Approach trajectory planning system for maximum concealment

A computer-simulation study was undertaken to investigate a maximum concealment guidance technique (pop-up maneuver), which military aircraft may use to capture a glide path from masked, low-altitude flight typical of terrain following/terrain avoidance flight enroute. The guidance system applied to this problem is the Fuel Conservative Guidance System. Previous studies using this system have concentrated on the saving of fuel in basically conventional land and ship-based operations. Because this system is based on energy-management concepts, it also has direct application to the pop-up approach which exploits aircraft performance. Although the algorithm was initially designed to reduce fuel consumption, the commanded deceleration is at its upper limit during the pop-up and, therefore, is a good approximation of a minimum-time solution. Using the model of a powered-lift aircraft, the results of the study demonstrated that guidance commands generated by the system are well within the capability of an automatic flight-control system. Results for several initial approach conditions are presented

Texas: Round 1 - State-Level Field network Study of the Implementation of the Affordable Care Act

This report is part of a series of 21 state and regional studies examining the rollout of the ACA. The national network -- with 36 states and 61 researchers -- is led by the Rockefeller Institute of Government, the public policy research arm of the State University of New York, the Brookings Institution, and the Fels Institute of Government at the University of Pennsylvania.Since the Patient Protection and Affordable Care Act (ACA) was signed into law on March 23, 2010, Texas has reviewed and debated the different policy directives of the legislation. In 2011, Texas decided against administering a state-run health insurance exchange and opted in to a federally run exchange. This decision occurred prior to the Supreme Court decision on the constitutionality of ACA provisions. In 2013, after the 2012 Supreme Court decision allowed states to decide whether to expand Medicaid, Texas chose not to expand Medicaid eligibility and enrollment

Tropical cyclone rainbands can trigger meteotsunamis

© The Author(s), 2020. This article is distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License. The definitive version was published in Shi, L., Olabarrieta, M., Nolan, D. S., & Warner, J. C. Tropical cyclone rainbands can trigger meteotsunamis. Nature Communications, 11(1), (2020): 678, doi:10.1038/s41467-020-14423-9.Tropical cyclones are one of the most destructive natural hazards and much of the damage and casualties they cause are flood-related. Accurate characterization and prediction of total water levels during extreme storms is necessary to minimize coastal impacts. While meteotsunamis are known to influence water levels and to produce severe consequences, their impacts during tropical cyclones are underappreciated. This study demonstrates that meteotsunami waves commonly occur during tropical cyclones, and that they can contribute significantly to total water levels. We use an idealized coupled ocean–atmosphere–wave numerical model to analyze tropical cyclone-induced meteotsunami generation and propagation mechanisms. We show that the most extreme meteotsunami events are triggered by inherent features of the structure of tropical cyclones: inner and outer spiral rainbands. While outer distant spiral rainbands produce single-peak meteotsunami waves, inner spiral rainbands trigger longer lasting wave trains on the front side of the tropical cyclones.We thank all the developers of COAWST, ROMS, WRF, and SWAN models. D.N. was supported by NSF grant AGS-1654831. We would like to thank Dr. K. Bagamian for her editorial and writing suggestions. We would like to thank Dr. A. Aretxabaleta for the internal US Geological Survey internal revision and suggestions

Factions in British and American Unions – A Comparative Structural Approach

Dans notre société de plus et plus institutionnalisée, les factions à l'intérieur des associations volontaires jouent un rôle sans cesse grandissant dans l'ensemble du processus politique.Une analyse critique que nous pouvons appliquer aux organisations, qu'il s'agisse de l'État, des gouvernements locaux, des clubs ou des syndicats, est la façon dontelles disposent des conflits et des désaccords à l'intérieur de leurs cadres. Le rôle des conflits de rivalité interne chez les syndicats est dune importance et d'un intérêt majeurs, et on peut le considérer comme essentiellement relié à toute la question du fonctionnement de la démocratie à l'intérieur de ces associations. Quelle que soit la forme qu'il revête, l'état de conflit n'est jamais bienvenu au sein des associations. En outre, il est évident qu'il y a plusieurs séries de conflits possibles dans un syndicat. Certains considèrent les factions comme une affaire de rivalité interne qu'il faut régler si l'on veut que l'association survive. En conséquence, les associations s'efforcent généralement d'enrayer l'expansion du déviationnisme considérant ainsi comme sujet tabou la formation de factions.Dans des circonstances exceptionnelles, l'opposition qui s'exprime par le jeu des élections peut ne comporter ni factions ni partis. Dans une étude récente, des anthropologues ont posé le problème de la façon suivante : les factions sont des groupes de rivalité politique dont les leaders recrutent des membres au nom de principes variés. Selon un autre point de vue, les considérer comme des « courants » en action offrirait un mode d'analyse autrement plus significatif. Nous devrions utiliser le mot « faction » pour signifier au moins quelque chose d'un peu organisé, un groupe politique qui recherche un objectif précis à l'intérieur d'une organisation plus vaste. L'existence de factions dans les centrales et les syndicats est très courante dans le monde occidental. La Confédération suisse des syndicats possède une structure qui permet une certaine participation dans la prise de décision sans passer par le truchement des syndicats. On a attribué en partie cette formule nouvelle de participation aux décisions à des factions parmi les syndicats à l'intérieur de la Confédération où l'on décèle trois nuances diverses en matière d'orientation idéologique. En général, cependant, les factions, même lorsqu'elles tendent à s'appuyer sur des structures institutionnalisées, peuvent rarement s'expliquer par elles-mêmes.Les syndicats bataillent souvent les uns contre les autres, soit pour obtenir l'adhésion des membres, soit pour s'assurer l'hégémonie à l'intérieur du mouvement ouvrier. Sur la scène américaine, on rencontre nombre d'exemples de factions qui se détachent éventuellement du syndicat. Les factions fondées sur la concurrence entre syndicats ou entre centrales syndicales ont ordinairement la vie courte, puisqu'une scission, un changement d'affiliation ou l'expulsion des propagandistes de l'association rivale ne tardent pas à se produire.Sans doute, les dirigeants d'un syndicat n'exercent-ils que peu d'influence directe sur la création des factions au sein d'un autre s'ils ne disposent pas de moyens de contact sur ses membres. Les factions syndicales qui dépassent les frontières de certains syndicats déterminés demeurent dans les limites du mouvement syndical. Elles sont formées des groupes socialistes ou autres dont l'activité est d'abord orientée vers les travailleurs et les syndicats.On a prétendu que les catégories professionnelles ne pouvaient pas engendrer une action politique qui soit démocratique et soutenue au sein d'un syndicat. Pourtant, la diversité des postes peut faire problème même à l'intérieur d'une association professionnelle. Même si la diversité des postes ne peut pas facilement être à l'origine d'une action démocratique institutionnalisée, elle est souvent à l'origine d'une lutte temporaire entre des factions. Il y a eu au moins l'exemple important d'un cas en Angleterre où la politique de gauche et des intérêts professionnels se sontcombinés à l'intérieur d'un syndicat, et ont eu une influence sur la négociation collective et, d'une façon moins évidente, sur le syndicat lui-même. L'existence de factions au sein des syndicats reflète donc souvent l'influence d'organisations ou de forces externes qui sont en concurrence, en particulier celles dont les structures s'insèrent dans celles des syndicats pris individuellement ou les chevauchent.Un bref exposé sur la nature des factions organisées en tant que mouvements aident à illustrer la présence de quelques-uns au moins des facteurs précédemment décrits. Des illustrations supplémentaires du degré d'organisation de tels clans dans les syndicats américains en fournit un autre exemple récent, soit la montée des groupes syndicaux formés de travailleurs noirs qui se fondent sur la nécessité, selon leur point de vue en tout cas, de combattre « la bureaucratie syndicale ».Dans les syndicats britanniques, les factions se présentent sous une forme moins organisée et moins évidente. Ce sont :1. des réseaux de communication flous constitués de dirigeants et d'activistes de même mentalité qui sont ordinairement politisés ;2. des réseaux de communication qui sont parfois coordonnés par les membres de groupes ou de partis politiques extérieurs ;3. de mouvements de délégués d'atelier appartenant généralement à la gauche ; et,4. plus rarement, des réunions de permanents convoquées sans publicité mais qui ne sont pas tout à fait secrètes.Cet exposé ne serait pas complet si nous ne considérions pas le rôle des factions proprement communistes et anticommunistes, qu'elles soient internes ou externes. Que la polarisation autour de tels groupes soit ou non justifiée de la part des syndiqués de gauche ou de droite, il semble que, en surface du moins, elles aient dominé les luttes partisanes dans certains syndicats à différentes époques. On ne peut comprendre qu'à la lumière de peu d'organisation de la gauche non-communiste la persistance du rôle du parti communiste officiel dans les rivalités syndicales internes en Grande-Bretagne.Il est fort difficile de tenter d'expliquer un comportement en se basant sur la culture. Une des raisons en est le fait que les explications ont tendance à ne pas sortir d'un cercle vicieux : on prend pour acquis que les normes et les valeurs communes dérivent du comportement et on présume que les courants de pensées se transmettent par l'éducation sociale en croyant qu'il ne s'agirait que d'une simple adaptation à une situation existentielle immuable. L'argument fondamental le plus pertinent à signaler au sujet des différences de culture politique en Grande-Bretagne et aux États-Unis c'est que, en plaçant l'accent sur l'orientation psychologique en vue d'objectifs sociaux, alors qu'il n'y a aucune différence importante entre eux dans l'aptitude à « réagir à une loi injuste », les Britanniques ont de meilleurs espoirs d'« être écoutés sérieusement des officines du gouvernement ou de la police ». Il se pourrait que la réalité soit plus complexe : les Britanniques (comparativement aux Américains) ont un respect méritoire pour l'autorité administrative tant celle des syndicats que celle du gouvernement, lorsque l'impartialité d'une telle administration est en cause, et ils peuvent marquer, d'autre part, un respect généralisé et immérité, par exemple, pour les titres aristocratiques et les institutions. Lipset a tenté d'expliquer les moyens plus violents utilisés par les syndicats américains pour supprimerl'opposition par les valeurs américaines dominantes. L'esprit de rébellion plus marqué des Américains exige et suscite une répression plus forte. L'envers de la médaille, c'est que la déférence anglaise se reflète dans la bonne volonté avec laquelle les Britanniques acceptent les fonctionnaires permanents et à plein temps des hautes sphères ou d'autres niveaux qu'on rencontre dans les syndicats.Qu'il soit ou non pertinent de traiter de la déférence ou de l'agressivité en tant qu'aspects de la culture, de la sous-culture ou de l'anti-culture, les normes institutionnelles, en ce qui concerne la course aux postes, y compris les postes de commande au sein de la plupart des syndicats britanniques, ont beaucoup de choses en commun, et on peut ainsi les caractériser :1. Tout membre d'un syndicat britannique a le droit de postuler n'importe quelle fonction syndicale selon les capacités qu'il se croit sans qu'il soit mis beaucoup d'obstacles sur sa route.2. Tout membre d'un syndicat, y compris des candidats à la direction, peut appartenir à un parti politique extérieur, à tout mouvement de réforme syndicale extérieur, pourvu qu'il appartienne à la classe ouvrière.3. Les factions internes et structurées sont jugées inutiles, inéquitables et on les assimile presque à des complots.4. Enfin, il ne résulte aucun tort du fait que quelqu'un pose sa candidature à un poste élevé et qu'il ne reçoive que peu de votes.Il paraît normal que l'usage fréquent des élections pour accéder aux postes importants fournisse davantage d'occasions aux factions de fonctionner alors qu'une utilisation rare et irrégulière de ce mécanisme affaiblit les motivations d'y recourir. En résumé, l'existence des postes permanents, de même que d'autres aspects du syndicalisme britannique, semble indiquer que l'on considère les postes à temps plein moins sous l'angle de la politique que dufonctionnariat, même si la permanence elle-même est controversée dans certains syndicats. En conséquence, il se peut aussi que, d'une façon générale, l'esprit de tolérance plus marqué des Britanniques se traduise au sein des syndicats par une meilleure acceptation de l'opposition politique. Nous pouvons ainsi être en présence du paradoxe de la tolérance qui sert partout de support à la contrainte.In this paper, the authors attempt to discuss the relationship between intra-organizational conflict and factionalism, and how this manifests itself in different ways in British and American unions. They start with a discussion of conflict, then attempt to set out the characteristics of fractions, They next look at factionalism comparatively, and finally attempt an analytical framework which looks at the dimensions of factionalism

Copper scandium zirconium phosphate:occupancy of the M1 and M2 sites in the temperature range 100-300 K

The title compound, with nominal formula Cu2ScZr(PO4)3, has a beige coloration and displays fast Cu+cation conduction at elevated temperatures. It adopts a NASICON-type structure in the space groupR\overline{3}c. The examined crystal was an obverse–reverse twin with approximately equal twin components. The [ScIIIZrIV(PO4)3]2−framework is composed of corner-sharing Sc/ZrO6octahedra and PO4tetrahedra. The Sc and Zr atoms are disordered on one atomic site on a crystallographic threefold axis. The P atom of the phosphate group lies on a crystallographic twofold axis. Nonframework Cu+cations occupy three positions. Two of the Cu+positions generate an approximately circular distribution around a site of \overline{3} symmetry, referred to as theM1 site in the NASICON-type structure. The other Cu+position is situated close to the twofold symmetricM2 site, displaced into a position with a distorted square-based pyramidal coordination geometry. The structure has been determined at 100, 200 and 300 K. Changes in the refined site-occupancy factors of the Cu+positions suggest increased mobility of Cu+around the circular orbit close to theM1 site at room temperature, but no movement into or out of theM2 site. Free refinement of the Cu site-occupancy factors suggests that the formula of the crystal is Cu1.92(1)ScZr(PO4)3, which is consistent with the low-level presence of Cu2+exclusively in theM2 site.</jats:p

Simplicial Ricci Flow

We construct a discrete form of Hamilton's Ricci flow (RF) equations for a d-dimensional piecewise flat simplicial geometry, S. These new algebraic equations are derived using the discrete formulation of Einstein's theory of general relativity known as Regge calculus. A Regge-Ricci flow (RRF) equation is naturally associated to each edge, L, of a simplicial lattice. In defining this equation, we find it convenient to utilize both the simplicial lattice, S, and its circumcentric dual lattice, S*. In particular, the RRF equation associated to L is naturally defined on a d-dimensional hybrid block connecting $\ell$ with its (d-1)-dimensional circumcentric dual cell, L*. We show that this equation is expressed as the proportionality between (1) the simplicial Ricci tensor, Rc_L, associated with the edge L in S, and (2) a certain volume weighted average of the fractional rate of change of the edges, lambda in L*, of the circumcentric dual lattice, S*, that are in the dual of L. The inherent orthogonality between elements of S and their duals in S* provide a simple geometric representation of Hamilton's RF equations. In this paper we utilize the well established theories of Regge calculus, or equivalently discrete exterior calculus, to construct these equations. We solve these equations for a few illustrative examples.Comment: 34 pages, 10 figures, minor revisions, DOI included: Commun. Math. Phy

A bridge to success

‘Open Learning: Bridge to Success’, a Next Generation Learning Challenges (NGLC) project, is a partnership between The Open University (OU) (UK), Anne Arundel Community College (AACC), the University of Maryland University College (UMUC), and the Massachusetts Institute of Technology (MIT) (USA). The grant has enabled these institutions to capitalise on the success of the OU’s ‘Openings’ content by modifying it for students in the US with the aim of improving retention, learner capability, confidence and motivation through the acquisition of learning skills and core maths (Open University Openings courses, 2012). During a short timeframe (12 months) this has brought about the creation of versatile OER content that has drawn on the expertise of its partner institutions to develop. The OU’s ‘Openings’ courses have been shown to increase learner capability and confidence, encourage participation, result in student registration on accredited courses and contribute to greater progression and completion. The Bridge to Success (B2S) content aims to allow remediation and practice, accelerate time to completion and open up pathways to skills. Two Openings courses have been adapted for B2S (Starting with Maths and Learning to Change) and enhanced with activities as the courses are presented online (pre-assessment, diagnostic activities, formative assessments) to engage adults in the learning process. Course units have been presented and developed in the OU’s free, standards-based LabSpace website (LabSpace, 2012) which allows all users to contribute to, edit and initiate material. The content is therefore not only available to targeted students in the US, but anyone browsing or searching the OU’s content. Pilot institutions in the US have adopted B2S content as the recommended route for preparation to college placement. The piloting process is monitoring, supporting and evaluating the impact of materials within the colleges involved. A program offering support material for adoption by colleges and instructors has been established so that those with no formal connection to B2S can utilise the content. B2S is contributing to the American Graduation Initiative outlined by President Obama in 2009 which aims for all US citizens to obtain at least one year of post-secondary education or career training. The project expects to exceed its own targets and directly engage with over 3000 students and over 100 educators during the grant period

Evaluating relative performances in disabled sports competitions

Handicapping systems play important roles in many sports. This paper focuses on disabled sports competitions, which primarily aim to encourage participation. Nevertheless, prizes are awarded for relative performances and should be allocated fairly. We review handicapping procedures specifically for disabled Alpine skiing and identify imperfections with this system, particularly how historical and new results are combined to determine scaling factors. Significant problems also arise due to different class sizes and variations in courses and conditions. We investigate the difficulties in establishing a suitable handicapping system and propose modifications to the existing procedures that improve their fairness. We develop simple mathematical models and statistical analyses that might be suitable, based on results data relating to several years of competition, and we evaluate the performance of our proposed method in comparison with that of the existing approac

(3200) Phaethon: Bulk density from Yarkovsky drift detection

The recent close approach of the NEA (3200) Phaethon offered a rare opportunity to obtain high-quality observational data. We used the newly obtained optical light curves to improve the spin and shape model of Phaethon and to determine its surface physical properties derived by thermophysical modeling. We also used the available astrometric observations of Phaethon, including those obtained by the Arecibo radar and the Gaia spacecraft, to constrain the secular drift of the orbital semimajor axis. This constraint allowed us to estimate the bulk density by assuming that the drift is dominated by the Yarkovsky effect. We used the convex inversion model to derive the 3D shape model of Phaethon, and a detailed numerical approach for an accurate analysis of the Yarkovsky effect. We obtained a unique solution for Phaethon's pole orientation at $(318,-47)^{\circ}$ ecliptic longitude and latitude (uncertainty of $5^{\circ}$), and confirm the previously reported thermophysical properties ($D=5.1\pm0.2$ km, $\Gamma=600\pm200$ SI). Phaethon has a top-like shape with possible north-south asymmetry. The characteristic size of the regolith grains is 1-2 cm. The orbit analysis reveals a secular drift of the semimajor axis of $-(6.9\pm1.9)\times 10^{-4}$ au Myr$^{-1}$. With the derived volume-equivalent size of 5.1~km, the bulk density $\rho$ is $1.67\pm0.47$ g cm$^{-3}$. If the size is slightly larger $\sim5.7$ km, as suggested by radar data, $\rho$ would decrease to $1.48\pm0.42$ g cm$^{-3}$. We further investigated the suggestion that Phaethon may be in a cluster with asteroids (155140) 2005 UD and (225416) 1999 YC that was formed by rotational fission of a critically spinning parent body. Phaethon's $\rho$ is consistent with typical values for large ($>100$ km) C-complex asteroids and supports its association with asteroid (2) Pallas. These findings render a cometary origin unlikely for Phaethon.Comment: Accepted for publication in A&