80 research outputs found

    Guy Trigalot, « Victor Pavie. Lettres à David (d’Angers) 1825-1854 »

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    International audienceRecension de l'ouvrage : Victor Pavie. Lettres à David (d’Angers) 1825-1854. Édition critique par Jacques de Caso et Jean-Luc Marais, Paris, Honoré Champion, Bibliothèque des correspondances, mémoires et journaux, 2021

    Le dernier homme des champs ou Victor Pavie, un naturphilosophe en Anjou

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    Article dans une revue localeDans un texte daté de 1850, Le dernier homme des champs, Victor Pavie, l’un des tout premiers disciples et intimes de Victor Hugo, désormais retiré en Anjou, décrit précisément son sentiment face aux bouleversements sociétaux et économico-industriels que connait son siècle : dissolution des mœurs après la césure révolutionnaire et critique d’une société délestant l’individu de ses ambitions métaphysiques. S’il fait bien sûr référence au mythe rousseauiste de l’homme naturel et dénonce un progrès coupant l’homme de cet état originel, il expose surtout une conception globalisante du monde, proche de celle de la « naturphilosophie » allemande. Cette approche spirituelle, nourrie de ses connaissances scientifiques en sciences naturelles et de son engagement religieux dessine une véritable « attitude écologique » avant l’heure

    Place de la mythologie chez Victor Hugo

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    Tout lecteur assidu de Victor Hugo ne peut que remarquer la grande érudition du poète concernant l'Antiquité, qui transparaît tout au long de son œuvre. Avant de conclure - trop hâtivement - qu'il fait du monde antique grec et de ses penseurs des modèles, nous devrions peut-être chercher à connaître les raisons de cet attachement, à en explorer les formes et les contours, et à en préciser le but. Nous nous apercevrions, chemin faisant, que coexistent chez Hugo l'attrait et le rejet de cette période, et que la force de sa vision, l'ampleur de sa création nécessitent qu'il transforme, qu'il modèle à son image en quelque sorte, la pensée et la culture grecque, renouvelant ainsi la portée des mythes, comme pour mieux remplir la mission qu'il s'est, lui-même, conférée.Après une rapide analyse du contexte philosophique et littéraire de ce XIXe siècle naissant, et le rappel des sentiments du jeune Hugo en la matière, sont évoqués les grands auteurs hellènes qu'il admire, et les sujets d'inspiration qu'il emprunte à la Grèce antique. Est également précisée sa conception des rapports entre la mythologie et le christianisme

    Deux grandes familles angevines, René Bazin biographe des frères Pavie

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    International audienceDes liens étroits unirent les deux familles, et plus particulièrement ceux que nouèrent le jeune René Bazin avec Victor et surtout Théodore Pavie, ses aînés de plus de quarante ans. Et l’on peut repérer dans l’œuvre de Bazin les traces d’un legs spirituel et culturel que le jeune homme puisa chez ses prédécesseurs

    Les romantiques et l'Orient : une attirance mutuelle

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    Les Journées Pavie de 2019, Journées franco-chinoises, initiées par l’association Les Amis de Victor et Théodore Pavie, et qui se sont déroulées à Angers du 11 au 13 octobre, ont été le fruit d’une chaleureuse collaboration angevine entre la Médiathèque Toussaint, l’Institut Confucius et Les Lyriades de la langue française. La présente publication se propose d’en rendre compte et de rendre un hommage mérité à Théodore Pavie, ce sinologue méconnu.Tout au long du XIXe siècle, l'Orient en général, et plus particulièrement le sous-continent indien, la Chine et le Japon n'ont cessé d'attirer les écrivains et artistes, notamment romantiques. En retour, ces auteurs reçurent là-bas un accueil enthousiaste. Évoquer cet engouement mutuel et les circonstances de son développement éclaire sur les rapports passés et à venir entre les deux principaux pôles culturels du monde

    Victor Pavie, Sainte-Beuve et David d'Angers : la renaissance éditoriale de Du Bellay

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    À partir de 1839, Sainte-Beuve et Victor Pavie, avec la collaboration de David d’Angers, conçurent le projet de publier une édition d’œuvres choisies du poète angevin Joachim Du Bellay.L’idée était de Pavie qui, à l’instar de ses amis romantiques, appréciait grandement la langue et l’atmosphère de la Renaissance, époque comparable à plus d’un titre à ce début du dix-neuvième siècle.Ce fut un long chemin semé d’embûches&nbsp;! Recueillir les documents et manuscrits auprès de Toussaint Grille, directeur de la bibliothèque municipale d’Angers, prit beaucoup de temps. Tout comme pouvoir disposer du portrait nécessaire au frontispice. Le graveur tarda également à honorer sa commande.Ce n’est qu’en 1841 que Pavie put offrir à son époque la première édition d’œuvres choisies de Du Bellay, alliant la qualité des textes à celle de la présentation. Un livre enfin digne de son auteur.</p

    Les romantiques et l'Orient : une attirance mutuelle

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    Les Journées Pavie de 2019, Journées franco-chinoises, initiées par l’association Les Amis de Victor et Théodore Pavie, et qui se sont déroulées à Angers du 11 au 13 octobre, ont été le fruit d’une chaleureuse collaboration angevine entre la Médiathèque Toussaint, l’Institut Confucius et Les Lyriades de la langue française. La présente publication se propose d’en rendre compte et de rendre un hommage mérité à Théodore Pavie, ce sinologue méconnu.Tout au long du XIXe siècle, l'Orient en général, et plus particulièrement le sous-continent indien, la Chine et le Japon n'ont cessé d'attirer les écrivains et artistes, notamment romantiques. En retour, ces auteurs reçurent là-bas un accueil enthousiaste. Évoquer cet engouement mutuel et les circonstances de son développement éclaire sur les rapports passés et à venir entre les deux principaux pôles culturels du monde

    Les deux Victor. Hugo, Pavie : une amitié romantique & correspondance inédite

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    Bien plus qu’un simple «&nbsp;faire-valoir&nbsp;», Victor Pavie fut le dépositaire des projets du jeune Victor Hugo, le fidèle et absolu disciple des tout premiers combats : de la Préface de Cromwell à la Bataille d’Hernani. Il aurait pu endosser avec fierté le statut de «&nbsp;lieutenant&nbsp;» de la révolution romantique, quasiment à égalité avec Sainte-Beuve, si son caractère tourmenté et ses doutes permanents ne l’en avaient empêché.Il partagea le quotidien, les souffrances et les joies des Hugo, à Paris quand il y faisait ses études, comme d’Angers où il était retourné. Adèle Hugo et Léopoldine vinrent à son mariage. Hugo pensa même un moment s’installer en Anjou, dans un petit château repéré par Pavie.Grâce à la découverte d’une importante somme de lettres inédites, les liens passionnés et intimes entre Victor Hugo et Victor Pavie bénéficient d’un éclairage nouveau. Cette correspondance enrichit l’histoire du romantisme et permet de corriger quelques malentendus concernant les relations (forcément dissymétriques) entre les deux Victor, le premier&nbsp;: auteur majeur de la nouvelle école littéraire, le second&nbsp;: membre de la légion méconnue des auteurs mineurs.Elle atteste, en tout cas, de leur amitié particulière basée sur l’intensité du lien créé durant leur jeunesse.</p

    Louis Pavie, l'honnête homme

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    National audienceCommunication faite à la Bibliothèque municipale d'Angers, lors de la journée d'hommage organisée par l'Association des Amis de Victor et Théodore Pavie.</p
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