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Lucrèce et les demeures des dieux: Un symbolisme à portée épicurienne
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Neil HOPKINSON (Ed.), Ovid. Metamorphoses. Book XIII.
Dehon Pierre-Jacques. Neil HOPKINSON (Ed.), Ovid. Metamorphoses. Book XIII.. In: L'antiquité classique, Tome 71, 2002. pp. 325-326
Francesco Della Corte, Paolo Fedeli et Carlo Carena, Q. Orazio Flacco. Le Opere. II. Le Satire. Le Epistole. L'Arte Poetica. Tome primo
Dehon Pierre-Jacques. Francesco Della Corte, Paolo Fedeli et Carlo Carena, Q. Orazio Flacco. Le Opere. II. Le Satire. Le Epistole. L'Arte Poetica. Tome primo. In: L'antiquité classique, Tome 66, 1997. pp. 443-444
Douze saisons pour trois poèmes: autour de C.L.E. 439 (= C.I.L. XI, 6565), A.L. 116 et 864 in apparatu (Riese)
Cet article propose la synthèse de trois contributions accueillies par ailleurs dans la revue Disciplina et remaniées pour la circonstance. L'objectif de ces recherches qui se complètent mutuellement est d'attirer l'attention sur une poésie considérée comme "mineure" et de fournir aux professeurs de latin un matériau leur permettant d'enrichir leurs leçons avec des textes qui, bien que confidentiels, brassent des thèmes proprement universels, comme –en l'occurrence– celui des quatre saisons. Le premier est l'épigramme funéraire C.L.E. 439 (= C.I.L. XI, 6565), un quatrain qui porte le n° 175 dans la collection de Courtney et fait partie d'une inscription de Sarsina dédiée à la mémoire d'une certaine Marcana Vera. Le second poème est une autre épigramme de quatre hexamètres, intitulée Laus temporum quattuor et appartenant à un recueil de poésie de l'Afrique vandale parfois désigné sous le titre de Vnius poetae sylloge: ce quatrain figure dans les éditions successives de l'Anthologia Latina, depuis Riese jusqu'à Shackleton Bailey, parfois sous des numéros différents (116 chez Riese, mais 105 chez Shackleton Bailey). La troisième épigramme, un quatrain encore, porte le titre de De quattuor temporibus anni et apparaît seulement en apparat critique dans l'Anthologia Latina, en marge de la référence 864 du corpus de Riese: elle figure aussi, entre autres, dans les éditions successives des Poetae Latini minores de Wernsdorf-Lemaire (Astronomica vetera epigrammata, n° XII) et de Baehrens (n° LXVII). De la lecture commentée des trois pièces l'on peut déduire que l'enseignant qui souhaite ouvrir son cours à des textes latins de moindre notoriété, mais non dénués de valeur n'a que l'embarras du choix s'agissant de la poésie des saisons.27 p. en épreuves corrigéesinfo:eu-repo/semantics/inPres
L'exotisme de Virgile: Entre modernité et tradition
Modern exoticism is usually understood as a taste for otherness and a positive feeling towards foreign lands and peoples. Although Greeks and Romans were keener to focus on their own world, this form of exoticism also appears in ancient literature. A quick review of Vergil's output shows that he found his place mid-way through between tradition and modernity. As much as modern artists, he was able to feel the attractiveness of foreign lands, but part of his verses display a more conservative or negative approach, where terrae incognitae or barbarae are perceived as a threat to the Roman world.15 p.info:eu-repo/semantics/publishe
Médée, Médée, Médée! Il n'y a plus de saisons, mon bon Sénèque...
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