d’analyse géovisuelle pourrait alors faciliter la reconnaissance de motifs, la détection d’anomalies et la découverte de connaissances. Toutefois, en raison de leur complexité d’utilisation, plusieurs de ces méthodes n’ont pas dépassé le stade académique, et ne sont pas encore utilisées de manière opérationnelle dans l’étude des risques maritimes.Dans ce contexte, nous proposons un environnement d’aide à l’analyse géovisuelle, qui permet de guider l’utilisateur dans la visualisation et l’analyse d’informations pour l’étude des risques maritimes. Notre démarche de thèse se fonde sur la formalisation des cas d’utilisation, des utilisateurs et des méthodes de visualisation. Le recours à des ontologies et des règles permet de concevoir un système à base de connaissances, afin de proposer des méthodes adéquates pour la visualisation et l’analyse des trajectoires de navires. Nous illustrons cette proposition par plusieurs exemples d’analyse de risques en mer

    METAROUTE - Gestion de la qualité des données du repérage spatial et de la géométrie des axes routiers

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    Le système d’information de la route, anciennement appelé banque de données routières, repose principalement sur un système de repérage linéaire : le système de repérage spatial de base (SRB). Alors que la plupart des systèmes d’information géographique (SIG) reposent sur un système de repérage planaire, basé sur des coordonnées nationales, il est indispensable de faire cohabiter ces deux vues de l’espace. Les projets SYRROU et AGRAM ont montré la complémentarité des deux systèmes de repérage et recommandé une meilleure intégration des différentes méthodes d’acquisition de données spatiales et des différentes sources d’information géographique. Face à la multitude des sources d’information géographique et à la nature intrinsèque des deux modes de repérage, il s’est avéré nécessaire de mieux documenter les données routières de façon à connaître leur origine et leur qualité. Cette documentation s’appuie sur le principe des métadonnées qui sont littéralement des données relatives à des données. Elles permettent ainsi à l’utilisateur d’avoir un aperçu sur le contenu d’un jeu de données. Le projet METAROUTE a donc défini les types d’information nécessaires à la description de l’origine et de la qualité des données du repérage spatial et de la géométrie des axes de route. Il comprend en particulier une analyse des besoins en matière de métadonnées pour la gestion de la qualité du repérage spatial des données routières. Il propose un catalogue de métadonnées spécifique pour la documentation des caractéristiques du repérage spatial des données routières, et en particulier de la géométrie des axes de route. Parmi les éléments de qualité du repérage spatial, la précision de la position est la caractéristique principale et elle fait l’objet d’une définition plus détaillée. Par analogie à la mensuration officielle, on propose des classes de précision (planimétrique et altimétrique) ou niveaux de tolérance. L’avantage de cette classification réside dans une interprétation facilitée pour l’utilisateur et permet aisément de comparer des jeux de données de sources différentes. L’évaluation de la qualité est faite par les niveaux de tolérance du repérage des objets de la route et du système de repérage spatial. Lors de la combinaison d’informations de qualités différentes, on propose de qualifier le résultat de la transformation en prenant le niveau de tolérance le plus bas

    Visions d’État : deux systèmes d'informations géographiques dans la « gouvernance »

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    L'administration fédérale canadienne et la Commission européenne ont construit, dans le courant des années 2000, deux réseaux de Systèmes d'informations géographiques (SIG) : le Système national d'information forestière au Canada, et l'Infrastructure d'information géographique dans la Communauté européenne. Ces SIG permettent le traitement géographique de données sociales et environnementales ainsi que leur représentation sur des cartes. Nous appréhendons ces deux réseaux de SIG sous l'angle de leur valeur heuristique : leur analyse nous permet d'étudier les configurations institutionnelles dans lesquelles ils ont été développés, c'est-à-dire, dans ces cas précis, ce qu'il est convenu d'appeler la « gouvernance ». Les SIG sont des instruments de mesure et de représentation de certains phénomènes : ils appartiennent à la classe des instruments d'objectivation. En tant qu'instruments d'objectivation, ils nous permettent de discuter deux éléments théoriques de la « gouvernance » : le rapport entre les administrations centrales et les administrations locales ; le rapport entre les administrations étatiques et les organisations non-étatiques. A travers cette discussion, nous montrons d'une part que la réarticulation de paliers de gouvernement différents ne signifie pas, comme cela a pu être écrit, un retrait de l'administration centrale au profit des administrations locales, mais au contraire une manière de contrôler plus étroitement celles-ci. Nous montrons d'autre part que cette renégociation des rapports entre les administrations centrales et locales ne s'accompagne pas, en pratique, d’une renégociation des rapports entre administrations étatiques et organisations non-étatiques. En révélant que les données non-étatiques ne sont pas intégrées dans les réseaux de SIG étatiques, nous relativisons les théories qui voient dans la « gouvernance » un mode de gouvernement ouvert aux organisations non-étatiques. Cela nous conduit à approfondir la piste qui envisage les instruments étatiques d'objectivation comme des moyens d'écarter de l'objectivation des phénomènes sociaux ou naturels les éléments qui contredisent l'action gouvernementale. Cette exégèse politique de deux ensembles de programmes informatiques particuliers – les SIG – nous amène, en conclusion, à proposer de considérer certains programmes informatiques comme des institutions politiques.During the 1990s, Canada’s federal government and the European Commission established two networks of geographic information systems (GIS): the National Forest Information System in Canada and the Infrastructure for Spatial Information in the European Union. These two systems permit social and environment facts to be studied geographically and to be mapped. In this thesis, we emphasize the heuristic value of these two networks of geographic information systems: an analysis of them allows us to better understand the institutional configurations that existed during their development, that is to say, in our cases, what is called “governance”. As instruments that measure and represent phenomena, GIS belong to knowledge tools. As knowledge tools, they allow us to discuss two issues of “governance” theories: relationships between central and local administrations, and relationships between state and non-state organizations. This discussion leads us to show, on the one hand, that the reorganization of different levels of government does not signify, as is described elsewhere in the literature, the retreat of central administrations in favor of local administrations, but is rather a means for more forcefully controlling them. On the other hand, we show that the renegotiation of relationships between central and local administrations is not accompanied, in reality, by a negotiation of relationships with non-state organizations. In light of the fact that non-state organizations are not integrated in states’ GIS networks, we must revisit theories of “governance” that foresee governments as more open to civil society. This helps us to understand how knowledge tools can be used in order to exclude certain facts from State's sight. In conclusion, this political analysis of two specific software – GIS – leads us to propose that some software can be considered as political institutions

    Progiciels pour les systèmes d'aide à la gestion du trafic : démarche d'intégration de progiciels

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    La gestion du trafic fait de plus en plus appel à des outils informatiques, et de nombreuses applications ont été mises en œuvre par les services des villes (gestion des carrefours à feux), les opérateurs de transport public (réseaux de bus et trams), les services de l’équipement (voies rapides urbaines) et les sociétés concessionnaires d’autoroutes.Il apparaît en première analyse que ces applications d’aide à la gestion de trafic répondent à des besoins voisins, et que le découpage fonctionnel est comparable d’un système à l’autre. Parmi ces fonctions, on peut distinguer les fonctions spécifiques à la gestion de trafic (« métier ») et des fonctions plus génériques, également utiles à d’autres domaines d’application. On constate que le plus souvent, l’informatique d’un PC d’exploitation se compose de plusieurs applications ou modules plus ou moins intégrés.- Les systèmes d’aide à la gestion du trafic, en particulier ceux des réseaux les plus important, font appel à des développements informatiques spécifiques, et à l’intégration de logiciels. L’objet de cette étude est d’identifier le type de progiciel utilisés, d’en expliquer les principales caractéristiques, et de donner des recommandations en matière d’intégration de progiciels.- Les systèmes de taille plus modeste sont souvent fournis par des industriels qui proposent des matériels et équipement de terrain ou embarqués, et associent à ces matériels des logiciels permettant aux exploitants de les piloter. A priori, ces systèmes « clé en main » ne semblent pas concernés par l’intégration de progiciels. En fait, ils peuvent l’être aussi, d’une part car ils peuvent être considérés comme des progiciels « métier » , d’autre part car ils utilisent parfois des progiciels du marché, enfin ils peuvent être interfacés à d’autres systèmes, ce qui peut nécessiter l’intégration de progiciels horizontaux.- Enfin, on évoquera les perspectives d’émergence de progiciels ou composants « métier » pour la gestion de trafic, capables de couvrir l’essentiel des besoin, même ceux des grands réseaux
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