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    Enfants-soldats au Nigeria : les romanciers témoignent

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    During an interview, Ishmael Beah, conscripted in Sierra Leone when he was 13, testified to the fact that the rights of child‐soldiers were constantly violated. In recent years, the plight of these soldiers defined as “anyone under the age of eighteen who is part of any kind of regular or irregular armed force or armed group in any capacity”, started attracting the world’s attention, following the conflicts which have been ravaging most of the African continent for the last century. While former Biafrans and foreigners who experienced the conflict first hand wrote about casualties and the plight of refugees, the stories of young boys conscripted into the Biafran army has so far attracted very little attention. The present study seeks to assess the impact of the recruiting of child-soldiers during the Nigerian civil war on four Nigerian novelists: Abani, Adichie, Iweala and Saro-Wiwa

    La parole et la communication― Le problème du langage chez Merleau-Ponty ―

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    Dans cet essai, il sera traité de la question des conditions pour l'accomplissement de la communication entre les hommes. D'après les oeuvres de Merleau-Ponty, elles se trouveraient dans l'étude conjointe du problème de la relation de l'expression(extérieure) et de la pensée(interne). D'après ce qui est dit par Merleau-Ponty, la parole est le corps de la pensée. C'est la notion fondamentale du langage. La relation de la pensée et de la parole est comparable avec celle de l'âme et du corps. Ainsi, le mot a un sens, et on dépasse done aussi bien l'intellectualisme que l' empirisme. Puisque la parole est le corps de la pensée, la communication s'accomplit sous la forme de gestes. Merleau-Ponty donne deux conditions requises pour accomplir cette communication : la première est un monde commun ; et la deuxième est une puissance de signifier. Qu'est-ce que le monde commun ? Pour que la communication puisse se produire, on suppose avant tout un langage commun bien avant la parole, tandis que la parole parlée et sédimentaire devient le langage. Il y a une circulation entre le particulier(la parole) et le général(le langage). Le monde commun est représenté sous la form de l' "institution", du "style" , de la "déformation cohérente" et de l'emblème "d'un certain rapport à l'être". Qu'est-ce que la puissance de signifier ? C'est la force qui fait produire la parole, et aussi la force qui provoque la circulation. En ce qui concerne la communication, la force la soutient et lui permet d'exister, rendant la "transgression intentionnelle" possible. Quand on se trouve dans "un monde «pré-constitué»" avec autrui, la "transgression intentionnelle" devient possible. Enfin, les conditions pour l'accomplissement de la communication, ce sont qu'on a le monde commun, et qu'on est au monde pré-constitué

    Honneur aux rebelles

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    S'en prenant au monde politique qu'il fait rimer avec hiérarchique-technocratique-bureaucratique, l'auteur montre quelle énergie les travailleuses sociales doivent déployer pour ne pas se laisser piéger dans le filet des contraintes, contrôles, directives et pratiques standardisées. Il rend hommage aux « rebelles » qui croient avoir leur mot à dire dans la réalité sociale et qui pensent à innover, tentent des expériences nouvelles et cherchent à concevoir un ordre des choses différent dans l'élaboration et la diffusion des politiques sociales

    The Prefix of Prefixes: Francis Ponge's 'Le Pre' and La Fabrique du 'Pre'

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    1996-01-01

    Contre les territoires jetables. Première approche critique des systèmes d'identification des territoires.

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    "Vertige" est le mot qui vient immédiatement à l'esprit quand nous contemplons le tourbillon des logos et marques territoriales qui s'étalent désormais sous nos yeux. " Inquiétude " c'est le sentiment que l'on peut ressentir à la vue des bricolages visuels et des simplifications qui s'exposent, incapables de dire la complexité et l'épaisseur de nos territoires et la pluralité de nos identités individuelles et collectives. " Paradoxes ", c'est le terme - emprunté à Yves Barel - qui s'impose quand on observe les mouvements dialectiques qui opèrent à travers ces représentations entre le je et le nous, l'ici et l'ailleurs, l'ouverture et la fermeture, le réel et le virtuel, le local et le mondial, la réalité et ses représentations. Le cabinet de curiosités qui nous est désormais proposé est à la fois un kaléidoscope réfléchissant à l'envie l'air du temps, une collection disparate du monde contemporain, un élément d'une culture karaoké2 participant à la marchandisation et à la déréalisation du monde, révélant une autre géographie des représentations territoriales qui s'ajoute au palimpseste et nous offre l'occasion de nous interroger sur la complexité du vivre et construire ensemble. Nous sommes dans ce que Guy Debord a appelé " spectacle ", image inversée de la réalité qui implique que le vrai soit un moment du faux. La séparation entre réel et représentation n'existe plus dans le devenir marchand de nos réalités. Notre monde n'existe plus comme le réel de cette marchandise mais se masque à lui-même ce qu'il est. Le monde n'existe plus comme monde mais uniquement comme simulacre. " Et sans doute notre temps... préfère l'image à la chose, la copie à l'original, la représentation à la réalité, l'apparence à l'être...". Comment en sommes nous arrivés là

    Introduction. Le dynamisme incertain du monde musical

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    L’objet de cet ouvrage est de tenter de dresser le tableau de l’organisation économique et sociale des pratiques musicales au cours de la décennie 1995-2005. Une telle entreprise, on s’en doute, ne peut manquer de se trouver confrontée à deux difficultés. La première difficulté est coutumière à tous ceux qui tentent d’adresser aux univers enchantés (et particulièrement aux mondes artistiques) des questions désenchantées, relatives aux fondements de leur organisation et de leur financement, en un mot des questions que les membres de ces mondes disqualifient souvent comme logistiques ou vulgaires. Mais de même que, selon le mot de Malraux le cinéma est « par ailleurs » une industrie, de même les pratiques musicales doivent trouver les moyens matériels, économiques et sociaux de se soutenir dans le temps. Pour le dire dans les termes, désormais classiques, d’H.S. Becker, la musique est « par ailleurs » un monde de l’art, i.e. elle engage des acteurs hétérogènes (interprètes, compositeurs, auditeurs, mais aussi agents, organisateurs de concerts, producteurs de disques, responsables politiques, programmateurs radios, etc.) dans des chaînes d’interaction elles-même composites (faites de conflits ou de coopérations, de rapports économiques ou amicaux, etc.) sans lesquels la musique, entendue comme forme esthétique, ne saurait exister

    Perspectives on commoning. Autonomist principles and practices

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    La personne, le nom et l'identité : questions, concepts et illustrations dans Austerlitz de W.G. Sebald

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    Nous verrons que la distinction "nom commun / nom propre" est assise sur de mauvais critères, à savoir ceux de "signification" et de "détermination", et qu\u27elle est infondée —, nous consacrons tout d\u27abord notre attention sur le vocable même de "personne". Nous remonterons le fil diachronique de sa genèse. C\u27est d\u27une création conceptuelle en effet, de l\u27"invention" d\u27une notion, qu\u27atteste ce mot de "personne" avec lequel une seconde inscription du particulier de l\u27homme se dit dans la langue. Nous verrons que la genèse de ce mot de "personne" s\u27opère elle aussi — comme le passage du neutre "ça" au particulier de l\u27âme dans le poème de Tardieu — dans un mouvement descendant, qui va du monde divin d\u27en-haut à celui, sublunaire, d\u27en bas. Le mot a en effet d\u27abord servi à répondre à une question fondamentale que l\u27interprétation théologique des textes des Écritures posait : Qui parle ici
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