Première romancière guyanaise Lyne Marie Stanley "La saison des abattis" (1996) à Cayenne. La fête danser costumer et masqué à nourri l\u27imaginaire des auteurs et de leur protagoniste. La salle de bal est souvent décrite comme un lieu mythique, mystérieux propice aux rêves aux intrigues amoureuses, aux rencontres fatales. Lyne Marie Stanley dans "La saison des abattis", dans le chap. 3, s\u27attache à présenter le bal paré-masqué des "touloulous" : personnage féminin emblématique du carnaval de Guyane. Céphyse, "touloulou" novice découvre l\u27univers du bal paré-masqué en même temps que l\u27amour. Elle transgresse les codes établies qui consistent en autre à préserver l?anonymat. La première fonction du déguisement est de garantir l\u27anonymat du "touloulou" personnage unique du carnaval guyanais." Le frère du "touloulou" est le "tololo" qui signifie en créole guyanais : "ton pénis" Le rôle essentiel de la parade du touloulou est sans doute, de mettre en valeur la femme, de la magnifier, pour en faire un personnage sublimée, à la fois réelle et virtuelle. La représentation du bal paré-masqué dans : "La saison des abattis", est une excellente illustration du concept de transgression, dans le cadre de la fête carnavalesque guyanaise. Pour Jean Thierry Martins, le bal masqué est dans tous les cas un lieu de transgression sémantique
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